Valentina est la fille du plus grand chef de cartel de tout le pays.
Quand le jour de ses 18 ans arrive, elle n'eut qu'une envie partir de cette famille mais une surprise ou plutôt un contrat irréversible l'attend.
Ce contrat a pour but d'unir leurs...
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J'attends ce jour depuis si longtemps. Mon premier cours en droit. En ligne, mais bon c'est mieux ça que rien. Pas vrai ? Je commence à 9h45 et il est actuellement 9h29. Je n'ai pas dormi de la nuit. Je suis passée par plusieurs émotions. Je vérifie toutes les minutes si mon ordinateur est chargé à 100%.
- Tu stresses ?
Je reconnaîtrais cette voix entre mille. Je me retourne vers Adriano.
Je lui adresse un petit sourire nerveux avant de lui répondre.
- Oui mais genre vraiment. Imagine, je n'arrive pas à gérer les cours en ligne ou que pour eux, je n'ai pas le niveau ou bien que...
Il m'arrache les mots de la bouche en s'emparant de mes lèvres.
Ce baiser est doux et délicat. Ces lèvres sont sucrées, elles ont un goût de chocolat. Je ricane et m'éloigne doucement de lui.
- T'as mangé du chocolat ? Lui demandais-je
Il fronçe les sourcils.
- Des tartines au Nutella, pourquoi ?
Je rigole au point d'en avoir mal au ventre.
- Toi, tu-tu manges des tartines au chocolat ?
- Oui, me répond-t-il plus que sérieusement. Tu sais que le faire l'amour diminue le stress ?
- Non. Et de toute façon c'est faux.
- C'est vrai, j'ai lu un article et je cite "le sexe peut faire baisser le niveau de stress en libérant des endorphines, qui sont les neurotransmetteurs associés au plaisir, et ainsi améliorer notre humeur générale."
- Donc toi, tu te cultures en regardant des articles sur le sexe, mon amour ?
Il sourit d'un sourire sincère mais est-ce qu'il est comme ça à cause de ma question ou du surnom que je viens de lui donner ?
- Répète.
- Quoi ?
- Comment viens-tu de me surnommer ?
Je lui souris.
- Mon amour.
Il se jette sur ma bouche. Ce baiser n'a rien de brutal au contraire. Il demande l'accès et je lui autorise. Il interromp ce baiser et j'essaie de reprendre mon souffle.
Ses iris verts, leur intensité, leur profondeur me collent des frissons. Il envahit un peu plus ma peau frémissante et son sexe bandé se cale contre mon bas-ventre qui lui multiplient ses papillons.
- Je commence dans 5 minutes
- Je suis capable de te faire jouir en moins de 2 minutes, darling tu sais.
Il sourit. Ce fameux sourire en coin qui me donne envie de le gifler réapparaît.
Puis ses lèvres s’abattent sur ma bouche, plus férocement, dangereusement, langoureusement encore.
