• 𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟏𝟐

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◦ Esther ◦

Nous devons nous rendre a Monaco.
Pour le grand prix.
Je ne voulais pas y aller.
Mais je ne pouvais aussi, pas refuser.
Sa ne se refuse pas.
Surtout le grand pris de Monaco.
Ce grand prix mythique.

Nous avons prix le train. Du Havre a Monaco. Deux jours avant le jours de presse. Donc les garçons nous ont accompagné. Comme ils ont dit "Faire duré le fun et le plaisir jusqu'au bout."

Nous somme donc 5 dans un carré de quatre.  Pourquoi pas? Alors oui on a tous payer nos place. Mais Evan était seul a une place.
Donc il est venu a notre carré, moi sur ces genoux.

Nous rions tous ensembles. En faisant. beaucoup de bruit. Plusieurs personnes du wagon se retourne vers nous.
Soit puisqu'il y a les Leclerc.
Soit car nous faisant trop de bruit.
Au choix.

Au début du trajet, je stressais, beaucoup trop. Mais plus le temps passe, moins je stresse. Même si je suis accompagné et je ne risque pas de me perdre, j'ai quand même peur.
Il y a juste beaucoup de monde a la gare, et le train est bondés.
Je déteste de monde.
Je déteste les gens.
Mais je déteste être seule.
Trouver la logique?

Pendant le trajet, Arthur et Lorenzo, font beaucoup d'aller retour dans les wagons. Et en passant devant notre carre, ils rigolent.
Lorenzo? Qui l'aurait cru? Le petit sage du groupe?

***

«On t'attend au parking dehors pour aller chercher les voitures de loc» Dit Evan a l'attention de charles qui monopolise tout l'attention de ces fans.

Il nous fait un pouce en l'air.

A peine sortie de l'avion, nous nous sommes fait bombarder de fans, enfin surtout Charles.
Arthur en a eu moins.
Evan et moi, on c'est décalé pour faire comme si nous étions pas avec eux.
Passer inaperçu.
Ou du moins essayer.

Nous sommes donc devant l'entrée du parking attendant Charles. Arthur et Evan cours partout entre les voitures en bougeant les bras dans tout les sens, et en criant.
On dirait des fous...

Quand quelques personnes passent devant nous, pour accéder ou sortir du parking, on fait comme si nous connaissons pas les garçons.

Alors que nous voyons Charles rentrer au parking, Arthur et Evan passent vite, devant nous en courant et criant.
On les regarde et jugent quand ils passent. Puis explosons de rire.

Mais quand les garçons repassent devant nous, je commence a courir derrière eux suivie de près par Charles et étonnement Lorenzo aussi.
Nous sommes donc cinq débiles a faire le tour du parking en criant comme des cons.

«J'aime trop» Crie Charles derrière moi.

«Moi aussi j'adore ce genre de moment» Je dit en criant, en voyant qu'il commençait à pleuvoir.

Nous mettons vite les valises dans le coffre, et montions à l'intérieur.
Quand nous sommes enfin dans la voiture, trempé mais dans la voiture.
Je vois Lorenzo sur son téléphone, et quelque seconde plus tard, le miens et celui de Charles sonnes.
Une story.

(la photo c'est enlever)

Je republie la photo dans ma story a contre coeur.

«Euh Esther? Ton tee shirt est blanc...» Me dit Arthur à côté de moi.

«Merde» Je chuchote en cachant les haut de mon buste.

«Tiens» Me dit Charles, en me passant son pull, et qui ne rompt pas le contact visuel avec moi.

Je le prend, en touchant sa main, et le met. Son pull est chaud, vu qu'il l'avait mit toute la journée, et sens son odeur, son parfum.
Evan et Arthur me regardent et font tout les deux une danse de sourcils, ce qui le fait rougir. Lorenzo, lui,  regarde Charles puis moi. Et commence a faire un petit sourire...

***

Nous nous rendons a notre hôtels. Grâce, au garçon, pour ce grand prix, nous avons une chambre dans le même hôtel que l'hôtel des pilote, aussi grâce a Lando.

Les mécaniciens sont dans des hôtels juste à côté.
Notre hôtel logent tout les pilotes ainsi que quelques proches.

Vu que le trajet a duré une bonne partie de la journée, ce soir nous sommes tour les cinq fatigués. Donc pour aller manger, on ne s'habille pas si bien que sa.

Pour la part, je met un top blanc avec un cycliste. Puis pour les chaussure je met mes Jordan.

Au lieu de la chemise je met le pull de Charles pour pas avoir froid.

Les garçons eux, mettent des jogging ainsi qu'un tee shirt.

Mais il était un peu tôt pour aller manger puisque le restaurant n'était pas ouvert. J'ai donc décidé de sortir me balader. Les garçons ont décidé de se reposer.
Je sort donc de ma chambre et commence a descendre par les escaliers.

Quand j'arrive a l'entrée de l'hôtel, mon téléphone sonne signe que j'ai reçu un message.

-De: Carrefour 🏎️:
Attend moi si t'es pas trop loin, les gars mon dit que t'allait te balader j'arrive

Je lui réponds que je suis qu'a l'entrée de l'hôtel et que je l'attend.

Quelque minutes plus tard. Je vois un Charles apparaître devant moi, il est aussi habillé d'un short noir et un de ces pull.

Je commence a me diriger vers un chemin pour se promener.

«Je te dérange pas j'espère, je savais pas si tu voulait resté toute seule ou pas» me dit-il calmement et en chuchotant pour pas me brusquer.

«Si je t'es attendue c'est que sa ne me dérange pas Charles» Je réponds aussi calmement que lui.

Il me fait un large sourire, je lui fait le même sourire et il commence a marcher pour me dicter a travers les rue de son bout de cailloux.

Charles m'emmène voir La Tête De Chien. Il me raconte que c'est la meilleure vue de Monaco.

«C'est juste magnifique» Je chuchote alors que nous étions arrivés en haut.

«J'adore venir ici quand je suis sur Monaco» Me répond-il.

«Tu m'étonnes la vue est sublime»

Nous restons la à regarder la vue pendant plusieurs minutes. A observer dans le calme. Seule le bruit de la ville lointaine se fait entendre, ainsi que le bruit de nos respirations en rythme.

Je sors de la rêverie quand le téléphone de Charles se fait entendre.

«Oui pardon on arrive... ouai bah désolée... oui dans 10 minutes on est la» Discute Charle avec son interlocuteur.

Il m'explique la situation, et nous nous dirigeons rapidement vers l'hôtel pour manger.
Sur le trajet su retour, malgré qu'on soit pressé, nous arrêtons pas de rire, ou de nous moquer des passants.

Une fois que nous arrivons dans la salle de restauration, nous voyons Evan parler avec une fille, Qui est elle même accompagnée.
Je m'avancerais vers oui qui est entouré des deux Leclerc.
Je remarque aussi quelque pilotes regarder la scène de leurs tables...

Quand je suis a la hauteur d'Evan je remarque qui est cette mystérieuse femme.

«Elly...?» Je commence

***

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𝐋𝐞 𝐭𝐞𝐦𝐩𝐬 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐥𝐞 𝐝𝐢𝐫𝐚Où les histoires vivent. Découvrez maintenant