Faux Espoir

Chapitre: 8

PDV Mia :

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Vous avez déjà senti un manque? Un vide? Pour être plus précis.
Car moi c'est ce que je ressens dans se lit d'hôpital.

Et ouais, Il m'a ramené dans cet hôpital.

5 jours que je suis ici. Je me suis réveillée au bout de 2 jours. Mon cœur n'a pas supporter ma crise d'angoisse et de panique.

Si il ne m'avait pas ramené, je sais pas comment ça aurait fini à la fin. Et je ne veux pas savoir.

Ma mère, viens tout les jours. À la même heures. C'est-à-dire à 20h.

Je sort, demain. Ils ont voulu me garder un jour de plus.

Lui, il n'est pas venu me voir.

Alors que c'est lui qui m'a emmené. C'est lui, qui à foncé dans cet hôpital.

Comment je le sais ? Ma mère.

Et vous savais c'est quoi le pire? C'est que même avec ça elle veux le faire ramener à la maison.

Je me rappelle de sa phrase avant de partir de ma chambre.

- Mia, je sais que c'est dur. Et je te demande pardon de ne pas t'en avoir parlé dès le début. Mais mon avis ne change pas ils viendront habiter à la maison. Regarde ton demi-frère, à su prendre soin de toi et t'emmener à l'hôpital. Sans lui, je sais pas ce qui aurait pû t'arriver..

M'avait-elle expliqué avec un petit sourire.

Ça ne sera jamais mon demi-frère.

Jamais.

Je pensais, qu'il viendrait au moins me voir une fois vu comment ma mère, m'a dit à quel point il était inquiet ce jour-là.
Mais non.

Après ça ne m'étonne pas.

J'éteins ma lumière, puis m'endors doucement.

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- Maman ! Crié-je agacé c'est hors de question.

- S'il te plaît Mia, juste ce soir ! Me supplie t'elle.

Elle m'en demande trop.

Voilà, 1 semaine que j'étais sortie. Ères et sont père, emménager à la maison demain. Ils viennent assez tôt. Et pour ça elle veux que je leur prépare un petit déjeuner en attendant qu'elle vienne les chercher.

La bonne blague..

- Non ! Ne m'en demande pas trop.
Lui répondis-je calmement.

Elle ne répondit pas, puis part se couché.
Nan, mais elle était sérieuse en plus?

Je la comprends ? Il y a 1 semaine, j'avais fait une crise vis-à-vis d'eux, et là elle me demande de leur faire un petit déjeuner, comme si rien ne s'était passé?

D'accord. Bah. Nan.

Demain, demain ma vie allait complètement tout changer.

En attendant, j'enfile mon pyjama de Stitch. Et je part me coucher avec mon doudou Stitch.

Oui, je suis encore une gamine. Et alors?
Stitch, c'est l'homme de ma vie.