Demain je fus aujourd'hui je suis. Le bonheur m'a touché ce matin sur ces vertus malformées. Oui je suis heureux car aujourd'hui je sais. La réflexion est mon bonheur qui reluit parmi tant de malheur. Le temps à chaque instant se crible mais l'éternel loisir ne reste pas moins tangible. Oui de chaque côté la joie me tient, oui demain je serais serein. Bonheurs hérétiques où passion se condamne. Je vois le bon au fin fond de chaque âme. Oui, cette goûte d'or dans le cœur de chaque homme m'avance dans le malheur des métronomes. Cette répétition insensée entre bien et mal créée en moi ce sentiment immoral,qui me guide et qui crée ces desseins bien aimés. Oui dans mon cœur c'est le printemps et la pluie ne laisse place au beau temps. Je sais car demain je suis, oui l'impiété me fui. Ces belles immondices sortant de mon cœur sont les symboles de mon bonheur. Car la passion dans ses yeux m'anime et la vie une tel déprime offre à l'homme de belle mélodie. Loin des pleurs et des cris, le silence qui écarte le mal du cœur des gens. Pourtant je ne pu m'y plonger bien souvent la pensée détruisant ma quiétude. Ici bas je m'éloigne des mauvaises habitudes.
Pourtant quand je vois ses yeux tout s'effondre autour de moi,elle est mortelle et son pouvoir sur moi semble sans limite. Il n'y a de doute que dans le cœur de celui qui veut croire,ce désir de comprendre pour ne pas décevoir. Quel est cette vie sans but sans moi quel est ce sentiment sans lutte face à toi. Je pleure cette indifférence malsaine. Oui je plane je suis étrange et pourtant je me plaît à vouloir les anges. Nul ici bas à besoin de toi cadavre transcendant qui ne fuit que les lois des hommes des hommes qui ne pensent pas. Si seulement j'avais le luxe de pouvoir plaire que ce soit par mes mots ou bien mon physique. Mais ici bas la tristesse intangible de ses stries qu'engendre les silences de mon cœur sont impalpable et se mue en malheur. Cependant même cette tristesse m'emplie de joie je me rappelle que je vie même si c'est sans toi. Je sais que je peux constater la beauté même dans celle qui face à toi n'ont pas ce qui te rend si irréel. Oui mort ton regard bleuté me rappelle le ciel pourtant je ne souhaite que t'éloigner de moi. Je ne pense qu'à ta douce beauté et à ces hommes en émoi. Je ne trouve qu'en toi ce qui fait de moi un homme cette liberté qui me permet ici de mettre des mots. Et même si demain le terre s'abat sur moi et même si les plus vicieuse sorcière de sabbat m'ensorcelle ce souffle de vie créé par les mots retranscrivent les émotions des oiseaux.
Oui chaque jour je me demande pourquoi mon âme est si récemment revenu.
J'étais heureux imbécile.
Pourtant sous les pulsions d'une inconnue.
Et bien chaque soir mon cœur vacille.
Le temps des tendresse et de la fragilité.
Murmure bien des mots
Mais ici bas le sentiment de ces hostilités
Est ce qui me fait défaut
Je n'existe que face à ceux qui ont du coeur
Et celle que j'aime semble ne pas en avoir
Mais je ne ferai pas mon étriqué
Car il te suffit d'un sourire pour m'avoir
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pensé
RandomL'éphémère vante l'éternel sans savoir qu'elle seule est réellement transcendante.