*** Coucou mes stars, voici le chapitre quatre. Désolé pour les fautes d'orthographe, n'hésitez pas à me corriger (avec gentillesse svp hein...). Bonne lecture et bisous ! ***
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VICTORYA
📍*Appartement de Victorya*
- Apparemment ça fait 3 mois qu'ils n'ont pas payé le loyer.
- Mais nan c'est pas vrai ! C'est pour ça qu'ils arrêtent pas de faire des aller-retour avec leur voiture ?
- Oui, même que les huissiers sont venus.
En ce moment, je suis en train de discuter avec ma mère. Nous sommes dans le salon, un plaide sur mes jambes, et elle en train d'éplucher des carottes, nous nous racontons nos vies.
À vrai dire j'ai une très bonne relation avec ma mère, se serai vous mentir si je vous disais que je me disputais jamais avec elle, mais cela n'arrive pas souvent non plus.
- En même temps t'a vu le nombre d'enfants, dans cette maison.
- Ils sont nombreux quand même, ça fait beaucoup de bouches à nourrir.
- Andrea m'a dit qu'ils sont à peu près une quinzaine.
Andrea c'est la voisine d'en face, elle et ma mère discutent assez souvent ensemble.
- Arrivés à ce stade c'est chaud quand même. Enfin bon...
Nous marquons une pause toute les deux, juste le temps de réaliser leur situation actuelle.
- En plus ces enfants la, c'est des enfants extrêmement agités.
- De toute façon j'ai toujours dit, de nos jours, certaines femmes ouvrent leurs jambes uniquement pour toucher la caf.
J'explose littéralement de rire face aux mots de ma mère. Elle est complètement folle ! Me voyant rire elle aussi se met à rigoler.
- Mais maman !
- Nan mais je te dis juste la vérité. Bon Victorya, arrête de faire de la familiarité avec moi, lève toi on va chercher ta sœur au collège, comme ça après nous allons directement faire les courses.
