[Chapitre 11] Le train fantôme

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Le cristal est à moitié dedans la glace, quelque coups bien placés et il tomba devant mes pieds.

Je le fourra dans ma poche, le loup tourna la tête vers la suite du tunnel, de manière à me faire comprendre que c'était mon chemin de sortie, alors que j'avançais vers celui-ci, je me retourne vers le loup qui était rester assis à me regarder, je cours vers lui et le sert dans mes bras.

- Merci. Dis-je contre sa fourrure.

Je me retira de lui et partis de nouveau vers le tunnel, le loup me suivis jusqu'à le commencement du tunnel et s'assit.

Je me retourna une dernière fois vers lui et m'engouffra dans ce tunnel de glace, le cristal brille de moins en moins et puis s'arrête de briller définitivement.

Je manque de tomber plusieurs fois à cause du sol glissant.

-Ce tunnel ne finira donc jamais! Me dis-je à moi même.

Je ne sais pas combien de temps je suis ici, essayant de trouver une faille à se tunnel de malheur!

Soudain, j'entends des voix, j'avance plus vite, j'entends des rires, je cours, j'aperçois un troue de lumière, j'accélère, le troue grossir à fur à et à mesure que je me rapproche.
Je distingue une porte en bois avec une fenêtre dessus, une odeur de bois et de miel traverse mes narines, une chaleur chaude et accueillante transperce mes membres, je me jette littéralement sur la poignée et ouvre la porte en grand.

-Bonjour ma chérie! S'exclame ma mère.


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Elle était là, devant moi avec un sourire resplendissant, je regarde tous autour de moi, nous somme dans un vieux train, style Western. Dehors, le paysage est un désert de sable jaune, un peu orangé à cause du soleil qui se couche à l'horizon, il n'y que des fenêtres sur le côté droit du wagon. Le wagon dans le quel nous nous trouvons dégage une chaleur accueillante, des rayons de soleil viennent sur les banquettes en cuire bordeau, de la poussière scintille sur les rayons, tous cela semble si paisible, si irréaliste.

Je me retourna à la vitesse de la lumière et je découvris une peinture au lieu de la porte du tunnel. La peinture représentais le tunnel avec le loup noir au fond qui fixais droit devant lui avec ses yeux d'un blanc laiteux.

Un frison d'horreur me parcouru le long du corps, je sais que je suis encore dans se jeu de malheur mais j'ai comme un sentiment de... Bien vaillance?

Cela me paraissait si étrange, on m'accorde du repos? Ou est-ce juste un piège?

Mieux valait que je reste sur mes gardes.

Quand je me détourna du tableau, une multitude de petites pâtisseries étaient disposées sur la petite table en bois d'acajou.

Il y a des Éclaires aux Chocolat, des Loukoums, des Caraks, des Halwas, des Cornes de Gazelles, des Boules de Neiges et autres pâtisseries...

Je prends quelque Loukoums avec un Caraks, ma soi-disant mère me donne un vers de jus d'orange, je m'installe confortable dans une des banquette en cuire et regarde dehors.

La chaleur du soleil me procure un bien fou, cela m'avait tant manquer avant dans l'épisode de la glace...

je dégustais mes petites pâtisseries quand un joyeux "bonjour" m'arrêta.

Je regarda à côté de moi pour découvrir un chat blanc comme la neige avec des yeux d'un jaune envoûtant.

Je sursauta d'abord puis me calma, ce n'était pas la première fois que je voyais un chat me parler.

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