Mal au cœur.

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Deux heures plus tard, Monsieur Kim sort de son bureau et j'en profite pour aller lui dire deux mots à ce patron en carton.

Je sors de mon bureau et toque au sein.

- ENTRÉE.

J'entre et referme la porte avec le verrou.

M. Jeon – hé qu'est-ce que tu fais. Il me regarde plein d'incompréhension

Je tourne la tête vers lui, le fixent bien énervé.

Moi – vous avait un culot plus gros que votre cerveau.

Il a l'air confus et se pousse légèrement en arrière en glissent avec la roue de son siège.

M. Jeon – heu, j'ai loupé un épisode. Ouvre cette porte sinon ça va mal se passer. Je m'avance vers lui plein de rage et il se lève.

M. Jeon – tu dérailles ou quoi, qu'est qui ne va pas chez toi. Il a l'air confus et perdu, mais je n'en ai rien à foutre.

Moi – vous n'avait aucune honte de me traiter de la sorte.

M. Jeon – je te demande pardon, j'ai du mal à suivre. Dit-il en se mettant face à moi

Moi – fermez la et écoutez-moi. Depuis que je suis ici, je fais comme si de rien étais. Comme si rien ne s'était passé pour ne pas, vous importunez. Mais vous ne faites que me provoquer. Vous faites comme si je n'existais pas alors que c'est moi qui gère tout vaut rendez-vous et qui vous accompagne partout sans rechigner et vous me faitent vivre un enfer avec votre comportement de matcho et votre ego surdimensionné. Comment vous aviez osé me salir. Vous racontez à vos collaborateurs qu'on a couchés ensemble. Moi, je ne l'ai dit à personne.

Il s'approche de moi et met son index sur mes lèvres pour que je la ferme.

M. Jeon – pour commencer vous allait...

Ça n'a marché que quelques secondes, je retire son index et me remet à débiter.

Moi – je n'ai pas ouvert ma bouche, je n'ai rien dit, je suis sérieuse dans mon travail et vous me dénigrez.

M. Jeon – je n'ai jamais rien dit à part à mon meilleur ami et c'est Kim taehyung.

Je ne parle plus et l'écoute même si je suis toujours énervé.

M. Jeon – tu as du culot toi aussi de venir te plaindre dans mon bureau alors que c'est toi qui as commencé. Tu veux que je sois honnête avec toi. Très bien. Il marque une pose et j'attends qu'il poursuive en placent une main sur ma hanche et en remettent ma mèche derrière mon oreille le fusillant toujours du regard.

M. Jeon – à la base, moi, je voulais dialoguer avec toi et tu m'as direct montré que ici, c'était le travail et que tu regrettais ce qu'il s'est passé.

Je le coupe

Moi – non, ce n'est pas vrai, c'est...

M. Jeon – la ferme, écoute-moi bordel. Il tape un poing sur sa table et s'avance encore vers moi, mais je ne fais pas un seul pas en arrière même si notre visage sont qu'à quelques centimètres.

M. Jeon – j'ai voulu te montrer que tu me plaisais. Mais tu ne voulais parler de rien d'autre que du travail. Moi, cette nuit-là, j'ai ressenti qu'elle que chose de très fort. Je le sens toute aussi énerver que moi en entrent dans son bureau.

Je suis bouche bée.  Ma colère redescend d'un étage.

M. Jeon –mais tu ne m'as pas laissé de te montrer quoi que ce soit. Tu étais gênée que l'homme à qui tu as laissé tout ton corps entier pendant une nuit et qui t'a fait jouir comme si c'était la première fois soit ton patron. Sa colère grandissait à vue d'œil. Mon patron commencé a bien élevé la voit.

Non tu es mon BossOù les histoires vivent. Découvrez maintenant