Ce baiser...

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J'étais sur le choque. Une Akashi! Se n'est pas possible Akashi n'a pas de sœur!

   - Je suis sa miraculeuse cousine adorée. Dit la minus

Sur ses mots la cloche sonna. Daiki s'habille et me prends l'avant bras avec pression. Rendu devant ma classe, il me dis ses mots.

     - Je sais que s'était traumatisant ce midi... Mais j'aimerais que tu me pardonnes. S'il te plaît ... Dit le bleuté en penchant sa tête

Je lève sa tête et le regarde dans les yeux. Les yeux qui veulent dire je te pardonne. Je lui fis un sourire rassurant en le laissant seul dans le couloir. Évidemment, pendant tout le cours j'étais perdu dans mes pensées. Après ce cours interminable, je sors de la salle de classe et aperçois Aomine parler avec deux autre gars.

    - Alors, le petit bleuet ne peut pas trouver une copine. Comme c'est triste. Dit un des gars en se moquant

  - Aucune filles ne t'aime. Dit un autre du même ton

Je m'avance vers ces malheureux gars et me colle contre le tors de Daiki. Je me mets sur la pointe des pieds et embrasse sa joue pour lui chuchoter quelques choses à l'oreille.

    - Fais comme si j'étais ta petite amie. Murmurais-je

Je le regarde puis il me fait un signe tête pour avoir son accord. Le basketteur tourne sa tête vers les 2 gars.

    - Qui t'a dit que je n'avais pas de copine? Dit Aomine

Un des gars se tourne vers moi et me dis avec un ton essayant d'être sexy.

    - Bonjour beauté~ À la place de se naze vient vers moi. Dit un gars brun

     - Même pas en rêve! J'aime les sportifs et toi tu ne l'es pas. Dis-je d'un ton moqueur

L'autre hommes nous dis quelque chose qui me fais figer.

    - Si vous êtes vraiment ensemble embrassez-vous! Aller-y!

Aomine me regarde avec un regard es-tu prête? Je lui répondis avec un regard d'accord. Il se penche vers moi et nos lèvres se frôle. Je peux sentir sa respiration sur ma peau. Je prends sa nuque et lui mes hanches. Il plaqua ses lèvres contre les miennes. J'accepte se baiser avec plaisir. Il me demanda une entrée pour mettre sa langue. J'entrouvre mes lèvres pour laisser un espace.

    - Ok! On en a assez vu. Tu payeras cher Daiki. Dit un des hommes

Le bleu nuit se tourna vers le masculin et lui dis fièrement.

    - Fais se que tu veux. Mais peu importe se que tu fais elle sera mienne.

Toi et moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant