chapitre 2

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  Après quelques temps de trajet, pendant le quel j'ai été calme en écoutant parler, nous arrivons dans une favelas. Elle était comme toutes les autres favelas, des hommes se baladant torse nu avc leurs armes aux yeux de tous , des filles en short et body faisant des balade entre copine des enfants courant partout d'autres qui joue au foot, la passion de tout latino, mais surtout des visages reflétant le dangereux, une favelas comme tant d'autres.
  On arrive dans une rue et les deux autres garçons sortent, laissant tiò prendre la place du conducteur.

Raphaël : Enzo oublies pas qu'il revien se soir et que tu est attendu à la Casa del peligro.

Enzo: t'inquiète

Raphaël : on se sépare pour un cour instant bébé on se reverra très bientôt, me dit il en baladant un regard pervers sur moi

Rodrigo : bouge ton cul Raph on y va

Puis ils partent. Rodrigo a l'air d'être celui qui est calme, il ne me jete aucun coup d'œil comme son ami, qui lui passe son temps à me dévisager se qui ne manque pas de me dégouter même si pour autant ils sont tous les deux beaux très beau même.

Enzo: nos vamos a  casa mi sobrina(nous allons chez nous ma nièce) elle n'est pas grande mais j'espère qu'elle te plaira me dit il avc un sourire bien veillant

Moi : ne t'inquiètes pas je ne suis pas rempli de chichi juste un peu, lui répondis je avec un un peu d'amusement me sentant peu à Peu à l'aise avc lui.

Nous éclatons tous les deux de rire

Moi: je peux te poser une question tiò ?

Enzo: oui bien-sûr

Moi: je ne connais que les bases en Espagnol alors tu peut me dire sa veut dire quoi la Casa del peligro ??

Il détourne le regard de la route caillouteuse de la favelas pour me regarder pendant une fraction de seconde avant de le ramener vers la route en soufflant

Enzo: écoute mi sobrina quand on arrivera à la Casa j'aimerais qu'on parle

Dé qu'il finit sa phrase je suis direct angoissé.

Moi: tu me fais peur tiò dis je commençant sérieusement à avoir peur

Enzo: ne t'inquiètes pas

Après quelques paquet de maisons nous nous arrêtons devant une petite casa, petite mais mignonne, il éteint le moteur puis on descend, il prend ma valise déverrouille la maison puis nous rentrons.

Enzo: bienvenida a casa mi Sabrina

Moi: euhh... Merci?!?

Un autre fou rire nous attrape.

Enzo:je me demande serieusement comment tes bêtes de parents ne ton Pas appris ta langue natale

Dé qu'il la dit mon sourire est parti, et je deviens soudainement triste, et je crois qu'il a compris la gaffe qu'il a fait parce qu'il s'empresse de s'excuser.

Enzo: je suis désolée mi sobrina je voulais pas, s'affole t'il

Moi: ne t'inquiètes pas, lui rassurais je avc toujours le cœur serré.

Enzo: Vien je te montre ta chambre, tu vas te laver pendant se temps je nous prépare à manger.

Moi: merci tiò.

Il me montre ma chambre qui est aussi mignonne, je rentre dans la salle de bain et me déshabille, je me regarde dans la glace et direct me vien en tête du mépris, faut dire que je suis vraiment complexé par mon corps tout mince et mes cellules sur les cuisses, mes grosses joux n'en parlons pas .
Après avoir fini de prendre mon bain, je me saiche et vais prendre des habits dans ma valise comme il faisait chaud je me suis habillée simplement, un short noir, un petit body blanc et j'attache mes cheveux noirs qui m'arrive au bas du dos en un chignon haut et désordonné comme a mon habitude.
  Je sors de ma chambre et direct une odeur de crêpes me parviennent les narines.

captive de ses yeuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant