É P I S O D E 5.
— Dites moi, devons-nous nous en tenir seulement au sexe ? Lançais-je à celle-ci.
— J'accepterai vos caprices si vous acceptez les miens aussi Monsieur Mendes, répondit-elle.
Dans la rue nos bras entrelacés à l'élégance d'autan, nous marchions l'un contre l'autre assurément dans l'obscur clarté de la nuit à peine éclairé par quelques lampadaire sous le vent froid de la fin d'année prochaine.
La soirée c'était merveilleusement bien passée, la discussion fût naturelle, très simple et particulièremet correcte à croire qu'il ne s'agissait que d'un jeux entre nous.
Incapable de finir en partant en voiture, loin d'avoir envie de nous séparer, nous avions décidé de rentrer à pied mademoiselle n'habitant pas très loin des lieux.
Sa tête contre mon épaule, c'est comme transporté dans une autre réalité que tout les deux nous déambulions sans prêter une quelconque attention au reste du monde et aux passants avec nous.
Juste elle et moi, ainsi que sa question de tout l'heure qui dansait dans un coin de ma tête.
— D'accord, dis-je, alors notre relation quelle qu'en soit sa nature ne derva pas nous empêcher d'en savoir davantage l'un sur l'autre.
— Je pique autant votre curiosité ? Lança celle-ci sourire aux lèvres.
— Oui, en effet, avouais-je.
— D'accord Marilyn, vous saurez davantage sur moi, fit-elle.
Un sourire s'empara de mes lèvres tandis que je lui rétorque le ton grave :
— Mon prénom est dangereusement utilisé à travers votre voix.
Mademoiselle Thompson quitta mon bras puis vint s'arrêter en face de moi d'un pas d'une grâce séduisante, comme pour me couper le chemin, voir même le souffle, m'abreuvant de la vue de son magnifique visage.
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Borderline
Любовные романыParfois, les plus beaux joyaux de la nature s'épanouissent dans les environnements les plus hostiles. Ils baignent dans une lumière de détresse, grandissent à la souillure de l'eau froide, éblouissent autour des ronces, et dévorent à jamais insatia...