POLICEGIRL :Spin-Off « Je vous déteste »

Chapitre 8

Point de vue de Chinami

Je courrais à tout vitesse sortant de mon train en panique me dirigeant vers le commissariat.
Comment ?
Pourquoi maintenant ?
Il avait pourtant su rester sous couverture tant de temps.

J'entra finalement dans l'office de police et vis tout le monde réuni dans le hall se tournant vers moi dès mon arrivée.
Je souffla et avant même que je ne pu dire un quoique ce soit ces horrible phrase retenti.
Des mots que j'aurais préféré ne jamais entendre.

- Akashi Chinami, vous êtes en état d'arrestation. Vous êtes accusé de complicité envers le Bonten.

Chinami : Ce n'est-

- Vous avez le droit de garder le silence. Si vous renoncez à ce droit, tout ce que vous direz pourra être et sera utilisé contre vous devant une cour de justice. Vous avez le droit à un avocat et d'avoir un avocat présent lors de l'interrogatoire.

Suite à ces mots on me mis des menottes avant de m'emmener de force dans une salle où je vis Senju déjà assise.
Deux policer me fouilla me privant des objet qui restait toujours dans mes poches, mes clefs, mon téléphone et mes-

Mon téléphone ?
Mes conversations avec Take-..Takeomi.
I-ils vont les..les découvrir et-.
Tout ça à cause d'eux.

Senju : Ça va ,t'as l'air tendu..?
Me demanda t'elle avec un regarde inquiet.

Chinami : Tu me poses vraiment cette question ? Est ce que tu comprend la situation ?

Senju : pas totalement..

Chinami : Et ben.. c'est bien ta chance car tu as été arrêté car nous portons le même nom de famille qu'un certain Takeomi.

Senju : Notre frere-

Chinami : Je n'ai pas de frères.

Quelques heures plus tard.
Quelques heures après nous avoir mis en garde à vue.
Quelques heures qui m'ont semblé être une éternité, des agents vinrent nous prendre séparément afin de nous faire passer un interrogatoire.

Je les suivis alors que l'un d'entre eux me tenait le bras.
J'arriva dans la pièce où l'on me dit de m'assoir, je tourna mon regard vers la vitre espérant voir l'autre coter mais je souffla savant pertinemment que ce n'était pas possible depuis l'intérieur.

Je tourna mon regard vers les deux agents qui était entré et vis Matsuda suivit de.. Naoto ?
Je baissa légèrement la tête et attendit silencieusement qu'ils s'assoient.

Matsuda : Quel genre de relation avais-tu avec Akashi Takeomi ?

Chinami : Aucune.

Matsuda : Vous étiez bien frère et sœur ?

Chinami : Non.

Naoto : Ce n'est pas ce qu'a dis, Senju. Je te conseil de dire la vérité.

Chinami : La seul choses qui nous lie est notre nom de famille.

Matsuda fronce les sourcils suite à ma réponse semblant être mécontent de mes paroles.
Pourquoi réagissait-il comme ça ?
La vérité n'est pas toujours celle qui plaît mais je lui ait juste dit ce qui est vrai pour moi.
Pourquoi une vérité serait-elle forcément général ?

Ce n'est pas parce que deux personne ayant un lien de parenté avec moi sont des criminels que je le suis aussi.
Pourquoi le serais-je ?
Pourquoi travaillerais-je avec les personnes que je rêves de voir mort ?

Matsuda : Arrête de te foutre de nous ! Ta sœur nous a déjà tout dit.

Chinami : Tout dit par rapport à quoi ?

Matsuda : D'après ces dire tu serais la source de son harcèlement en primaire.
Tu aurais aussi eut la volonté de poussé Eum..
Il s'arrêta dans son discours lisant les notes qu'il avait pris sur les feuilles étant posé sur la table puis repris : Haruchiyo Sanzu en espérant qu'il se fasse gravement mal. Ou tu aurais aussi déjà été violente verbalement et physiquement envers eux sans aucunes raisons.

Aucunes raisons ?

Elle se fiche de moi ?! Parce que pour elle je n'avais aucunes raison !
Bien voyions ! On voit bien que c'est la protéger de Takeomi, qui parles.
Celle qui ne voyait rien mais qui subissait tout ! Pauvre de toi tu veux un mouchoir..
Comment j'ai pu me dire qu'on aurait pu s'entendre.. il a simplement fallut que la police lui mettent un coup de précision pour qu'elle-

Matsuda : En vue de vos antécédents
" violent " envers vos proches, il (...)

Qu'est ce qu'il raconte celui là ?
Quel antécédent violent ?
Vous allez vraiment écouter cette fille ?
Et ma version des fait dans cette histoire , on en fait quoi ? Et puis pourquoi on parles de ça ? On est censé devoir parler du Bonten pas de la situation familiale inexistante des Akashi.

Matsuda : Avez vous bien saisi la situation ?

Chinami : " Ma violence " n'était pas sans raison.

L'homme aux cheveux noir ne semblait pas comprendre ayant surmener déjà oublier ce paragraphe.

Chinami : Allez lui demander si elle se rappelle avoir déjà fais quel choses de positif avec quelqu'un d'autre que Takeomi. Parce que c'est de lui qu'on parle de base, non ?

Matsuda acquiesça jetant un petit regard à Naoto qui était rester silencieux depuis le début.

Chinami : En ce qui me concerne ni Takeomi ni Haruchiyo et Senju n'ont été des personnes proche pour moi.

Ce sont des inconnus.

Matsuda : Des inconnus mais vous êtes frère et sœur-

Chinami : Je ne vois pas le rapport. Nous le sommes légalement mais rien ne fais de nous de tel personne.

Sûrement du à l'énervement l'homme aux cheveux noir partit brutalement, faisait tombé sa chaise au passage, me laissant seul avec Le Brun.

Naoto : Tu sais que tout les éléments sont contre toi ?

Chinami : Parce que vous avez des éléments ? Appart mon lien de sang je ne vois pas.

Naoto : Les videos de surveillance du commissariat t'ont filmer à plusieurs reprise entrain de t'introduir dans le bureau et photographier des éléments du dossier sur le bonten.
Si on en prends compte que tu aies bizarrement voulu reprendre contacte avec les personnes de cette même organisation et ton lien de sang avec ces gens..
Ça fait beaucoup tu ne trouves pas ?
" il n'y a que notre nom' de famille qui nous lie " je n'en suis pas sûr.

Naoto..? Tu sais très bien que je n'aurais jamais fais ça. Pourquoi n'essayes tu pas de trouver un moyen de me défendre ? Pourquoi fais-tu comme les autres ?! Tu es censé me connaître.

Tu m'abandonnes toi aussi..?

Naoto : On a aucune preuve inculpant Senju Akashi, on l'a donc laisse partir. Mais je te conseil de réfléchir sérieusement à tout ça.

Il se leva prenant les papiers sur la table marchant d'un pas lent jusqu'à la porte s'arrêtant une dernière fois regardant toujours devant lui.
Il entre-ouvrir les lèvres et dit :
" Tu devrais faire appelle à un avocat. Tu risques plus que tu ne le penses dans cette affaire."

Il partit ensuite laissant la porte ce claquer violemment me laissant seul dans cette salle peinturer de blanc.

...

Que c'est-il passé pour qu'on en arrive là..?