le sexe c'est la vie

L'AMAZONE

Retenez ceci :

- Il n'y a de bon, de vrai, de gai, de triste, d'aimable, de variable, de désirable, de potable, de chantable, de célébrable, d'idolâtrable, que le delta qui existe depuis la ceinture d'une femme jusqu'à ses jarretières.

- Ne te moque pas de la masturbation, c'est faire l'amour avec quelqu'un qu'on aime.

- Le sexe, c'est comme une partie de cartes. Si tu n'as pas un bon partenaire, vaut mieux avoir une bonne-main .

................................................................................................................................................................

Une rencontre sur Facebook sans arrière-pensée . Je venais juste d'accepter la demande d'une demoiselle au teint clair.

Je n'ai point pris le temps de voir qui elle était , étant déjà passé à autre chose. Cependant, peu de temps après , la tête dans mes dossiers, je reçus un " cc beau gosse" qui me fît comprendre que l'auteur du message voulait vraiment faire ma connaissance . Je répondis par un " salut " sans plus, j'étais tellement occupé que je ne pensais pas du tout à mon entre-jambe . Cependant, elle me fit comprendre qu'elle venait d'arriver au Sénégal , qu'elle était malienne et souhaitait faire de nouvelles rencontres. Elle habitait à la sortie de Dakar, avait 22 ans et une superbe silhouette au passage. Un teint qui se détache de son environnement, des hanches débordantes sur chaque côté, mais ce qui m'avait le plus frappé, c'était sa taille. Elle devait mesurer au minimum 1m85. Je venais de faire la connaissance d'une véritable amazone.

Elle était make-up artiste et ne perdait pas de temps pour me faire comprendre qu'elle était coquine. Elle m'envoie ainsi des photos et vidéos plus aguicheuses les unes que les autres , dont une en mini robe moulante laissant découvrir ses jolies jambes .

Moi : j'adore tes jambes, ça doit être bien sensuelle d'y balader ma main.

Elle : lol petit coquin, je ne sais pas, peut être bien

Moi : tu fais quoi en ce moment ma belle.

Elle : juste allongé , je m'ennuie un peu

Moi : j'arrive te tenir compagnie, mais à condition que tu me laisses choisir ta tenue.

Elle : je ne dors jamais en étant habillé

Ainsi, khalé bi man lay diay tiaga (elle joue à la coquine et me chambre au passage. ) . Pendant toute la soirée, on discutait de la vie et quand on a fini par glisser sur le terrain de MADAME SEXE, elle me fit comprendre qu'elle a juste eu 2 copains, et qu'avec le dernier c'était chaud, qu'il lui arrivait de fuir les cours pour aller chez lui. Elle disait aimer les gros pénis, mais qu'elle se limitait seulement à sucer rien de plus .

Moi : tu penses quoi du cunni ?

Elle : humm, tu veux m'exciter sans être là.

Moi : tu aurais aimé avoir ma langue sur ta chatte en ce moment.

Elle : qui ne voudrait pas de ça ?

Elle venait de déclencher une vive érection , ma belle barre de chocolat de 22 cm venait de trouver une cible.

Elle me fit comprendre qu'elle aimerait bien me voir et qu'il serait d'avoir une prise de contact. Un samedi, sans trop y pensait, je lui passai un coup de fil pour lui dire que ce serait bien d'aller au restaurant l'après-midi, histoire de souffler un peu et discuter. Me voilà donc à 16H au volant direction : récupérer ma proie.

Je la vois debout, sur le lieu de rendez-vous dans une robe moulante avec une fente osée et un décolleté "toboggans" laissant ainsi mes yeux le soin de se nourrir de cette belle vision. Elle avait une superbe poitrine qui me semblait douce humm.

Je lui avais demandé de choisir son endroit préféré, cependant, elle me dit ne pas trop aimer les lieux avec beaucoup de monde, préférant un endroit sans bruit, calme. Je me mis dans la peau de l'imbécile " faible d'esprit " lui disant que je n'avais pas trop d'idée surtout un samedi après-midi.

Elle : tu penses que c'est possible de louer un appartement pour se poser là-bas et discuter ?

Moi : ..... (silence)

Elle : tu ne dis rien ?

J'avais déjà la tête collée à l'écran de mon téléphone pour lui montrer des photos d'un lieu et avoir son avis. Elle semblait satisfaite, et je passai un rapide coup de fil afin de réserver le lieu du crime.

LA PROIE : ok

LIEU DU CRIME : ok

LES ARMES DU CRIME : en chargement

Après être passé dans un AUCHAN faire des courses nous voilà seule dans l'appartement, elle prit place sur le canapé pendant que je mettais les boissons au frais. Un peu de musique pour lancer les hostilités, l'appel à la guerre. Bordel elle était vraiment grande, magui kharou nek (je me suicide. ) , mais bon, on verra bien. Un tour dans les toilettes histoire de me débarbouiller, je la trouve allongée sur le lit le visage face à moi ou mon entre-jambe couvert par le peignoir. Je m'allonge derrière elle, la serre fort dans mes bras et lui passe un bisou sur le cou en laissant ma langue le soin de se balader de haut en bas. Elle se laisse faire, sans un mot, mais avec un bruit qui trahissait bien sa soif de désir : un gémissement

Elle : hummmm oh .......

Je caresse son cou par-devant frottant mon bassin contre ses fesses histoire de chauffer le moteur. Une main perdue dans les collines de sa poitrine, un doigt tenant cette pépite de téton fermement. Elle passe sa main par-derrière , tire sur la corde du peignoir et se saisit de ma bite en lâchant un " bordel" qui me fit éclater de rire.

Je la retourne et glisse mes lèvres sur les siennes, sa respiration s'accélère et elle posa sa main sur ma nuque. Je lui carresse les cuisses remontant la robe petit à petit cherchant à conquérir chaque centimètre de son corps. Une fois sur ses fesses, j'entrepris de jouer avec son string synchronisant chaque baiser au titillement de ce morceau de tissu. Je commençais à tirer tellement fort sur ce string qu'elle disparue entre ses fesses. Khalé bi boune bi mo reye si bopam (elle avait un très gros cul ) et pour faire honneur à ce beau postérieur quoi de mieux que de le libérer . J'enlève sa robe et son soutien-gorge et laisse le string en place . Ma main entre ses cuisses, frotte la caresse pendant que ma langue finissait d'atterrir sur ses seins. Je lui suce les seins comme si ma vie en dependait la laissant se tordre dans tous les sens cherchant une porte de sortie . Mon doigt glisse et s'arrête sur son clitoris, je fis des cercles dessus et me mis à lui mordiller ses tétons . J'écarte entièrement ses jambes décale le string et pose entièrement ma main sur sa chatte et la frotte de plus en plus vite et toujours plus fort .

Elle : putainnnnnnn bb , tu vas me tuer doucement s'il te plaît

Moi : avant de sortir de cette chambre, tu sauras que personne ne me chauffe pour s'en tirer librement.

Je me relève et pose ma bite entre ses seins pour une bonne branlette espagnole et elle se mis au travail pendant que je prenais ma sacoche pour y sortir LES ARMES DU CRIME : listerine , gel de massage, menthe fraîche , pastille, préservatifs . Je bandais comme un taureau, je le retourne et verse de l'huile sur son dos avant de m'y allonger. Je me frotte à elle encore et encore en passant une main dessous pour lui caresser le clito et avec ma langue je lui lèche le cou, les oreilles. Elle gémissait de plus en plus fort écartant un peu plus les jambes.

Elle : baise-moi s'il te plaît.

Moi : non bb je ne voudrais pas prendre ta virginité

Elle : t'inquiètes pas juste un peu.

Je ne dis rien me relève , la tire sur le rebord du lit je verse quelques gouttes de listerine sur sa chatte, pris de la menthe fraîche dans ma bouche et dépose le bout de ma langue sur son clitoris et commença une seance de cunni endiablée . Je lui bouffe bien la chatte, elle se mit à crier et à parler dans une autre langue, elle ne savait pas que j'avais depuis le début prévu de lui quelque chose de katanteyisquement bon. Je glisse ma langue en elle et presse ses tétons pour finir par glisser un doigt enduit de listerine dans sa chatte elle poussa un cri et se mis à trembler. Avant qu'elle ne reprît ses esprits le préservatif était deja sur ma bite et je lui fourra d'un coup sec ma grosse queue declanchant une vague de vibration . Ainsi donc cette pute n'était pas vierge, je le savais bien. Je soulève ses jambes et les dépose sur mes épaules et commence à vraiment lui défoncer la chatte, 5 coups assez doux 1 coup direct avec force, elle tirait les draps. Je me baisse toujours plus ses jambes toujours sur mes épaules étaient aussi collées contre sa poitrine et je lui tiens le cou et enfonce entièrement ma bite au fond, elle gémit , crie, tremble me supplie de la laisser se reposer mais je continue à la défoncer plus vite en bougeant bien mon bassin.

Je la retourne lui donne une grosse claque sur les fesses et lui tire les épaules décale son string et enfonce à nouveau ma bite au fond (UN STRING ON LE DÉCALE ) . Ma key kat kat you saf ( je l'a baise hyper fort. ) , en lui tenant les reins et pousses fortes . Je passe une main dessous et lui frotte son clitoris et continue à lui casser la chatte, elle était magnifique à prendre par-derrière , excitante et sublime. Elle s'affala sur le lit fatigué en tremblant, je relève une de ses jambes et m'enfonce à nouveau en lui demandant d'être ma pute (ma voix dans le creux de son oreille l'excitera encore plus et il paraît que j'ai une voix assez particulière. ) et continue CE CRIME SI PARFAIT. Elle poussa un long cri avant de décontracter son corps, elle bougeait plus, mais ses jambes tremblaient toujours et là ou elle s'était allongée, on pouvait clairement voir une grosse tacha comme si elle avait fait pipi.

Je me lève la bite en l'air pour aller prendre une bonne douche. Notre chère demoiselle avait toujours du mal à reprendre ses esprits, elle s'adossa au mur en tremblant toujours...

Nous sommes rentrés 2H de temps après ... Elle a dormi et pris une douche...

Une fois à la maison, je reçus un message de sa part

Elle : bonsoir , tu voulais me tuer.

Moi : tu ne veux plus être ma pute ?

Elle : je n'ai pas dit ça, mon cœur à failli lâcher.

Moi : tu veux être ma pute, ma pétasse ou pas ?

Elle : oui

Moi : bonne nuit alors et passe du beurre de karité sur ta chatte

.....................................................................................................................................