Chapitre 6

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Dans la voiture le silence était morbide, sauf au moment où l'homme en question recevra un appel téléphonique qui bercera la jeune femme dans la voiture qui finit par s'endormir subitement apaisé par la voix de l'homme qui parlait froidement à son interlocuteur.
Yvan lui était absorbé par ses pensées pour se permettre de dormir dans la voiture de cet homme , dès l'instant où il l'a vu treize ans de cela il savait que cet homme était dangereux de par ses yeux vairons mais aussi sa masse corporelle car il est que Abel était grand et beau comme un dieu ou plutôt comme un diable .

- Je suis Abel Pétrov . Dit-il faisant sursauter l'homme âgé de ses pensées . Alors vous n'allez pas vous présenter aussi . S'exclame Abel d'une voix amusé de la situation .

Le père de Leylanye lui était dans une terreur sans nom en entendant le nom de l'homme qui faisait trembler la Russie . C'est alors qu'il se rend compte que lui et sa fille ne pourrait jamais s'échapper du grand Abel Pétrov le  multimillionnaire ainsi que chef de la mafia Russe nommer « Kislota » . Le grand « Smert » , un homme fou et adepte de l'acide .

- Yvan Koskova . Répond le père de Leylanye enfin sortant de sa torpeur plus que terrifiante voir même l'enfer . Qu'allez-Vous faire de nous ? Car je doute que vous faites la charité comme ça, le grand Smert ne perd jamais son temps alors je le demande encore que va-t-il arriver à ma fille . Osa demander Yvan froidement .

Mais il faut comprendre que au même point Leylanye était prête à tout pour son père; Yvan aussi était prêt à tout pour la prunelle de ses yeux et le dernier morceau de sa joie. Il se souvenait encore des paroles de sa fille à peine âgé de onze ans lui avait dit : « Quand je serai grande j'aimerais me marier avec un homme tel que lui » ; Yvan a encore ses paroles en tête et avait peur que cet dénommé « Smert » lui vole sa fille pour faire d'elle et en son esclave ou son sujet d'expérience étant un homme addictif à l'acide d'où le nom « Kislota » pour sa mafia alors que sous le règne de son père elle était appelée « Tishina » , car son père avait une façon de procéder en silence tant il était synchroniser . Mais bon là n'est pas le sujet car il voulait avant tout savoir ce qu'il a sa fille ; tout le monde sait en Russie que Abel Pétrov n'est pas un homme doux mais un psychopathe né plus sadique que son père .

- Que nous voulez-vous monsieur Pétrov ? Demanda Yvan encore une fois , cette fois-ci perdant patience malgré la peur et le sentiment de danger, car cet homme assis à côté de lui était terrifiant .

- Il se pourrait que votre fille soit témoin d'une scène plutôt... disons . Dit Abel en faisant semblant de chercher les bon mots tout en gardant son sourire que seul lui en a le secret tant il est indéchiffrable .
Ah oui ! Recommence-t-il comme si il venait de trouver les bon mots .
Une scène où j'étais en train de flinguer un traitre dans une petite ruelle à peine éclairée ; alors je me suis dit pourquoi ne pas la prendre avec moi et la garder puis  en faire mon petit jouet ; mais c'est une bonne idée sa . En prenant une voix sérieuse ou perçait une lueur de réflexion .

- Qu'en pensez-vous monsieur Koskova ? Questionna Abel d'une à présent ou l'impassibilité était visiblement et surtout l'ennui .

Yvan ne trouva rien à lui dire car d'après la presse il était un homme qui faisait ce que bon lui semble se moquant de l'avis des autres . Abel savait très bien qu'il était effrayé non pour lui mais du sort de sa fille , car à en juger sa position dans la voiture il était tel un chien de garde protégeant son butin du jour et Abel ne pouvait s'empêcher d'être fier qu'un homme comme lui élève sa petite protégé . Bon assez joué avec l'émotion du vieux se dit-il intérieurement .

- Voyons vous n'aimez pas ma petite blague ? Demande Abel d'une voix où perçait de l'amusement et un soupçon de gentillesse, si minime qu'Yvan pensait avoir mal entendu.

- Non ! Elle ne m'amuse pas . Dit Yvan froidement en sachant très bien qu'il peut payer cette insolence qui peut lui couter la vie ainsi que celle de sa fille .

- Pardonnez-Moi j'ai toujours eut un humour noir mais je vous assure que rien ne va vous arriver. Qu'en à votre fille je ne sais pas ; car j'ai beaucoup de plan pour elle et moi si vous voyez ce que je veux dire . Continua-t-il la voix passant de l'apaisement à une voix perverse .

Mais en voyant le regard effrayé et hagard du vielle homme il éclata d'un rire guttural aussi rassurant, qu'effrayant .

- Pas de quoi avoir ce genre de regard, je ne suis pas un pervers mais juste un mafieux et un psychopathe . Dit-il en reprenant son sérieux pour pouvoir poursuivre la discussion qu'il savait une épreuve pour le vieux et un amusement pour lui .
Nous continuons cette conversation arriver à la maison et quand votre fille sera réveillée . Déclare-t-il sans laisser place à une réplique d'Yvan qui avait besoin de réponse pour s'apaiser et ensuite sa fille quand elle sera réveillée .

C'est dans le silence que le reste de la route jusqu'au manoir d'Abel se termine .
Arrivée au manoir Abel sort de la voiture et prend délicatement sa captive pour la porter étonnant toute personne ayant assisté à la scène car tout ses hommes savent qu'Abel Pétrov ne s'encombre jamais . Toute ses aventures était sans lendemain ou certaines ayant la chance d'obtenir d'autres nuits mais pas d'attentes sur l'évolution de la relation ou encore des mois étant sa maîtresse ; il n'en a pas besoin surtout maintenant ayant compris ses hommes .
Abel lui savait très bien que ses hommes ne comprenait rien mais s'abstenait de poser des question alors ils se taisent en attendant ses prochaines ordres que ne tarderai pas à venir maintenant .

- Rentrer chez vous maintenant . Dit-il .
Et vous suivez moi . Tout en gardant sa petite protégé dans ses bras .

Mon Papillon vertOù les histoires vivent. Découvrez maintenant