Épisode 10 : Le secret de Leiko

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Merci à Book-of-conneries pour les dessins, ils sont incroyables ! 🤩
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20/05/2032, Quartier nord.

Akako : (Je me rends chez Abi, avec la boule au ventre, je dois lui annoncer la nouvelle, mais vu que je n'ai aucun courage, je lui ai écrit une lettre, je lui laisserai à sa porte, elle le découvrira par elle même...)

Elle arriva à la porte d'Abi et déposa la lettre sur le pas de la porte, elle sonna, mais au moment de partir, la porte s'ouvrit.

Abi : Akako ?

Akako : Ah... Abi...

Abi était une jeune femme de 18 ans, aux cheveux doré et aux yeux marrons, d'environ 1m58.

Abi : *sourire sincère* Entre donc je t'en prie.

Akako : Non... Ce n'est pas la peine... Je voulais juste te déposer cette lettre.

Elle pointa du doigt la lettre au sol et la jeune blonde fût surprise.

Abi : Oh ? Une lettre ? Elle est de Naoko c'est ça ?!

Elle avait un grand sourire en pensant que la lettre venait de son fiancé. La voyant comme ça, Akako commença à pleurer.

Abi : Bah, pourquoi tu pleure ?

Akako : *pleure* Je suis désolée !

Abi : Eh ! Ne t'inquiètes pas. Je ne t'en veux pas.

Akako : Q-Quoi ?...

Abi : Je sais que tu es aussi amoureuse de Naoko.

Akako : Hein ?! Comment tu sais ça ?

Abi : Il me l'a dit. Mais je ne peux pas t'en vouloir. Il est tellement parfait. Haha.

Akako : Abi...

Abi : Bon, je vais lire cette lettre !

Akako : D-D'accord... Je vais y aller.

Abi : Repasse quand tu veux !

Akako se dirigea à un arrêt de bus et se dernier s'arrêta devant elle, la laissant monter.

Elle s'asseya au fond, mais quand elle tourna la tête, elle vit Abi, à genoux et en larmes.

Voilà... Elle savait...

Ellipse.

23/05/2032, Cimetière Amida.

3 jours plus tard, l'enterrement eu lieu.

Il y avait Abi qui n'arrêtait pas de pleurer, les parents de Naoko, eux aussi était là. La mère séchait ses larmes avec un mouchoir et le père était pâle comme un linge. Akako et Kaori était silencieux. Et le prêtre récitait son discours.

D'un coup, le prêtre se tû, en voyant Osamu Mutō arrivait, avec son neveu Hisoka, poussant son fauteuil roulant.

Il s'avança vers la tombe et y jetta une rose blanche, fleur de l'amitié et du deuil.

Au moment de partir, ils s'arrêtèrent devant Abi.

Osamu : Mes sincères condoléances mademoiselle.

Abi : *sèche ses larmes* Merci monsieur Mutō.

Il tourna la tête vers les parents du défunt.

Osamu : M-

Père de Naoko : *ton glacial* N'adressez la parole, ni à ma femme, ni à moi.

Osamu savait que s'était de sa faute si Naoko était mort, s'était parce que s'était un ancien Mutō.

Hittoman No Kazoku : Une Vie d'Assassin (Tome 1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant