Chapitre 262

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Meadows, 2h du matin.

Un homme vêtu d'un sweat à capuche se trouvait dernière un hôtel du nord de la ville. Il avait discrètement remonté la piste de quelques une de ses cibles jusqu'à cet endroit, tout en ignorant qu'il avait lui-même été repéré par quelqu'un. Il regardait vers les fenêtres légèrement entrouvertes à cause de la chaleur du mois d'Aout, puis il se dirigeait en marchant vers la cage des escaliers de secours avant d'accélérer à quelques mètres du mur pour sauter dessus et y prendre appui, et attraper l'échelle métallique du premier étage en la faisant descendre grâce à son poids. Il remontait alors doucement l'échelle, puis les étages suivant jusqu'au 4ème. Il se penchait alors devant la fenêtre pour écarté légèrement le rideau à l'intérieur. Il n'y voyait pas grand chose, mais sa cible était assurément en train de dormir puisqu'il avait vu les lumières s'éteindre il y déjà un long moment. Il avait préféré patienter pour pouvoir les éliminés dans leur sommeil sans complication inutile. Il parvenait alors à ouvrir doucement la fenêtre non verrouillée, puis à se faufiler à l'intérieur, tout en gardant la main sur le couteau à sa ceinture, préférant se préparé à toute éventualité. Et alors qu'il se trouvait à l'intérieur de la chambre, il regardait le lit pour apperçevoir sa cible à la faible lumière de l'éclairage publique extérieur. Elle dormait en sous vêtement et avait les fesses en dehors de la couverture, sans doute à cause de la chaleur. Mais à cette vue il était soudainement tenté de s'amuser un peu avec elle avant de l'éliminé. Elle avait vraiment un beau corps, et il serait dommage de se privé de cette occasion.

Pendant que Mallory était réveillée par des mains sur elle, elle pensait immédiatement à un cauchemar, avant de comprendre qu'il y avait vraiment un homme dans sa chambre. Alors qu'elle tentait immédiatement de se défendre en l'attaquant, elle se rendait compte que ses mains étaient attachées, et alors qu'elle voulait crier pour alerter les autres, l'homme se jetait sur sa bouche pour l'en empêcher.

"Tu ferais bien de fermer ta gueule ma petite, où je ne serais pas gentil avec toi." menaçait-il en fixant le regard plein de colère et de défiance de Mallory. Il poursuivait avec amusement : "Sebastian n'est pas content de toi, et me voilà... Moi et mes amis on a eu une longue liste noire... et quand j'en aurais fini avec toi, j'irais voir ta sœur dans la chambre d'à côté."

En entendant ça, Mallory essayait soudainement de le mordre, avant d'être frappée plusieurs fois et d'être bâillonnée pendant qu'elle se débattait de toutes ses forces. Il était assis sur elle alors qu'elle continuait de grogner avec le nez en sang.

"Un si beau visage, comme c'est dommage... Tu as deux options, petite, sois tranquille et je ferais en sorte de te faire souffrir le moins possible, où alors continue de te débattre et ce sera très douloureux..." annonçait l'homme en retirant le soutiens-gorge de Mallory avec force.

Mallory essayait de crier un "Fils de pute !" inintelligible à cause du tissu dans sa bouche, et continuait de se débattre pour l'empêcher de la toucher. Elle se sentait profondément dégoutée par ses mains qui attrapaient sa poitrine contre son gré. Elle allait vraiment se faire violée, là ? Impuissante, elle le voyait descendre son jogging pour se toucher le sexe, puis tirait sa culotte alors qu'elle commençait à supplier de façon incompréhensible : "Non ! Non non..."

L'homme écartait les cuisses de Mallory alors qu'elle n'était toujours pas décider à se soumettre et essayait de le repousser à coups de pieds. Puisqu'elle avait fait ce choix, ça allait être violent pour elle. Il la voyait alors rouler sur le côté pour essayer de fuir, et il lui attrapait les jambes pour fixer la vue splendide qu'il avait désormais sur son cul : "J'adore la sodomie." commentait-il d'un ton mauvais.

Encore plus affolée par ces paroles, Mallory essayait de ramper difficilement sur le lit alors qu'elle sentait avec effroi son érection heurter ses fesses au moment où son corps s'écrasait sur le sien. Quel foutu cauchemar ! Et puis soudainement, sans prévenir, elle entendait le bruit caractéristique d'une nuque qui se brise, puis un profond silence. Elle avait déjà entendu maintes fois ce son au cours de ses années de service pour Sebastian, mais elle restait plusieurs secondes dans un état de choc sans bouger, jusqu'à ce qu'elle sente l'homme sur elle être déplacé et jeté sur le sol. Elle se tournait alors finalement avec hésitation pour voir un autre homme qui la fixait en fronçant les sourcils, avant de jeter un coup d'œil sur sa poitrine.

J'ai un père super riche (2/2)[Terminé]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant