8/Luna

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Précédemment:

« La voiture était stoppé mais toujours en route. Il se retourna vers moi, et me fusilla du regard. Ses yeux plongés dans les miens, il me fixait, je le fixais sans que aucun de nous prit la parole. Il était vraiment beaux comme homme, j'ai l'impression que quelque chose avait changer chez lui, se devait être son nouveau tatouage au niveau du cou, c'était un papillon, c'était mon animal fétiche.Il mariait vachement bien avec sa peau mate. »

Bonne lecture <3

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Après le petit arrêt au bord de la route j'en avais profité pour faire un petit pipi.

Oui j'ai fait pipi au bord de la route et alors.

Après la pause on avait dû faire 30 minutes en plus à peu près, et je ne savais toujours pas où j'allais.
Dans la voiture un silence régnait.

C'est enfin que je vis au loin une énorme maison encore plus grande que celle que j'avais pu apercevoir avant de prendre la route.

La maison qui occupe toute mon attention était d'une couleur assez marron claire qui se marié très bien avec les couleurs de la forêt qui l'entourait.

La voiture s'arrêta enfin et cette fois si pour de bon. J'étais épuisé, aujourd'hui ma journée à été chargée en émotion, je ne sais à ce moment-là de ma vie ce que demain sera fait, à vrai dire c'est difficile d'y penser lorsque même dans le moment présent on n'arrive pas forcément à y penser et d'avoir les idées claires. Peut-être que dormir m'aiderai. Mais apparemment une certaine personne n'étais pas du même point de vue que moi quand je senti la porte qui est à ma droite s'ouvrit sur un homme en costard noir, très classique, chauve, des lunettes noires et un fil qui pendouillé le long de son oreille et qui on dirait faisait plus de 2 mètres.

La femme qui limite m'avais sauvé ce matin étais au côté de l'homme que je surnommé '' le mystérieux'', je ne l'avais toujours pas vue sourire, son visage était neutre depuis ce matin.

Non mais j'en reviens pas, après lui avoir littéralement sauvé c'est comme sa qu'il me remerçie ??

J'étais assez curieuse de savoir à quoi pouvait ressembler l'intérieur de cette maison, qui me laisse à croire qu'elle n'est pas habitée, au vu du silence qui règne autours de celle-ci, cette maison qui se tient en face de moi depuis tout à l'heure, je ne pouvais malheureusement pas me déplacer comme bon me semble car ces hommes qui me paraissent si grand, se tiennent l'un à ma gauche et un autre à ma droite.

Alors je décida de franchir les portes de cette majestueuse demeure qui ornait le sommet d'une grande colline entouré de milliers d'arbres. La fille de ce matin m'avait expliqué que cette maison à appartenue à toute une génération quand quelqu'un mourrez , elle appartennait à sa progeniture qui reprenait ensuite la maison, l'heureuse propriétaire de cette maison était apparemment la mère de cet homme. Leur famille était l'une des plus riches et des plus connue de toute l'Italie.

Moi qui pensais que personne ne vivait ici, est-elle veuve ?

En pénétrant dans celle si je fus frappée par la splendeur du lieu. Des lustres en cristal suspendus au plafond étincelaient comme des étoiles, éclairant les murs tapissait d'œuvre d'art précieuse. Une odeur enivrante de bois ciré flottait dans l'air, et la chaleur du soleil filtrant à travers les immenses fenêtres ajoutait une touche de beauté comme s'il n'y en avait pas assez. Pourtant, malgré cette atmosphère luxueuse, je ressentais une pointe d'inquiétude qui électrisait mes sens. J'avais beau profiter de cette belle vue je suis quand même entre les mains de personnes dont je ne connais pour la plupart même pas leur nom.

Vais-je mourir dans cette maison ? Quand ? Par qui ? Tant de questions me viennent soudains en tête.

Plus on avançait dans la maison plus les pièces devenait luxueuses. A ce moment-là j'étais encore seule avec la femme depuis de début on ne s'était toujours pas adressé la parole. Quand soudain elle ouvrit une porte, elle rentra dedans alors je fis de même. Je fus subjugué par la beauté de la pièce. Le rouge sombre collait parfaitement avec la couleur or. Est-ce que c'était vraiment de l'or en tout cas ça ne m'étonnerait même pas vu la taille de la baraque.

Elle parla alors et me dit:

- Ne croit pas que en t'offrant cette chambre, tu fais sois partie de la famille, soit être l'une des autres ou bien que tu aies tout ce que tu veux quand tu le désiras. Si ta cette chambre ce n'est surement pas grâce à moi mais c'est grâce à lui il a insisté pour que tu en as une en guise de remerçiement de lui avoir sauvé la vie, apparemment. Dit-elle sur un thon sarcastique. Si ça ne tener qu'à moi, tu aurais déjà finis dans le sous-sol, je te rapporterai des affaires propres et classes pour ce soir car il désire que tu dînes avec lui au diné de ce soir et tu n'as pas le choix, ici c'est lui le chef alors tache de le respecter si tu ne veux pas finir en viande pour chien.

Comment sa un diner, pardon, avec lui, mais je rêve, je ne le connais même pas il ne m'a pas adressé un mot et il veut un diner comme si de rien n'était mais qu'elle enflure, je sens que je ne vais pas pouvoir me le blairer.

Mais pour l'instant ce qui m'intéresse le plus c'était ce grand lit deux places qui n'attendait que moi. Je me jeta dedans et je m'assoupie très rapidement.

Je fus réveillé par un gros bruit de porte, je me leva en sursaut, à moitié nus et dans les vapes. Putain mais il fou quoi ici mais qui lui a permis de rentrer comme sa et il me dit d'une voix qui ressemblait à c'elle des hommes de ce matin, c'est à dire une voix assez rauque.

- Tu foues quoi dans ma chambre et puis qui ta permit de t'allonger sur mon lit !

- C'est la fille qui m'a mise ici. Je dis la voie tremblante.

C'est alors qu'il sortit de la pièce d'une rage furieuse.

Quand j'entendis une dispute éclater un étage en dessous. Il disait que je n'avais pas pas à dormir dans sa chambre et que ma place aurait dû être dans le sous-sol !

Mais, cette fille ne m'as t-elle pas dit qu'il m'avait laissé une chambre. Auait-elle mentit, ce qu'elle m'as, sa ne serait pas elle qui le pensé?

Bref j'en peut plus de tout ça. Il faut que je trouve une sortie de secours et vite. Alors sans réfléchir je me mis à courir à travers la maison je vis la porte d'entrée je voulu l'ouvrit mais celle- ci était fermée, c'est alors que je j'enttendis pas très loin de moi, que gros bruits de pas, qui résonnent sous mes pieds. Soudain j'entendis un des gardes de toute à l'heure criait :

-Ramener vous la folle essaye de s'enfuir !!

Mon taux d'adrénaline augmenta alors je réussis enfin à ouvrir cette foutue porte. Je couru le plus vite possible sans regarder derrière moi. Je pouvais entendre derrière moi au moins deux hommes me courir après.

Quand soudain, je ressentis une douleur indescriptible qui me projeta au sol je ne pense pas que je me sois pris une balle, je pense que je l'aurai encore plus sentie, mais je veux dire que j'ai ressenti une violente douleur dans les jambes et les bras, je ne voyais plus rien, il faisait noir, je pouvais à peine ouvrir les yeux. Même dans une vision assez floue je pouvais apercevoir une silhouette d'une assez vieille femme qui portait des lunettes et une robe dont la bretelle commençait à tomber, je l'entendis crier que quelqu'un me vienne en aide qu'elle avait besoin d'une personne sachant faire les premiers secours, en criant:

-Mais comment avez-vous osez tirer sur cette petite, votre coeur est-il aussi petit que celui d'un artichaud pour faire ce genre de chôse.

Je l'entendis me dire de rester avec elle et que je ne devais pas abandonner. Puis soudain trou noir...

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Mais il se passe quoi ? Qui est cette femme et qu'est-il arrivé à Luna !?
On en sera plus dans le prochain chapitre 😏
J'espère que ce chapitre vous a plus en tout cas ❤️

L'amour coule à Flot Où les histoires vivent. Découvrez maintenant