Espérances

1_La rencontre

La sonnerie retentis, je pousse un soupire, encore une heure de torture.

Depuis mes 4 ans je suis un monstre, je ne suis pas seulement le monstre que tout le monde voit avec mes 14 ans et ma 1ere année de fac; non je suis bien plus horrible que ça, je peut lire dans les pensées des gens.

Et ça, personne jamais ne le sera parce que c'est ce qui fait de moi un monstre.

Je monte les marchés 2 à 2, déjà qu'on me remarque énormément, j'ai pas envie d'être en retard. Arrivée en haut je rentre dans la salle et les voix m'assaillisent, emprisonner mon cerveau, et c'est ça depuis mes 4 ans.

Je m'installe au fond de la classe et met mes AirPods, je n'ai pas trouvé plus discret, derrière mes cheveux on ne les voit pas. Le seul problème c'est quand les profs m'interrogent, je n'entends rien, mais bon qui aurait envie d'interroger Mis dico ( c'est comme ça que tout le monde m'appelle, enfin surtout les profs pour être gentils, si non les élèves ils m'appellent de tellement de façons que j'ai arrêter de les comptés.) même les profs ont peur de se faire ridiculiser, sans vouloir me vanter.

- Mademoiselle Temis !! Cría mme Camps en retirent mes écouteurs. Combien de fois je vais devoir voir répéter d'être plus attentif à mon cours !

- Désolé madame, murmurai-je en me massent les tempes et en inspirent à fond pour faire diminuer l'intensité des pensées de mes camarades car en plus d'être insupportables elles ne disent que du mal à mon sujet.

- Bon, j'espère que ce sera la dernière fois!

- Oui ce sera la dernier fois, mentís-je.

DRING, DRING..
Enfin ! Je sort en courent de la salle, dégringole les escaliers, sort du bâtiment, j'ai besoin d'aire.

Je rentre dans le parc après avoir courus pendant une bonne demi-heure. Ça fait déjà 2 ou 3 ans que plus personne ne viens ici, du coup me migraine diminue mais ne disparaît jamais.

Je respire un bon coup et ferme les yeux.

Quelqu'un rentre dans le parc, il s'avance vers moi, il s'est sûrement perdue et va me demander la route la plus proche pour aller au centre-ville.

- Bonjours, je suis journaliste et je travaille sur les enfants surdoués, et je cherche une fille appeler Cléo Temis. Vous ne serais pas ou la trouvé ?

Mais, que me veut cette dame?

- Non, je ne la connaît pas, répondis-je .

- Tu en est sur ? On m'as dit qu'elle venait souvent ici après les cours.

- Non désolé je ne la connais vraiment pas, mais si vous voulez je me renseignerais.

- Vraiment sur ?

La, elle commence vraiment à me faire peur, je m'enfuis à toutes jambes, mais le dame me suit, elle vas drôlement vite, si elle continue comme ça, elle vas finir par me rattraper. Je met toute mon énergie dans mes jambes, je gagne du terrain, mais pas ase, je suis épuisée, j'en peux plus, je m'arrête.

Tant qu'elle ne m'amène pas dans un laboratoire scientifique pour faire des expériences sur moi, moi ça me vas.

Je n'avais pas bien pris le temps de la regarder, elle est très belle avec sa robe rouge ( un peu démodée, sa robe pas elle) . Ses yeux bleu ont dû être magnifiques à une époque, mais la dureté a mis de la haine dans son regard; ses cheveux marrons sont très bien entretenus ( enfin ils en on l'aire) , ses joues d'un rose satin brillent au soleil et ses lèvres ont dû êtres délicates autrefois, mais la souffrance les a pincés.

Soudain quelque chose me frappe.

- Je n'entend pas vous pensés...

Oh non ! Je l'ai dit à voix haute !

- Non, je voulais dire...

- C'est donc bien toi !