Première fois

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PDV : Adriano



J'arrive à mon club, je pars vers le coin vip avec mon bras droit, récupérer nos femmes.

Je vois Valentina, danser sensuellement sur une barre de streaptease.

Je sens mes nerfs glacé dans mon sang.

Elle ondulé ses hanches.

Une stripteaseuse arrive vers moi avec une lingerie noir assez sexy.

Je m'assois sur le fauteuil juste derrière moi.

Elle s'agenouille devant moi.

Je regarde ma femme droit dans les yeux.

Elle me lance un regard noir.

La gourgandine défait ma braguette.

- Espèce de sale pute en manque de chaleur, c'est mon mari. Crie ma femme

La sale pute en question rigole.

Et continue son affaire.

Elle allait commencer à le prendre quand une main tire sur sa chevelure.

- Tu ne s'est pas satisfaire ton mari donc je m'en occupe.

- T'as tellement célibataire et sans importance que ta chatte se mouille au  premier homme que tu vois.

La pute la pousse.

Ma femme le fait également sauf que celle en manque de chaleur tombe.

Des sifflements se font entendre.

Pour arrêter ça, je prends ma femme.

Je la prends par le poignet et la retire de là.

Je vais la sortir de cet endroit.

J'entends des cris mais je n'y prête pas attention.

Elle arrive à dégager sa main donc je la prends sur mon épaule, tête derrière moi, elle essaie de me donner des coups mais c'est peine perdue.

Je la guide avec moi dans la sortie.

Je la reposé près de la voiture.

- Monte ! Ordonnais-je

- Non.

- Soit tu monte par toi-même ou je le fais et je t'assure qui aura aucune délicatesse.

Elle monte en me donnant un sourire narcissique.

Et ça m'énerve.

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PDV : Valentina

On est arrivé à la maison, je pars vers la cuisine pour boire de l'eau, je sens ma gorge déshydratée.

Je me sers et je bois puis pose le verre sur la table en marbre de la cuisine.

Il s'avance vers moi.

- Plus jamais. Dit-il avec un ton assez sévère

- Plus jamais quoi ? Demandais-je innocemment sans savoir où il voulait en venir

- Sortir sans m'en parler, boire sans me consulter et surtout faire la pute.

Je rigole d'un rire sec.

Il s'est pris pour qui.

- Tu ne dicte pas ma vie et ne me traite plus jamais de pute.

The StefatelliOù les histoires vivent. Découvrez maintenant