Le jour où je te tuerai

Chapitre 20 :Lison

Hello tous le monde, désolées de notre absence c'est la période des partiels haha, j'espère que tout va bien pour vous. On va être plus actives dans les prochains jours normalement.

Ce chapitre est un peu plus long que les autres et je vous préviens qu'il contient des scènes olélé.

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Gros bisous et bonne lecture

Kloe et Léane.

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Bogota, domaine des Valentino , 27 décembre 2022.

Tout s'enchaina très vite après la réunion, tout le monde était en ébullition. Je regarde ma montre, elle indique 15h44, ça fait plus de 48 heures que je suis enfermée dans mon bureau, tentant de faire une liste de qui pourrait être ce connard.

Ma mauvaise humeur est à son paroxysme, en plus de toute cette merde je dois aussi gérer mon problème d'armement.

Mes hommes envoyés sur la mission ne me donnent plus aucune nouvelle, alors qu'ils devraient être rentrés depuis hier déjà.  Je tente une nouvelle fois de joindre Léo mais tombe une fois de plus sur son répondeur.

Je m'inquiète vraiment pour lui, il est comme un membre de ma famille, il est à mon service depuis de nombreuses années déjà, et même lorsque j'étais chez Richard il m'est resté fidèle, maintenant le cartel à flot.

Je ne sais plus quoi faire, j'ai l'impression d'être un lion maintenu en cage. Je commence à saturer, tout m'échappe, et un vieux fou veux me séquestrer comme si je n'étais qu'un jouet.

De léger coup sont portés à ma porte, je relève mes yeux des feuilles et pose mes yeux sur l'intru. Axton ne dit rien, se contentant de fermer silencieusement la porte derrière lui.

Je le regarde s'approcher de moi, il jette un rapide coup d'œil aux papiers puis les écarte délicatement.

il se place ensuite face à moi, et sort une barre de céréales de sa poche.

- Manges, me dis t-il alors, me tendant la barre de céréales.

- Je n'ai pas faim, lui répondis-je alors, je n'ai pas le temps pour ça, j'ai plus urgent à gérer.

- Ce n'était pas une question mon ange, me rétorque t-il, m'ouvrant la barre, tu as besoin de force, alors manges.

- Je t'ai dis que je n'ai pas faim.

- Et moi je te dis que j'en ai rien à  foutre alors tu manges, m'intime-t-il.

- Je crois que tu as oublié où tu te trouvais et à qui tu t'adressais Axton. lui répondis- je avec un regard mauvais;

- Ne t'inquiète pas je sais très bien où je me trouve, mais merci de me rafraîchir la mémoire, c'est si gentil venant de toi.

Le sourire qu'il me tend à la fin de sa phrase ne me plait pas du tout. Je ne  suis  vraiment pas d'humeur.

-Va te faire foutre, lui répondais-je alors en me levant de ma chaise et en quittant la pièce.

Il ne faut pas deux secondes pour le voir apparaître derrière moi, il saisit mon poignet m'emmenant dans  la première pièce que nous rencontrons sur notre chemin, il me pousse à l'interieur.

-Répète ce que tu viens de dire ? intima-t-il à deux centimètres de mes lèvres.

-VA. TE. FAIRE. FOUTRE. répétai-je alors en insistant sur chaque syllabe.