Aria Malefoy tome 3 : Ultime Bataille

Chapitre 1 : De grandes vacances avant une grande mission

Exceptionnellement, je publie le premier chapitre ce soir. Je m'excuse du retard, je n'étais pas en forme vendredi 30 juin, et je n'étais pas chez moi hier soir. J'espère que ce troisième et ultime tome vous plaira.
Tiphaine

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Les vacances avaient commencé, le mois de juillet arrivait à sa moitié, et une jeune femme blonde aux yeux gris profitait du beau temps pour monter à cheval. Elle adorait galoper avec Yankee, un magnifique cheval pie blanc et bai avec une crinière blanche et noire, et cela simplement car elle ressentait la liberté que ça lui procurait. Sa mère, Narcissa Malefoy, l’observait assise à l’ombre d’un chêne. Elle avait le teint cireux, les yeux aussi gris que ceux de sa fille, et ses cheveux étaient également aussi blond que ceux de sa fille, à une exception, quelques mèches noires s’y glissaient.

Ce jour-là, elle montait pour oublier. Oublier son frère qui sombrait de plus en plus dans les ténèbres. Elle avait beau essayer de le raisonner, en vain. Il suivait la même voie que leur père, et cela la rendait malade. Elle aimait son frère, mais elle ne supportait pas de le voir passer du côté du Seigneur des Ténèbres. Quand elle mit pied à terre, Narcissa s’approcha d’elle.

- Aria, ma chérie. Appela-t-elle. Je veux te dire deux mots. Enchaina-t-elle. Le Seigneur des Ténèbres veut organiser ses réunions ici.
- En quoi cela me concerne ? Demanda la jeune blonde.
- De nombreux mangemorts seront là dans les prochaines semaines. Commença Narcissa. Severus arrivera dans une semaine, et ce à cause de la mission que lui a confié le Seigneur des Ténèbres. Continua-t-elle.
- Une mission ? L’interrogea Aria.
- Le Seigneur des Ténèbres l’a nommé comme ton protecteur, il ne devra pas être séparé de toi. Expliqua Narcissa à sa fille.

Aria ne disait plus rien, elle se demandait pourquoi Voldemort avait chargé Rogue de sa protection. Elle rentra Yankee dans son box avant de retourner vers sa mère.

- Maman, je peux te confier quelque chose ? Demanda Aria.
- Oui, bien sûr. Répondit Narcissa.
- Tu dois d’abord me promettre que tu ne diras rien à père, et au Seigneur des Ténèbres, même s’il te torture. Dit la jeune femme.
- Je te le promets ma chérie. Répondit la mère de la jeune femme.
- Je ne ferais pas ma septième année à Poudlard, j’ai d’autres projets. Annonça-t-elle en baissant la tête.
- Quels sont tes projets ? Demanda la femme blonde aux mèches noires à la jeune femme.
- Je compte suivre Hermione, Ron et Harry pour une mission. Je ne peux pas te dire qu’elle est cette mission, mais tu le sauras en temps voulu. Expliqua Aria.

Narcissa s’approcha de sa fille et l’enlaça. Elle n’avait pas dit un mot, mais elle acceptait sa décision. Elle préférait savoir sa fille avec ses trois amis, qu’à Poudlard qui est sous le contrôle des mangemorts. Elle serait même prête à aider sa fille au péril de sa vie. La mère et la fille entrèrent dans le manoir. Lucius les attendait dans l’entrée.

- Aria, tu étais encore en train de monter à cheval au lieu de t’entraîner au Quidditch. Dit-il sur un ton accusateur.
- Père, je me suis déjà assez entraînée, je vous rappelle que cette année j’ai été sacrée comme meilleure attrapeuse de ma génération. Dit Aria sur un ton de défi.
- Ecoutes-moi bien jeune fille. Commença Lucius en attrapant le bras de sa fille. Dans deux semaines le Seigneur des Ténèbres sera là pour donner ses réunions. Que tu y assistes ou pas, je n’en ai que faire, mais je ne veux pas que tu nous manques de respect, à moi ou à ta mère devant lui. Ordonna Lucius à la jeune blonde.
- Oui, père. Répondit Aria en se libérant de son emprise.

La jeune femme monta dans sa chambre, et raconta sa journée dans une lettre qu’elle envoya à Hermione. Elle passa le reste de la semaine à s’entrainer au saut d’obstacle avec Yankee. Elle continuait bien sûr à voir sa mère, qu’elle appréciait beaucoup. Elle se disputait avec son frère, car ils ne partageaient pas les mêmes idées, c’est ce qui les a séparés. Elle aurait voulu tout arranger entre eux, mais le dialogue était impossible.