Chapitre 28 : Le début de la fin

4 1 0
                                    

Le début de la fin :

Me voilà face à ma boutique. Je prend le temps de l'admirer.

Lorena - Te voilà enfin
Kayla - On fait quoi alors ?
Moi - Commencez pas à m'agresser avec vos questions
Kayla - Oula qu'est-ce qu'il y a ?
Moi - Qu'est-ce qu'il y a ? Tu te moques de moi ? Ma boutique va sûrement tomber en ruine et tu me demandes qu'est-ce qu'il y a ?
Lorena - Je propose qu'on appelle différents fournisseurs et ensuite on fait le point
Moi - C'est une très bonne idée
Kayla - Je vais regarder sur internet et essayer d'en trouver plusieurs

•••••••••••••

~~~~~~~~~

Moi - Bonjour, je me permet de vous contacter car ma boutique est sur le point de faire faillite et il faut à tout prix que je trouve un nouveau fournisseur rapidement
Fournisseur - Bonjour, nous pourrons en discuter en face à face à l'entrepôt. Demain ça vous convient ?
Moi - Oui bien sûr, merci beaucoup. Pouvez vous le communiquer une adresse ?

~~~~~~~~~

Moi - Les filles, demain j'ai un rendez-vous avec un fournisseur potentiel !
Kayla - Parfait ça

•••••••••••••

Je me suis rendue donc à l'adresse communiquée le lendemain, comme prévu. Le monsieur m'attendait dans son bureau. Son bureau était très grand, chaleureux. On s'y sentait bien. Il me serre la main et m'invite à m'installer sur un des fauteuils brun acajou. On discute de comment je suis presque arrivée au point de mettre la clé sous la porte, de vêtements, de marques. Plus on parle, plus il me pose des questions personnelles, ce que je trouve étrange. Des questions qui n'ont rien à voir avec les vêtements. Après cet étrange échange, je rentre au magasin et explique tout aux filles. Elles se moquent de moi et pensent que je suis parano mais j'ai très bien compris le but de cet homme. C'est au tour de Kayla de prendre contact avec un fournisseur. Pendant ce temps, avec Lorena on essaie de ne pas penser au pire. On se remémore nos souvenirs dans ce magasin.

Kayla - Heu, les filles, le type au téléphone il a demandé à rencontrer le patron. Alors je lui ai expliqué que c'était une patronne, il a commencé à rire, à insulter, à se moquer. J'ai raccroché direct. Il se prend pour qui ?
Lorena - Encore un coincé sans doute

Nous avons appelés à tour de rôles différentes entreprises, aux 4 coins du pays mais aucun n'a fait l'affaire.

Moi - C'est terminé les filles, nous pouvons dire à dieu à notre boulot

À 200 km/hOù les histoires vivent. Découvrez maintenant