• 𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟏𝟔

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◦ Esther ◦

Nous somme dimanche.
Le jour de la course.
Et le temps est aujourd'hui au beau fixe.
Une grand soleil rayonne sur Monaco.
Pas comme hier, ou tout était le contraire.
Mais j'espère qu'il ne se passera quand même rien.

Ce matin était assez agitée a l'hôtel, l'ambiance était stressante.
Très stressante.
Tellement stressante que sa ma stresser moi même.

Vu qu'il fait bon sur la principauté, je me suis habiller d'un corset blanc, et d'un cargo marron.

Nous nous dirigeons, avec Evan, vers le restaurant pour manger.
Les pilotes, eux, sont partie très tôt au paddock.
Logique.

Nous sommes tout les deux installés avec notre plateau.
Je le regarde intensément.
L'envie se manger n'est pas présente.
Je sais que Evan a ce regard interrogateur posé sur moi. Un regard plein de questionnement.
Oui.
Oui je ne vais pas manger.
L'envie n'est pas la, donc non.
Non je vais pas mettre un de ces aliments dans ma bouche.

⟪𝐂'𝐞𝐬𝐭 𝐝𝐫𝐨̂𝐥𝐞 𝐚̀ 𝐜𝐡𝐚𝐪𝐮𝐞 𝐛𝐨𝐮𝐜𝐡𝐞́𝐞, 𝐣'𝐚𝐢 𝐞𝐧𝐯𝐢𝐞 𝐝'𝐯𝐨𝐦𝐢𝐫,
𝐏𝐞𝐭𝐢𝐭𝐞 𝐬𝐚𝐥𝐨𝐩𝐞 𝐝𝐞 𝐛𝐨𝐮𝐥𝐞 𝐚𝐮 𝐯𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐭𝐮 𝐯𝐚 𝐦'𝐥𝐚𝐢𝐬𝐬𝐞𝐫 𝐭𝐫𝐚𝐧𝐪𝐮𝐢𝐥𝐥𝐞?⟫ 𝐋𝐨𝐦𝐞𝐩𝐚𝐥.

Quand je suis en pleine battle de regard avec mon assiette, je sens une main se poser délicatement sur mon épaule. Je sursaute et me retourne en regardant la personne dans les yeux.

«Les gars m'ont dit que t'étais pas très bien hier après les qualifs, je vous est trouvé des place dans le vip pour que tu soit pas entouré de plein de monde; Charles voulait vous l'apporter mais il a été retenu avec ces mécaniciens.» Nous dit Lorenzo, avec deux pass vip Ferrari.

«Lorenzo je-...» Je commence.

«Arrête c'est non négociable» Me coupe Evan.

Bon?
Je crois que je suis encore obligé.
C'est vrai sue c'est gentil de leurs part, pour que je me sente bien.
Je suis toujours bien en leurs compagnies.
C'est c'est une obligation très sympathique.

L'heure de la course avance a grand pas.
Dans une heure environ, les voiture s'aventureront dans les rue du caillou.
Pour mon plus grand bonheur le beau temps est toujours au rendez-vous.

Nous sommes, Lorenzo, Evan et moi installer au vip.
Tous se que j'ai retenu jusque la, c'est que la nourriture venant de la Scuderia est juste délicieuse.

«Ça va tu ne stresse pas trop pour la course» Me demande Lorenzo.

«Un petit peu, le temps est bien, donc sa peu mieux se passer que hier» Je réponds en regardant les grands écrans.

Un bruit de moteur me relève de mon petit sommeil léger.
Oui.
Oui, je n'est pas énormément dormi cette nuit.
Evan était crevé donc il c'est vite endormi.
Moi, vu que j'étais seule, je n'est pas réussi.
Donc je rattrape mes heure de sommeil comme je peut.

Je me réveille donc en sursaut quand le tour de chauffe est lancé.
La pression monte.
Le stresse monte.
La nervosité monte.
Tout.

Le départ se passe globalement bien, les pilotes font attention a mon plus grand bonheur.
La course se passe aussi globalement très bien.
Il reste que quelque tour quand une sonnerie de téléphone sonne.

𝐋𝐞 𝐭𝐞𝐦𝐩𝐬 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐥𝐞 𝐝𝐢𝐫𝐚Où les histoires vivent. Découvrez maintenant