Kazutora X Oc

27. Le poid du vol

Combien de fois le temps avait il semblé s'arrêter durant ce combat ?
Le reflet de mon nom qui y etait gravé sur la lame semblait me hanter. Depuis combien de temps... Était elle entre ses mains ? L'incompréhension qui me parcourait se mélangeait peu à peu avec les doux souvenirs qui me restaient encore en mémoires...

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Rei : Amaya !

Je me souvenais de ce jour. Nous étions à la coutellerie, l'école était terminé. J'avais passé l'après midi avec Taka au parc, et tante Rei était venue me chercher, il était tard ce soir là. Le soleil caressait la surface de l'eau si paisible, une glace à la main, je marchais sur le muret d'un pas enfantin le long de la plage.

Rei : Amaya ! Donne moi ta glace si jamais tu tombe !

Amaya : Pourquoi juste la glace ? Tu ne t'inquiète pas pour moi tante Rei ?

Ma tante avait laisser échapper un rire que j'avais ressenti par chaques vibrations qui passait dans la mains que je lui tenait. Grande grâce au muret, je découvrait sur son visage éclairé par le crepulcule une joie inqualifiable.

Rei : Ce n'est pas grave si tu tombe Amaya !

Avait elle reprit d'un ton plus doux. Puis, se pencha au dessus du muret, elle avait décrit.

Rei : Regarde, en dessous, il y a du sable !

Amaya : Mais Rei...

Avais je répondu de mon jeune âge

Amaya : Je peux me faire mal quand même.

Tante Rei avait sourie

Rei : Des petites chutes comme celles ci, tu en ferra des centaines Amaya. Elle ne sont pas graves, mais à chaques fois, elles te feront mals. Pourtant, il y aura toujours quelques chose pour alléger ta chute, comme le sable que tu as là.

J'avais écouter tante rei incrédule.

Amaya : Mais... si je vais tomber tout le temps... j'ai pas envie moi.

Rei : Tu as peur d'être sur le muret maintenant ?

Amaya : Nan mais...

Rei : La peur c'est ce qui te bloque. Tomber c'est normal, c'est ce qui va te faire avancer. Regarde,

Il avait sortie de sa poche, ce couteau si particulier que j'avais toujours admiré

Amaya : Oh ! C'est le couteau de moi plus grande !

Tante Rei avait laisser échapper un rire, amusé par le vocabulaire que j'avais pu employer.

Rei : C'est ça ! Et est ce que tu en as peur ?

J'étais resté sur le muret, perplexe, et avait répondu après un coup de langue sur la boule de glace verte qui je tenais encore en main.

Amaya : Bah. Non.

Rei : Pourtant il coupe, il peut être très dangereux si tu ne fais pas attention. Peut être que tu va te couper en l'utilisant quand tu sera grande, mais tu t'en servira tout de même de lendemain.

J'avais observer la brillance de sa lame. Elle me subjuguait, m'ensorlerait, jamais je n'avais trouvé plus belle acier que celui-ci. La couleur du manche était à mes yeux de jeune enfant la plus belle qu'un bois pouvait fournir. Ce couteau, je rêvais de l'avoir entre mes mains.

Rei : Alors, est ce que tu as encore peur de courir sur ce muret ? Ou bien tu me donne ta glace et on fait la courses ?

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Le liquide rouge qui enveloppait la lame laissait apparaître le damasse qu'il recouvrait. Des marbriers de sang se dessinaient le long de l'acier ... Ce couteau, c'était le miens.