Chapitre 7

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Après avoir donné l'ordre à ses hommes de partir Abel entra dans sa maison suivit de Yvan qui lui ne s'attarde pas sur la décoration sombre et luxueuse . Abel comprenait son inquiétude mais ne pouvait rien dire car il désirait cette jeune femme endormi dans ses bras et personne pas même son père ne pourra l'empêcher de l'avoir et puis laisser un témoin d'un meurtre dans les parages n'est pas dans ces cordes .

- Vladimir . Appela Abel .

La personne nommée Vladimir arriva dans le hall d'entrée et salua son patron puis attendait son ordre .

- Montre à monsieur Koskova sa chambre et ensuite rejoint ta femme et tes enfants . Dit Abel en retrouvant un certain sérieux ainsi que son impassibilité.

- Bien . Dit Vladimir . Monsieur Koskova suivez moi je vais vous montrer votre chambre . Continua Vladimir tout en joignant le geste à la parole.

- Vous ne pensez tout de même pas que je vais vous laisser ma fille alors que savons très bien qui vous êtes. Dit Yvan froidement sans exécuter le moindre mouvement.

- Et bien oui je le pensais . Affirma Abel dans un sourire ou toute trace d'amusement était visible. Vous savez monsieur Koskova je ne suis pas un violeur et puis votre fille est bien trop jeune pour mourir alors faites moi confiance. Réplique-il .
En voyant le cinquantenaire qui refuse de bouger Abel se ferma et dit d'une voix ferme : - Suivez Vladimir maintenant ne me faites pas répéter. Dit-il froidement, et disparaît avec la jeune femme toujours dans ses bras .

Yvan n'eut pas le choix et décida de suivre le dénommé Vladimir jusqu'à sa nouvelle chambre.
Abel lui monta dans ses appartements privés tout en gardant les yeux rivés sur cette petite femme sans rater le moindre marche étant habitué avec sa maison. Arrivée dans sa chambre il la déposa sur son lit et entreprend de la déshabiller dans le noir complet pour ne pas perdre le contrôle en voyant son corps bien en chair ; et lui mis une de ses t-shirt sur elle afin qu'elle soit confortable puis la mis sous les draps contenu du froid hivernal. Après il décide d'allumer la lumière et se dirige vers sa salle de bain afin de prendre un bain pour rejoindre sa belle dans le lit . Il avait déjà hâte de voir la tête de sa petite protégé qui peut être hurlera de peur demain en ne voyant pas ses vrais habits de la veille et ensuite de le trouver dans le même lit qu'elle .
Le bain terminé il se rendit dans son dressing tout nu sachant qu'elle dormait profondément et puis il n'était pas pudique donc réveillée ou pas sa reste sa chambre, il prend un maillot puis un jogging ne voulant pas plus l'effrayer demain alors qu'il dormait toujours nu ou encore un boxer .

Le lendemain matin Leylanye se retourne en se sentant avachie sur une chose dure et bien musclé avec une chaleur qu'elle apprécie alors qu'il fait froid. Tout en gardant les yeux fermés elle se met à tâter cette source de chaleur et reconnu un corps très musclé sous ses paumes de mains alors elle ouvrit brusquement les yeux et tomba sur des yeux vairons la fixant avec un sourire au lui mangeant le visage. Prise de peur elle cria et tomba du lit .
Comme l'avait prédit Abel le réveille était sensationnel et pleine de rebondissements en commençant par son cri puis de sa chute du lit qu'il savait d'une bonne hauteur.

- Allons ma belle pourquoi autant de bruit dès le matin hmm . Demanda Abel joueur.

- Vous m'avez fait quoi hier soir ? Et pourquoi je ne suis pas habillé de mes vêtements d'hier. Questionna-t-elle d'une traite.

- Doucement trésor une question à la fois et surtout pas de mensonges car ses questions t'importe peu pourquoi ne pas poser les vraies plutôt. Dit-il en se levant du lit pour se poster devant elle alors qu'elle est toujours par terre.

- Ou se trouve mon père. Demanda Leylanye la peur au ventre.

- Il est dans une chambre peut être en train de dormir je sais pas . Car il y avait une petite chatte se matin qui s'accrochait à moi de la nuit jusqu'au matin et maintenant qu'elle est réveillée elle ne me dit même pas un bonjour pour avoir pris soin d'elle hier soir , tu sais sa me brise le coeur de te savoir si ingrate. Dit Abel toujours amusé de la situation. Et puis arrête de faire l'enfant et lève toi et va te préparer dans la salle de bain tu trouveras ta mallette dans le dressing. Dit-il en quittant la chambre le sourire au lèvre.

Leylanye n'eut pas d'autres choix que de prendre sa douche et ensuite alla dans le dressing et trouve ses habits déjà rangé, alors elle prit une petite robe rouge dos nu et des sandales plates puis se coiffe. Pas de maquillage car elle n'aimait pas ça , puis elle prit le chemin de la porte afin de rejoindre son geôlier qui l'accorde une attention particulière ; après avoir tourné en rond dans cette vaste maison elle croise sur son chemin un garde qui sans la regarder lui dise que son patron l'a envoyé la chercher et la ramener à lui .
Maintenant assise près de l'homme au regard hypnotique, elle se demandait comment se fait-il qu'elle ne l'ait pas reconnu tout de suite car un corps comme ça ne s'oublie pas ainsi que des yeux si magnifique et bizarre .

- Alors pour combien de temps va-t-on rester ici si vous ne pas nous tuer mon père et moi . Demande Leylanye sans prendre la peine de le regarder dans les yeux ayant de s'y perdre .

- Ah nous y sommes enfin à la question que j'attendais. Dit Abel d'un ton sarcastique et toujours avec son sourire, il faut que sa en devient presque une habitude effrayante .
Disons que je ne vais pas vous laisser partir maintenant et inutile de vouloir vous sauver je vous retrouverai ou que vous soyez car je peux dire que tu m'appartient et je te garde aussi longtemps que je veux . Continue-t-il en reprenant son sérieux ainsi que son air impassible .

- À présent mange où sinon c'est moi que l'enfonce dans la gorge et je peut te dire que tu vas peut être aimer ou pas . Dit-il en jetant un froid sur la table .

Mon Papillon vertOù les histoires vivent. Découvrez maintenant