Death angel

Revenge

« Tiens voilà quelqu'un... »

« Casse toi connasse ! » Hurla le pauvre homme, tentant de faire fuir le monstre devant lui.

« Ouuuuh mais il est impoli ce monsieur !
Et qu'est ce qu'on fait aux gens malpolis ?
On leur donne une fessée ! »

Harley se jeta sur sa proie.
Ses ailes prirent une couleur noire et le chat joua avec la sourit dans les quartiers de Tokyo. 

Monsieur Tana courut à toute vitesse se réfugié dans la rue voisine.
Mais Harley était plus rapide et le trouva rapidement .

Ce jeu de croisement re croisement dura plusieurs minutes. De longues minutes pour notre fugitif qui plus il tournait plus il avait l'impression de devenir fou.

Il était persuadé de tourner en rond, il avait peur de se retrouver d'un coup dans un cul sac ou que l'autre folle le dépasse et l'arrête d'un coup de griffe.
Justement, il l'entendait derrière lui. Enfin il croit.
Il n'arrivait  pas à la voir, son rire ricochait  sur les murs, le grincement des griffes de ses ailes contre les murs le rendait encore paranoïaque qu'il ne l'était.

Dans un dernier élan de courage ou de stupidité, il toucha un mur voisin et son bras pris la matière d'un puissant ciment.
Il racla son bras contre les vieux bâtiments, dans une vaine tentative de bloquer sa poursuivante.

Hélas, il ne fit que réalisé la pire chose qui pouvait lui arrive maintenant.
Un cul de sac.
En voulant faire demi tour, les tas de gravats qu'il avait accumulé lui bloquaient le passage.
Il était cerné.

« Non non non... »
Ses yeux s'agitaient dans tous les sens afin de trouver rapidement une solution. Mais il en vit pas.

« Bah alors mon lapin ? On est bloqué ?
Tu n'as jamais lu la fable du lièvre et de la tortue ?
Rien ne sert de courir il suffit d'arriver à point. »

Tana se figea sur place, c'était fini. Harley arborait un sourire des plus carnassier.

Cependant il ne voulait pas mourir en étant un faible.
Il brandit son bras cimenté devant lui et se força à adopter une allure et un visage de défi.
Il était prêt à en découdre.

~~

« Et bah c'était rapide. »

Effectivement Harley n'avait pas trop forcé.
Il jouait le fort, mais au final il était plus qu'affaiblit par cette course et un simple coup de griffe au niveau de la jugulaire et c'était finit.

Elle laissa son cadavre au milieu de la rue, les yeux ouvert de peur.
Elle regarda encore une minute, ses ailes redevenant blanches.
Mais même après cela, l'envie de lui fermer les yeux par respect ne vient pas et elle partit rejoindre ses coéquipiers.

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Me revoilà ! J'ai essayé de retranscrire une « course » poursuite un peu comme dans les films d'horreur en mode « Je suis là ! Ah non plus maintenant ! »
Bref c'est pas ouf...

A une prochaine ! ♦️