Chapitre 12

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Je descends son pantalon et touche son sexe. Il est gros, je comprends mieux les cris de ma femme, ce qu’elle a dû ressentir, la douleur que ce machin lui a fait. Je retire ma main et j’écarte ces globes pour voir dans quoi je vais bientôt taper. Je regarde autour de moi et me rends compte que j’ai oublié mon téléphone. Je voulais couper les caméras pour ne pas qu’elle assiste à ça, mais tant pis. J’entre un doigt dans son petit trou, c’est très serré, je vais sûrement me faire mal à la bite, mais ce n’est pas grave, ça vaut le coup. Il se réveille enfin et se débat.
— Lâchez-moi, putain !
— Alors ça fait quoi d’être en position de faiblesse ?
— Laisse-moi, fils de pute, je te jure que sinon…
— Sinon tu vas faire quoi, hein ?
Je rigole, m’allonge sur son dos.
— Tu sens ma bite frotter sur ton cul ? À combien de femmes as-tu fais la même chose ? Tu trouves que c’est agréable ?
— Vous êtes pareil !
— Oui, mais sur terre, il ne peut y avoir qu’un seul diable.
Je prends mon sexe en main pendant qu’il se débat et le rentre dans son cul. Je passe la rondelle doucement, pas pour lui, mais pour moi, son anus tout serré me fait mal.
— Non, non, non.
— Oh putain, si.
Une fois passé complètement la rondelle, j’avance plus vite et il hurle comme si je l’égorgeais.
— Alors tu aimes ça ? Tu trouves ça excitant ?
— Connard ! Fils de pute !
— Tu te répètes.
Je commence à donner de grands coups de reins. Son cul ne me fait pas bander plus que ça, je me concentre surtout pour ne pas ramollir. J’attrape sa tignasse poisseuse, mais le lâche aussitôt et regarde mes mains. Il saigne de la tête, je ne l’avais même pas remarqué avant. Je fixe ma main, hypnotisé par cette couleur rouge, approche mes doigts de ma bouche… Putain, ce goût métallique, je l’adore ! Là où je n’étais pas excité il y a quelques secondes, tout change quand ce liquide entre dans ma bouche.
— Putain de merde !
Je l’attrape par les cheveux et claque sa tête sur le sol. Ses cris commencent à me faire mal à la tête.
— Ferme-la, putain !
Il tombe à nouveau dans les pommes. Je fais encore quelques allers-retours puis sors sans avoir joui. Je voulais juste l’humilier, mais je veux vraiment prendre mon pied, moi, et ce n’est pas assez de lui prendre le fion de force. Je le retourne et constate qu’il est en demi molle. Et bien, mon pervers, tout te fait bander apparemment. J’ai alors une autre idée, sors de la pièce en le laissant comme ça et vais chercher mon arme dans mon antre, ainsi que mon téléphone. Océane est là où je me doutais qu’elle serait, devant les caméras. Elle lève la tête, mais n’a toujours aucune expression sur le visage. Elle ne me dit rien du tout, alors je prends ce qu’il me faut et repars faire le bourreau. Quand j’entre dans la pièce des amoureux, qui étaient tranquillement en train de s’embrasser, le frère se met devant sa sœur, en protecteur.
— Laissez-nous sortir, s’il vous plaît.
Il regarde mon sexe qui est devenu tout mou.
— Ma femme m’a dit de vous laisser partir tous les deux, donc je le ferai. Mais je veux quelque chose encore.
Il se recule, toujours avec sa sœur derrière lui.
— On veut juste partir.
— Ça sera fait, mais pas encore.
J’ai trop envie de faire ça, car je veux qu’ils payent. Après, je laisserais peut-être le couple s’en aller, je vais y réfléchir s’ils font exactement ce que je veux.
Je vise la fille.
— Non, non, ne lui faites rien ! Je ferais tout ce que vous voulez, mais ne faites rien à Mia, s’il vous plaît.
— Tu vas aller dans l’autre pièce et violer ton pote.
— Quoi ?
— Je veux que tu lui baises le cul et que tu lui fasses mal. Quand ça sera fait, ta sœur et toi pourrez partir.
— Mais non !
— Très bien.
J’arme mon pistolet et m’apprête à tirer.
— Non, non, je ferais ce que vous voulez.
J’ouvre la pièce d’à côté et on peut apercevoir le mec allongé par terre, inconscient et attaché.
Le fameux Liam commence à avancer en tenant la main de sa sœur.
— Oh non, elle reste là avec moi.
— Quoi ? Mais non, je ne vais pas la laisser avec vous, vous êtes un malade ! Je veux bien faire ce que vous voulez, mais elle reste avec moi.
— Très bien.
Je passe la porte et me retrouve avec la loque,
Je ferme la porte derrière moi, prenant mon téléphone pour bloquer les accès, puis je fais diffuser de la fumée. Elle est fausse, elle va juste les faire tousser, c’est une de mes inventions. Quand ils se rendent compte de ce qui se passe, ils commencent à paniquer et tapent aux murs.
— Je vais le faire, ne nous tuez pas ! Je vais le faire, promis.
J’éteins la fumée, ouvre et Liam entre à l’intérieur, déterminé.
— Je vais le faire, mais ne lui faites pas de mal.
Il se dirige vers son pote et, moi, je pars de l’autre côté avec la fille, en refermant derrière moi. Liam regarde cette ouverture qui n’en est plus et souffle. Je surveille tous ses faits et gestes avec mon téléphone. Il s’approche de son pote déjà cul nu, ne sachant pas trop quoi faire.
— Je vais le faire pour toi, Mia.
Je me retourne vers la fille qui est dans un coin et pleure.
— Il t’aime vraiment, ton frère…
Elle ne dit rien, mais se recroqueville encore plus. Avec mon téléphone, je cherche la fonction pour couper la caméra dans mon bureau, je ne veux pas qu’Océane voie ce que je m’apprête à faire. Une fois que c’est fait, je m’approche de la fille, toujours en surveillant son frère. Quand elle me voit près d’elle, elle couine.
— Lève-toi.
Elle ne s’exprime toujours pas et pleure de plus belle puis me lance enfin :
— Laissez-moi monsieur, je n’ai rien fait, j’ai essayé de leur dire de la laisser, ils n’ont rien voulu écouter.
— Tu savais que ton frère était amoureux de toi, différemment, depuis longtemps ? C’est pour ça que je l’ai obligé à te baiser, j’ai trouvé sur son tel des photos et des vidéos de toi nue en train de baiser l’autre fils de pute ou en train de te caresser.
— Quoi ? Non, vous mentez !
— C’est la vérité.
Je la fixe intensément. Je ne vais pas mentir, depuis que j’ai vu sa chatte, tout à l’heure, je ne rêve que de la toucher moi-même, et je préfère qu’Océane ne voie pas ça. Je ne suis pas sûr qu’elle acceptera que je la trompe de cette manière. Elle me connaît et saura que c’est une envie et non une vengeance, ce qui change tout.
— Tu vas te lever, t’allonger sur le sol, nue, et te caresser.
— Quoi ? Mais non, je ne le ferai pas.
— C’est ça ou je tue ton frère ! C’est votre chance de vous échapper d’ici. Toi qui t’occupes de moi et ton Liam qui s’occupe de l’autre.
— Non, mais je…
— Je te laisse le choix.
Elle pleure, mais se lève, elle sait pertinemment que je ne mens pas et que je leur ferai du mal sinon. Elle se déshabille, en pleurant à chaque bout de tissu qu’elle retire. Une fois nue, elle se cache avec ses mains.
— Allonge-toi, écarte bien les jambes et caresse-toi.
Elle obtempère et j’ai une vue imprenable sur cette putain de chatte. Mon sexe se redresse d’un coup, il ne pense qu’à une chose, aller la baiser. Mais, à la place, je m’assois et la regarde intensément.
— Touche-toi maintenant.
Elle le fait timidement, en pleurant.
— Mieux que ça !
Elle s’efforce, mais l’envie ne vient pas. Je m’approche d’elle, elle me sent et rampe sur le dos pour essayer de m’échapper.
— Je vais te lécher, j’ai envie de goûter ta chatte depuis tout à l’heure.
— Non, monsieur, s’il vous plaît, je ne veux pas.
— Je tue ton frère, c’est au choix. On n’est même pas obligé de lui dire quand il reviendra.
Elle pleure toujours plus fort. Qu’elle chialeuse, celle-là ! Je regarde ce que les gars font de l’autre côté, le frère baise le cul de l’autre qui s’est réveillé, alors je remets le son, pour les entendre gémir.
— Ton frère et ton copain ont l’air d’aimer ça. Je me demande même s’ils ne se sont pas déjà pris le cul avant.
Elle me regarde, choquée, ce qui me laisse le temps d’atteindre sa chatte pendant son moment d’inattention. Elle est tellement belle, putain ! Je pose mes lèvres dessus et commence à lécher son bourgeon, elle se crispe au début puis se détend de plus en plus. Ça a un goût de mouille et de sperme, j’adore ça ainsi que l’odeur. Sa chatte est tellement parfaite. Elle oublie complètement où nous sommes, car, au bout d’un moment, elle se frotte contre mon visage et pose sa main sur ma tête. Dès que je sens qu’elle est prête à jouir, je m’arrête, et remonte sur elle. Le temps qu’elle reprenne ses esprits, je prends une des ses jambes et m’introduis en elle. Je ne suis même pas sûr qu’elle sache que c’est moi, car elle a les yeux fermés. Dès que je commence mes coups de reins, elle met son autre jambe autour de moi, mais je sors bien vite et la retourne avant qu’elle ne s’en rende compte afin de la pénétrer par derrière. Elle se rend enfin compte de ce qu’elle fait et se met à hurler. Je continue à la baiser jusqu’à ce que je jouisse enfin.
— Maintenant, tu seras aussi marquée d’un vrai monstre et je peux te laisser partir avec cette image dans la tête.
Je me recule d’elle et vois un filet de sperme couler le long de sa jambe. Je reprends mon téléphone, vérifie où ils en sont à côté et constate que Liam a terminé et qu’il frappe sur la porte.
— Habille-toi, la trainée, si tu ne veux pas qu’il te voie comme ça !
Elle se lève difficilement, en pleurant. Une fois prête, elle se remet dans le fond, loin de moi. J’ouvre la porte et son frère court vers elle.
— Il t’a fait du mal ?
Elle me regarde, puis tourne sa tête vers son frère.
— Non, mais j’ai eu peur pour toi.
— Je vais bien.
Je les laisse se bécoter et vais à côté, à mon tour. Je m’approche de l’autre qui est réveillé.
— Alors ça t’a fait du bien ?
Je le retourne et constate qu’il y a du sperme encore sur son sexe.
— Tu es un homosexuel refoulé, en fait…
Il ne répond plus, son air arrogant a disparu, remplacé par de la honte.
Il ne faut jamais avoir honte de ce qu’on aime, dommage que tu l’apprennes juste avant ta mort.

Du plus profond de mon âme Où les histoires vivent. Découvrez maintenant