chapitre 3

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Les yeux d'Asesino en media il a les même.
( Désolé pour les fautes)

          Trois jours plus tard

Je me réveille le matin, encore une fois grâce aux rayons de soleil, mais cette fois si contrairement aux autres fois j'ai encore plus  mal dormi. Je me lève du lit la bouche pâteuse, le visage limite gonflé. Je pars dans la douche en traînant des pieds, dé que je rentre je me dirige vers le miroir. La minute suivante le miroir me montre une image d'un visage affichant le dégoût. Le visage plus cerné que jamais, les lèvres gonflées, et le pire cette blessure sous ma clavicule qui commençait à guérir peu a peu. J'étais toujours sous le choc de se qui c'était passé à la Casa el peligro. Après m'avoir fait ces blessure avc un putain de sourire de bâtards sur les lèvres, Asesino ma balancée a la gueule que j'étais désormais sa propriété et que j'avais jusqu'à fin de la semaine pour me préparer parce que je commençais le boulot au début de la semaine et aujourd'hui on est  dimanche, puis il m'a jeté or du bureau. J'ai pas trouvé mon oncle là-bas alors il a fallut que je rentre seule. Moi qui croyais que les gens allait mal me dévisager a cause du sang sur mon t-shirt, tout le monde s'en foutait c'est comme si ils avaient l'habitude de voir pire que sa. Mon oncle est rentrée la nuit et il a Vu le pensement en bas de ma clavicule que je m'étais faite en pleurant a chaude larme, sa a été un calvaire de faire celui dans mon bas du dos. Il a pété un câble tout seule en sortant des insultes en espagnol, bien sûr il a pas vu celui dans mon dos. Et ce que j'ai compris c'est qu'il ne pouvait que se crier dessus puis qu'il ne pouvait rien contre Asesino.
  
    Je continue mon Rituel et après avoir fini je sort de la douche pour m'habiller, comme il fesait chaud je porte un short noir et un gros t-shirt pour cacher mes pensement,gris.
Je sors de ma chambre avec mon téléphone et mes écouteurs il était 13h. Contrairement aux autres jours aujourd'hui je ne sens pas l'odeur des crêpes et il n'y a aucun bruit je comprends que mon oncle n'es pas là c'est bizarre. Je vais dans la cuisine mangé des céréales puis je décide de sortir Aujourd'hui.

Je marchais tranquillement dans cette rue caillouteuse de rocinha, pensant à tout et à rien. Je sais pas vous mais moi quand je suis seule, mon passe temps préfèré c'est de juger les gens, dire à quoi ils ressemblent toute façon ils sauront jamais a quoi je les ai qualifié et heureusement parce que sinon je serai six pieds sous terre après avoir fini de bouffées toute la terre se trouvant au Mexique.

...: Attention !!!

Je crois que je viens de frôlé la mort, et j'espère pour vous que vous n'allez pas dire que je dramatise pour rien. Y a une fille qui vient de passer en toute vitesse sur un vélo et 1cm plus prêt elle m'aurait rendus en bouillie pour moustique. Et j'étais arrêté la main sur le cœur, les yeux écarquillés et encore choqué.

Ma conscience : qu'elle fragile

  Fermé la oui plus forte que moi tu meurs mais là on parle de ma vie.

...: Désolé je voulais pas te faire peur . me  dis t'elle après avoir rendu le vélo a un gamin qui était avc elle

Moi: c'est pas grave t'inquiète

Si c'est grave je me chie dessus là

...: Moi c'est inara

Moi: Mara, dis je en serrant la main qu'elle m'a tendue et lui rendant son beau sourire

Inara était une fille simple mais archi belle. Les yeux verts, les cheveux longs et noirs tombant en casquade sur ses épaules. Un Peu plus géante que moi, la peux bronzé ce qui va de ouf avec ses yeux. Elle était habillé d'un shorts et un truc qui  à la même taille qu' un soutif  chais pas comment on appelle se trucs parce-que j'en porte jamais je laisse jamais mon ventre en l'air après ce qu'il m'a fait y a des années de cela vous le saurez peut être plus tard. Comparer à Elle je ressemble à un sac de poubelle.

captive de ses yeuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant