Chapitre 23

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Latifa Zahra Aïdara.

Je me réveil à 8h. Je suis matinal aujourd'hui mdrr. Je me prépares et prie puis descends et pars à la cuisine.
Je vois Djibril qui prépare je ne sais quoi.
Je le salue, il me répond. Je prends quelques raisins et dès que j'étais sur le point de sortir il m'appelle.

- Tu ne prend pas ton petit déjeuner ?

- Ça ira avec ça. J'ai pas trop faim. Dis je.

- Juste des raisins ? Assis toi j'ai presque fini.

Je soupire bruyamment puis prends place sur la chaise qui était face au comptoir, je l'observe cuisiné avec amour.
Il prend le couvercle par accident et s'est brûlé sûrement. Je me lève subitement et pars vers lui. Je prends un glaçon dans le frigo que j'applique sur son doigt en le soufflant.
Il me fixe en souriant.

- Li dou dara tappett nga rek. ( Ce n'est rien, tu t'inquiètes pour rien). Me dit-il.

Je regagnes ma place et il apporte le plateau contenant des omelettes, frites des croissants, du fondant, quelques fruits et deux verres de jus il s'assoit sur la table et on mange.
Après quelques bouchés, j'essaye de me lever mais il me bloque.

- Tiens ! Me donne t-il à manger.

Ce que je manges sans contester, j'aime bien quand il me donne à manger avec ses mains sans cuillère ni fourchette.

- C'est toi qui l'a accroché ici? Fait-il référence à un petit tableau que j'ai accroché sur le mur.

- Oui! Souris je fixant le tableau.

- C'est vraiment beau.

Après avoir fini, il prend le chemin de la sortie.

- Euuhh où va tu? Oses je lui demander.

- Je pars m'entraîner.

- T'entraînés? Demande je car il n'est pas avec des vêtements de jogging.

- Je veux aller faire un tour dans mon ancien camp.

- Je comprends mieux. Je veux venir avec toi histoire de maîtriser une arme moi aussi. Qui sait je pourrais être garde du corps comme toi. Rigoles je.

-  Je ne suis pas un garde du corps. Sourit-il.   Tu veux vraiment venir ?

- Oui ! Donnes moi juste quelques secondes.

Je monte me changer et portes un jean et un body de couleur blanc. J'enfile tes chaussures fermées. Je descends et le retrouves sur son téléphone. Il lève la tête et me regarde.

- Ton pantalon est trop serré. Remarque t-il.

Je me regarde encore laisse échapper un soupir et monte. Je parsdans sa chambre et prends une de ses chemises que j'ai trouvé sur son lit et l'attache autour de ma taille. Façon je ne voulais pas me changer.
Je descends et dès qu'il me vois, il fronce les sourcils tournant la tête de gauche à droite.

- On y va? Souris je.

À notre arrivés, j'avais tout à ma disposition il m'a donné une arme mais m'a fait savoir que ce n'est pas une vraie.
Il s'est placé derrière moi et le principe c'était d'atteindre le milieu d'un cadre comme si on lançait une flèche. Je sens son parfum et sa voix angélique tout comme son prénom soufflant ses paroles dans mon oreille.

On ne s'y attendait pas !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant