L'amour coule à Flot

11/ Matthew

Dans les ruelles étroites de la ville, j'émergeais des ombres à l'aube. Ma journée avait commencé dans le luxe, entre les draps de soie et de dorures, mais l'ombre d'une réunion entre cartel hante mon esprit. Un petit déjeuner hâtif, des cigarettes consumées nerveusement, je me pépare mentalement pour ce qui m'attendais.

La réunion, prévue dans un repaire secret, devait être un moment crucial pour consolider des alliances et entendre l'influence du cartel. Cependant, les dynamiques du pouvoir, la méfiance et l'avidité entre chaque hommes ont transformés la salle en un champ de bataille où les mots était clairement des balles et ces regards semblables à des des poignards qu'on transpercerai dans chacune de ses âmes. Des alliances brisées, des promesses trahies, la poudrière a explosé.

Tout les sujets de discussion de cette réunion revenaient toujours au même sujet, des embrouilles à tout va... Quand à moi je restais dans mon coin, silencieux, pour éviter une embrouille de plus, et m'éviter à moi et mes gas une nouvelle bataille à combattre qui pourrait mener à la perte de mon cartel.

En sortant de la réunion, mon visage impassible mais intérieurement en ébullition, je regarde la ville engloutis par la nuit. La tension dans l'air est palpable, les rumeurs de conflits imminents résonnent dans les ruelles sombres. Des plans doivent être élaborés à l'heure qu'il est, les alliés doivent être ralliés, mais pour le moment, je choisis de me retirer dans l'ombre.

Avant de rentrer au domaine je décida d'aller dans un de ces magasins, dans la rue principal, qui dont les guirlandes illuminaient celle-ci. Mon regard se tourna sur une robe, qui me fis l'effet d'une bombe, mes yeux pétillaient. Elle en mettait plein les yeux. La robe ou Luna ? Evidemment elle ne serai pas pour moi, mais pour elle. Je me vois mal dans une de ces guerra, en robe, en essayant de tuer des hommes. Je fis un léger sourire à l'idée même de cette scène, qui pourrait me faire perdre estime de moi.
Depuis plusieurs jours j'eue l'idée d'organisé un bon dîner rien que elle est moi, pour parler avec elle, et lui faire montrer que tout ce qu'elle avait vu de moi depuis le début n'était une façade, et que dans le fond j'étais quelqu'un de bien. J'avais envie d'essayer de bien me comporter avec elle, après tout le plus gros connard dans cette histoire c'était moi. Je lui avais enlevé d'une certaine façon la vie, je lui avait tout retiré, même si il ne lui restait pas de famille elle avait quand même des amis, qui lui manque sûrement à l'heure actuel. Mais évidemment je devais rester sur mes garde, après sa tentative de fuite je me devais d'être moins distrait. Je la veux, rien que pour moi, je ne dois absolument pas la laisser partir. Si elle était là c'était pour une seule bonne raison, elle était la petite fille de ce fils de pute , mais après mainte réflexion, j'en avais conclue que ce n'étais absolument pas de sa faute, elle n'était même pas au courant pour lui. Je pensais quelle était au courant de tout ce qu'il trafiquait, c'est pour sa que je lui en voulais.

Revenant à mon repaire, je sirota un bon whisky, contemplatif. Les alliances brisées nécessitent des réparations délicates. Les lignes doivent être redéfinis, les loyautés réévaluées. Je me plonge dans la noirceur de la stratégie, élabore des plans pour restaurer l'équilibre et la confiance dans le cartel.

La journée avance si lentement, marquée par des appels téléphonique et des réunions secrètes. Les gas se pressent, obéissant à mes ordres. Chaque décisions est cruciale, chaque mot choisi avec précaution. Je jongle entre la diplomatie et la menace, naviguant dans les eaux troubles de la criminalités organisée.

En rentrant je la vis, elle est si belle quand elle souris, mais pour je ne sais qu'elle raison une envie de hurler sur celle-ci, pour je ne sais quelle raison je ne la supportais pas le voir heureuse, je veux quelle soit au plus bas, mais sa ? Ne serait-il pas mon cerveau qui me fis comprendre sa, dans le fond mon cœur veut qu'elle soit heureuse, et pourquoi pas avec un homme, comme moi ?