POLICEGIRL :Spin-Off « Je vous déteste »

Chapitre 22

Point de vue Extérieur

Les jours s'était lever depuis déjà quelques heures et la jeune femmes aux cheveux blancs et aux yeux bleus se réveilla enfin s'étirant lâchant un bâillement.

Sa main se dirigea vers son téléphone et elle réactiva les notifications qu'elle avait couper lors de sa lecture de son livre préféré la vielle.

Une expression d'incompréhension se dessina sur son visage lorsque qu'elle vit les message de sa sœur suivit d'un appel manqué. Incompréhension qui se changea en stresse.

Elle se dépêcha de composé le numéro de la cadette

« Ce numéro n'est pas disponible pour le moment. »

Fut la seule réponses qu'elle reçu à chaque essais qu'elle faisait pour la contacter. Finalement désespérer au bon du troisième appel elle contacta en vitesse le numéro de la police leurs expliquant la situation.
Parlant donc de la disparition de sa sœur et son injoignabilité.

Point de vue de Naoto Tachibana

Matsuda : Tachibana..

Naoto : Qui y a t'il ?
Je dis en me détournant mon regard de mes papiers essayant de faire un rapport de l'événement qui était venu nous prendre de court il y a une bonne heure.

Je vis mon collègue balbutier ne sachant pas quoi dire.

Naoto : Mais en fin , parle ! Qu'as tu à dire.

Matsuda : Mademoiselle Akashi Senju , nous a appelé pour nous signaler la disparition de sa sœur !
Cracha t'il finalement la voix tremblante la tête baissée.

Un soupire s'échappa de la barrière de mes lèvres alors que mes mains se dirigèrent sur mon crâne me massant les tempes.

Naoto : Je vois.. La réception s'en ait chargé je suppose ?

L'homme aux cheveux noir acquiesça vivement, me donnant une réponse affirmative.

Naoto : Son.. enfin ce qui reste de son corps a été transféré à la police scientifique..

Matsuda : Dois-je le signaler à mademoiselle Akashi ?

Naoto : Non pas encore mais rajoute le au rapport.

Matsuda : Bien.
Finit il par dire avant de partir , prenant soins de fermer la porte derrière lui.

Une fois la porte fermé, une fois seule je ne pus retenir mes larmes. Je ne pus retenir cette tristesse que je ressentais.

Je suis dépassé..

Je suis dépassé par les événements..

- Point de vue Extérieur -

• Lieu - [ Inconnue ] •

Un hommes aux noirs accompagné de quelques mèche blanchâtre, cigarette à la bouche était là assis sur une chaise dans une salle où les reste d'un massacre avait eut lieu.
Les larmes ne coulait pas mais la tristesse se lisait sur son visage.

— Pourquoi..
Pourquoi lui avoir fait ça.?

Voici les mots qui étaient sortit de ses lèvres sans même qu'il ne s'en rendent compte.
Des bruit de pas claquant sur le carrelage retenti , ce n'était pas les siens.
Mais ceux d'un autre.

— Tu sembles bien triste mon pauvre.
Dit cette voix d'un ton qui se voulait ironique.

L'homme aux cheveux noirs se tourna vers cette voix qu'il ne connaissait que trop bien.

— Pourquoi.?

— Pourquoi quoi ?

— Pourquoi lui avoir fait ça ? C'était notre sœur !
S'énerva Takeomi.

— Elle le méritait. On vit dans un monde où la plus grande menace sont ceux qui n'ont pas peur de nous nuire. Ce n'était qu'une policière parmi d'autre.
Une policière qui a voulu m'atteindre.

— C'est Horrible.

— Horrible ? Tu dis cela maintenant que je ne suis que le seul à pouvoir être blâmé.
Mais tu savais pertinemment ce qui allait lui arrivé.
Tu la savais dès lors de la réunion.
Tu l'as toujours su et tu ne t'y ai jamais opposé.
La vérité c'est que tu es complice de cela.
Que tu es bien plus horrible que moi, car tu n'arrive tout simplement pas à assumer tes actes !
Tu l'as tuer !
Tu l'as laissé se faire tuer !
Tu entends !

Le silence perdura suite à ses mots.
L'homme ne sues quoi dire, aucun mot ne voulu sortir de sa bouche, ses lèvres tremblotantes ses yeux déviant de ceux de son frères.
Il ne savait pas quoi dire à cela car il savait qu'il avait raison. Il savait que ses mots dure que lui avait craché son frère étaient vrai.
Il savait.
Il avait toujours su comment cela allait finir.
Mais il n'en a rien fait.
Il n'a rien fait pour la sortir de là. La situation l'en empêchait et le courage n'y était pas.
« Les traites du Bonten seront assassiné »
Voilà les mots qui l'en ont empêcher.
La cause de ce qu'il considérait comme de la lâcheté.

— Tu ne regrettes pas ton acte ?
Demanda l'aîné des deux.

— Regretter d'avoir tuer une inconnue ? Absolument pas.

— ..C'était notre sœur.

— Une fille dont notre seul lien est celui d'un père qui était encore moins présent que toi n'est pas ma sœur.
Une fille née de la tromperie de ce qui était notre paternel n'est pas ma sœur.
Tu ne l'ai pas non plus et tu ne le seras jamais tout comme elle.
Finit il par dire en s'apprêtant à partir

— Si les regrets se font trop dure à supporter, je te ferrais l'honneur d'abréger tes souffrances.
Voici les derniers mot qu'entendît l'aîné avant que le rosé ne s'en aille un étincelle de tristesse bien que très peu visible dans ses iris, le laissant seul l'air béa sur le visage.

• • •

Les jours passèrent et Senju était là, déjeunant avec ses amies qui essayaient de lui remonter le moral relativement à la disparition de sa sœur.
Leurs paroles se voulaient rassurantes ne voulant pas qu'elle ne perde espoirs
Toutes espéraient que Senju retrouverais sa sœur.

Et leurs effort commençait à porter leurs fruits car malgré elle , elle venait de rigoler à l'une des blagues que venait de faire Yuzuha.

— Oh attendez j'ai un appel.
Dit la femme aux cheveux blanc en décrochant son téléphone.

Ses amies se stoppèrent s'attendant pendant à une bonne nouvelle mais le regard attristé et la voix tremblante se cassant au fur et à mesure de leurs amie leurs fit vite comprendre que ce n'était pas ça.

Le portable de la jeune femme lui glissa des mains alors que les larmes lui montèrent aux yeux, se laissant pleuré dans les bras de la blonde.

Toute avait compris  sans même qu'on ne leurs  explique.

Elles le savaient...

Ce que la personne au téléphone lui avait révélé...

....N'était d'autres que la mort de sa sœur.