◦ Esther ◦
Nous sommes le lendemain du "drame".
Les Leclerc on été présent tout aujourd'hui.
C'est des amours.
Il faut vraiment avoir cette famille dans sa vie.Ce soir j'ai eu comme information, de bien m'habiller et d'être prête devant cher moi, devant l'hôtel, pour 20h30.
Chose faite.
Je suis habillé simplement d'une robe crème avec des bottes de la même couleur. Je me suis aussi maquillé et coiffé très simplement; j'ai juste mit du mascara et du gloss pailleté, j'ai laissé mes cheveux naturels lâcher a l'arrière.Une fois dehors dans la rue, je remarque que j'ai 2 petite minutes de retard. Mais quand je finit de remettre mes cheveux en ordre; je vois une belle Ferrari F40 se garer devant moi.
𝐌𝐚 𝐯𝐨𝐢𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐩𝐫𝐞́𝐟𝐞́𝐫𝐞́.
Je vois ensuite la vitre passager se baisser, ces yeux émeraude me scrute.
Charles.
𝐌𝐨𝐧 𝐩𝐢𝐥𝐨𝐭𝐞 𝐩𝐫𝐞́𝐟𝐞́𝐫𝐞́.«Est-ce-que cette jolie demoiselle me ferais l'honneur de montrer dans son carrosse» Me dit-il t'elle un gentleman.
«Bah bien évidemment mon cher» Je dit le sourire au lèvres.
Je monte donc dans la Ferrari, je m'affale carrément.
Je suis fatigué.
Je n'aime pas dormir seul.Je remarque que Charles est habillé d'un beau costard clair.
On c'est coordonnées sans le savoir.
Tel un jeune petit couple...Pendant la route, nous rigolons, chantons a nous en perdre la voix sur des musiques des années 80-90.
⟪𝐐𝐮𝐚𝐧𝐝 𝐣𝐞 𝐬𝐮𝐢𝐬 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐭𝐨𝐢, 𝐣'𝐨𝐮𝐛𝐥𝐢𝐞 𝐭𝐨𝐮𝐭 𝐜'𝐪𝐮𝐢 𝐯𝐚 𝐦𝐚𝐥⟫ 𝐃𝐢𝐧𝐨.
J'aime cette ambiance.
Oui.
Oui merci.
Merci de me faire oublier tout se qui se passe.
Merci de me changer les idées quand sa va pas.
Merci de me faire sourire chaque minute de ma sombre vie.Merci d'être eux.
Merci d'être toi.
Merci Charles...La soirée se passe divinement bien.
Dans le calme et la bonne humeur.
Nous rions.
Chantons.
Comme si nous étions seule.
Comme si nous étions seuls au monde.
Alors que dans la salle du restaurant est pleine.
Que rien ne pouvais nous atteindre.
Comme si nous étions intouchables.Mais rien ne dure éternellement.
Rien n'est éternel.
Tout est éphémère.Tout se passait parfaitement bien jusqu'à se que cet appel arrive.
L'appel qui va boulversé la soirée.
La changé.« "Bonjours, vous êtes bien mademoiselle Derkson?"
"Oui?" Je réponds en sortant de la salle.
"Bien, c'est l'hôpital, je vous appelle car votre père a été envoyé or de France, dans un hôpital psychiatrique beaucoup plus sécurisé et abouti que le notre." J'entends a l'autre bout du fil. "Vu que vous avez donner votre numéro pour être au courant de tous se qui le concerne, je me doit de vous informer qu'il sera interné pour de nombreuses années." Finit le médecin.
"Je vais vous dire quelque chose. Je ne veut plus entendre parler de cet homme. Ce n'est plus mon père. S'il vous plait je ne veut plus souffrir oublier ce numéro." J'essaye d'articuler au bord des larmes. »
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𝐋𝐞 𝐭𝐞𝐦𝐩𝐬 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐥𝐞 𝐝𝐢𝐫𝐚
Hayran Kurgu𝐂𝐇𝐀𝐑𝐋𝐄𝐒 𝐋𝐄𝐂𝐋𝐄𝐑𝐂 - Un grand prix marquer par le destin. Il avait peur de s'attacher, refuse catégoriquement d'ouvrir son cœur par peur de souffrir. Elle n'avait vécus que de mauvaise expérience, ne souhaitant plus donner sa confiance el...