L'amour coule à Flot

23/ Mattew

Les jours qui avaient suivis notre réunion avaient suivi notre réunion avaient été emplis de moment précieux et de conversations profondes, mais l'ombre du danger persistant continuait de planer sur nous. La sécurité relation relative que nous avions trouvée semblait fragile, comme une forteresse en papier face aux tempêtes de la vie.

C'était une nuit tranquille, trop tranquille pour être honnête. La brise fraîche qui soufflait à travers les fenêtres ouvertes ééétait apaisante, mais un sentiment d'inquiéétude persistait dans mon eesprit. Luna et moi étions entrain de regarder un film, essayant de profiter d'un rare moment de calme. Mais tout changea en un instant lorssque des bruits de coups frappés contre la porte retentirent dans la maison.

Je me levai d'un bond, une vague d'adrénaline envahissant mon corps. Mon instinct me criait que quelque chose n'allait pas. Je m'approchai de la porte, l'ouvris à peine pour jeter un coups d'oeil et vis une silhouette non loin d'ici très menaçante, accompagnéé de plusieurs hommes lourdements armés. Le froid glaçéé qui traversa mes os à ce moment-là ne fit que confirmer que mes pires craintes.

Avant que je puisse réagir les hommes forcèrent la porte, pénétrant dans la maison avec une détermination impitoyable. Ils étaient armés juqu'au dents, leurs mouvements coordonnés montrant une expertise redoutable. La panique de Luna éétait palpable, elle ne faisait que répéter qu'ils venaient pour la prendre et la tuer, alors qu'elle tentait de se cacher derrière moi. Mais il éétait déjà trop tard ils nous avaient déjà remarqué. Plusieurs des mes hommes sortirent de nul pour pour tenter d'éléminer les hommes qui nous menaçait, sans grande canvictions puisqu'ils finissent tous fusillaient à mesure qu'ils entraient dans la maison. Je pouvais entendre les cris stidents de Luna derrière moi qui me montrer qu'elle était effrayé.

Luna, terrifiée, essayait de résister, ses cris de détresse réésonnant dans la nuit

Nos ennemis nous plaquèrent au sol sans avoir peur de nous blaisser ou quoi que se soit. ILs nous menottèrent rapidement, leurs gestes brusques et violents nous laissant peu de chance de résister. Ils nous forcèrent à rentrer dans la camionette noir avec l'aide de leur crosse de ce qui me semblais être un pistolet.

Luna, terrifiée, essayait de résister, ses cris de détresse résonnant dans la nuit. Je la voyait se débattre, mais les hommes étaient trop nombreux et trop puissants. Ils nous jetèrent dans la camionette, nos corps se heurtant contre les parois métalliques, avant de nous emmener vers notre destin et surement notre dernier lieu de vie.

L'entrepôt où nous fûment amenés était un lieu de cauchemar: sombre, humide et malodorant. Les murs en béton brut et les lumières vascillantes créaient une atmosphère oppressante, un lieu sortit tout droit d'un cauchemar. Nous fûmes jetés dans une pièce froide et humide, l'air chargé de l'hodeur métallique du sang et de la sueur.

Luna fut placée contre un mur, ses mains attachés derrière son dos, les yeux pleins de terreur. Je fus attaché à mon tour à une chaise métallique au centre de la pièce, les poignets et les chevilles solidement ligotés. Les membres du cartel, armés jusqu'au dents, se déplacaient avec efficacité brutale, préparant le matériel de torture avec une droide détermination, j'éspère simplement qu'il ne la toucherons pas, je suis prêt à encaisser ses coups pour pas salir son si beau visage.

L'un des hommes, le leader présumé, s'avança avec un sourire cruel. Il était accompagné d'une table chrgé d'instrument de torture. Ses yeux étaient dur et impitoyable, je ne l'avais jamais vu avant. Il s'emblait prendre un malin plaisir pervers à l'idée de ce qu'il allait se passer.

-Nous savons que tu as des informations précieuses à nous partagés, dit-il d'une voix glaciale. Tu vas nous les donner, que cela te plaise ou non, sinon tu... enfin non, ta copine en payera les conséquences.