𝕋𝕙𝕒𝕟𝕜 𝕐𝕠𝕦 𝔽𝕠𝕣 𝔼𝕧𝕖𝕣𝕪𝕥𝕙𝕚𝕟 [𝕄𝕚𝕜𝕖𝕪 𝕩 𝕆𝕔]

12

- T'es qui toi ? Toi aussi tu te tapes cette-

Je ne le laisse pas finir sa phrase que je le frappe pour qu'il ne la finisse jamais.

Mikey arrive près de Rei qui était toujours prise de panique.

- Ose poser tes salles pattes et tes yeux sur elle et je te jure que je vais te broyer les os.

Je me dirige vers ma soeur pour lui demander si elle va bien.

- Fils de- je tente de l'insulter.

- Rin. M'arrête ma soeur.

- Désolé.

J'avais oublié qu'elle n'aimait pas que j'insulte les parents des gens devant elle.

Je salue les autres puis je ramène ma soeur à la maison.

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Pdv extérieur :

Après que Rin et Rei se soient éloignés d'eux, Mikey s'approche du garçon en question et s'agenouille à sa hauteur.
Il lui sourit ce qui rassure Haru mais il revient rapidement sur terre quand son sourire disparaît et reçoit un coup de poing au visage qui finit par l'achever.

Mikey continue de le frapper mais il fut arrêté par Draken.

- C'est bon Mikey.

Il se lève puis se tourne pour partir sans dire un mot.

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Pdv Rei :

Je m'allonge sur mon lit après un bon bain, toujours en serviette.
J'entends quelqu'un toquer à la porte de ma chambre.

- Je suis occupée, Rin.

Pas de réponse.
La porte s'ouvre puis je m'assois sur le lit pour regarder pourquoi il est rentré.

- Manjiro ?

Je le vois devant la porte de ma chambre fermé.

Je me lève d'un coup en réalisant que c'est vraiment lui.

Il avance vers moi puis me prend dans ses bras.

Je suis juste en serviette.

- Désolé, Rei.

- Laisse moi m'habiller d'abord.

Il se détache de moi puis me regarde de haut en bas, il se met alors dos à moi.

Je prends rapidement mes vêtements et m'habille à toute vitesse.

- C'est bon, tu peux te retourner.

Il se retourne puis me regarde.
Il me demande de m'assoir sur le lit puis il se joint à moi.

- Ce n'est rien, je ne t'en veux pas. Je lui dis alors.

- Je sais que tu penses que c'est de ta faute, je te connais, tu es du genre à écouter ce que les gens te disent.

Il se lève puis se met devant moi et me relève le menton pour que je le regarde, il s'approche puis il me dit :

- T'es à moi, que ce soit tes peines, ou tes souffrances.

Je rougis de plus belle tandis que mes larmes commencent à couler sur mes joues.

Toujours assise, je le prend dans mes bras en passant mes bras autour de ses hanches tandis qu'il me caresse la tête pour que je me calme.

- Quel pleurnicharde, tu es bien pire que Takemichou.

- Non, pas à se point. Je lui réponds.

Il me relève le menton puis viens déposer des bisous partout sur mon visage.