.IV.su leyenda

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-Jiménez ta de la visite ; crie le gardien

Hein pardon depuis quand qlq me rend visite a part mon avocat je vois pas mais on a pas rendez-vous cette semaine. il vient ouvrir ma cellule

-crie moi encore dessus hijo de puta et tu verra mon ton est froid, calme mais je sais que ca faire peur .

C le principe, je le regarde droit ds les yeux ,il devient blanc comme un linge .Je lit la peur dans ses yeux ,je souri intérieurement, il baissent les yeux tout en murmurant :Disculpe

oh il peut pas la fermé: - callate

il baisse encore plus les yeux

- perdoneme

il n'a pas compris le con ou quoi

je le plaque contre le mur et vocifère : No entiendes pendejo, te callas. Abre la boca y te prometo que estarás fuera de este mundo para suplicarme.

(Ouvre ta bouche et je promets que tu serai hors de ce monde pour me supplier)

Je le lâche et voit dans ses yeux de la peur ,et de la soumission.

 Vous allez dire que je suis fou ,mais voire la peur dans les yeux des gens, c'est ce que je préfère dans mon «métier » si on peut appeler ça comme ça .

Le gardien me conduit au parloirs et me fait rentrer dans une salle privé avec une table une chaise et un canapé .toujours la tète baissé il s'en va la queue entre les jambes .je l'appelle

Cazzo ,ta pas oublié un truc lui dit je en montrant mes poignets attaché .Il n'ose même pas me regardé mais je peut voir de la panique dans ses yeux.

-Euh je peux pas vous détaché señor ordre du directeur.

Je rit ,un rire qui je sais lui fait froid dans le dos je m'arrête et lui dit calment :Tu viens de me contredire ou je rêve ?

-No no jamais je me permettrais

-Très bien alors fait

-Je...je ...le directeur va me renvoyer

J'abat mon poing sur la table :

- rappelle moi a qui tu parles, rappelle moi qui je suis

Il reste silencieux

-PARLE

- eres el hijo del capo de la mafia italiana y El....Diablo....

Je rit content que ma réputation me suit même en prison

-bah tu vois quand tu veux, maintenant dit moi ce que je vais te faire si ,tu ne m'enlève pas tout de suite ces foutus menotte

-Tu....vous ...allez me tué

-Oh non bien pire que ca dis je avec un sourire sadique je me lève et l'attrape et l'étrangle avec les chaines de mes poignets

-Tu vois ça serait dommage de pas me les enlevé je pourrais tu tué avec c'est dangereux.

Je le lâche me rassoit il reprend ça respiration et me détache les poignets ,au même moment mon avocats Federico rentre .le gardien part limite en courant

-¿Qué más le has hecho a ese pobre guardián?

-Yo, en me pointant moi-même du doigts Nada lui répondis je avec un grand sourire

BelladonaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant