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Salem aleykoum, excusez moi pour les fautes mes stars ________________________________

Cela fait maintenant 1 semaine que je suis dans cet orphelinat et je vis un cauchemar éveiller. Les enfants sont tellement mais tellement méchant ici.

Je suis cacher dans un buisson en train de réfléchir. Comment vont mes frères ? Est ce qu’ ils sont en famille d'accueil ?  Est ce qu'ils sont seul comme moi ? Est ce qu'ils mangent bien? Est ce qu’ils vont bien? Je me pose plein plein de questions. J'ai hâte de les voir.

La cloche sonne c’est l'heure de manger. Depuis que je suis arriver ici je mange que des yaourt à la vanille et je n’ai toujours pas prononcer un mots.

Je me lève sort de ma cachette et me dirige dans la cantine.
Je fais la queue quand une fille me pousse et je tombe par terre. Tout le monde commence à rigoler. Je me relève et fais face à cette fille. Elle est grande, elle doit avoir 3 ans de plus que moi et je sais qu'elle s'appelle Mathilde. Je la regarde droit dans les yeux.

Mathilde : Eurk tu fais trop peur avec tes yeux. Excuse toi

Elle croise les bras et attend que je m'excuse.

Elle: Je crois que ta oublier les bonnes manière, tes parents t’ont pas appris ? Ah bah non t'en a pas *rigole*

Elle croit qu'elle est ici pour faire du poney ou quoi ? Elle aussi elle en a pas. Trop bête cet enfant alallalala. Je l'ignore et refait la queue sur les regards des autres enfants.

Elle: je suis sur tes parents ils sont suicidés ou que ta mère c’ est une p*te mhhh non ton père c’est un alcoolique c’est pour sa que tu te retrouve ici.

Les autres enfants approuve ce qu'elle est en train de raconter.

Je me retourne et la regarde droit dans les yeux. Elle vient de sérieusement m'énerve la. Elle vient d’insulte ma famille, je peux pas laisser passer sa ! Non!

Moi: Ne parle jamais mal de ma famille.

C’est les premiers mots que j'ai dit depuis la mort de mes parents. Elle me regarde choquer.

Mathilde: Tu parle ? Je croyais que t'avais pas de langue *rigole*

Je sers le bout de mon pull. Et me retiens de ne pas l'étrangler

Mathilde : je vous avais dit quoi sa mère c’est un grosse p*ute qui s’est suicidés et pareil pour ton gros fils de p*te de daron.

Je lui fait une gifle et elle tombe direct sur le sol. Je saute sur elle et commence à la frapper. Je lui donner des gros coups. Elle essaye de ce défendre mais je suis trop énervé. J'ai la rage et puis je sais bien me battre j'avais l'habitude de jouer à la bagarres avec mes frères. Les autres enfants commencent a l’ encourager. Elle attrape mes cheveux et tire. Je crie et prend ses cheveux et tire aussi.

On entend un siffler. C’est Véronique, oh non pas elle, elle  s'approche de nous.

Véronique: Qu'est ce qui se passe ?

Mathilde commence à pleurer et dire " elle m'a dépasser de la queue ensuite elle m'a pousser et a hurler devant tout le monde que j'avais pas de famille ensuite *snif* elle m'a frappé je fesais que de me défendre je vous jure * pleure*”

Je fronce mes sourcils et reste choquer devant un tel mensonge.

Véronique prend mon bras et tire fort.

Véronique: On va faire un tour dans la chambre de l'enfer ma cocotte.

J’essaye de me débattre mais elle me tenait tellement fort.
Elle me jette dans la pièce sombre et je tombe sur le sol froid, sa sent, j'entends des bruit qui ressemble à des souris et en plus  je ne vois rien. Je cours vers la porte qui vient de se fermer et tape dedans de toute mes forces mais rien ne bouge et personne m'entends. Je recommense à taper encore et encore jusqu'à que je m'épuise. Je m'assois sur le sol, pose mon dos contre le mur et commence à pleurer. Je demande de l'aide à Allah. C’est le seul qui peut me sauver. Je subis que des injustice sa ne se fait pas. Et en plus de sa j'ai faim. Ma vie était bien quand Oumi et Abi était vivant....

Yasmine: rose remplie d'épinesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant