| CHAPITRE 1 |

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***

La pluie tombé abondamment, sur l'immense ville.
Les japonais en saison chaude avait toujours au mois de juin des journées pluvieuse, laissant quelques inondations sur des villages trop plat au bord de lac.

Nous sommes en 1970.

L'officier Jacob, entra en rafale dans le commissariat trempé sur le haut du corps. L'inspecteur, s'avança jusqu'à son bureau où il s'installa prennant un cigare avant dans l'allumer, laissant quelques toux échapper au jeunes stagiaires qui était derrière lui, l'ayant suivies a son arrivé au post.

L'officier, Henry entra dans son bureau a son tour ne prennant pas la peine de toqué a la porte, laissant échapper quelques mots insultant mais bien incompréhensible de son subordonnée qui se redressa pour écouter se qu'il avait bien a dire sur l'enquête qu'il lui avait confié.

- J'ai enfin put apercevoir le chef de la brigade de ses mafieux.

Son regard se tourna vers celui-ci. Il avait depuis un petit moment de énorme problème avec la mafia portuaire de Yokohama. Même, si personne n'avait jamais vue le visage du patron en lui même, il enquête sur celui qui s'occupe des hommes attaquant des innocents.

Il y a encore quelques jours de celà, une boîte de nuit a était plier par la même mafias en question avec toujours cette même phrase écrite en sang sur les murs de chaque endroit attaqué par celui-ci.
" Je ne regrette pas mes actes. Je les regrettes seulement, quand je l'est fait"
Cette phrase insignifiant aux yeux des officiers qui n'en pouvait plus de toute cette boucherie, jour après jour.

La seul piste qui mener à se chef était cette phrase expliquant tout bonnement cette signification, qui regretter quand il était entrain de tué ses victimes pas avant n'y après l'acte qu'il regrettait celle-ci.

Henry, avec son physique plutôt fin et son regard plutôt tremblant, avec sa petite moustache brune. Pris dans sa malette une photo, qu'un journaliste avait put prendre de se chef mystérieux, qu'il ne l'est nous autant que sa après la révélation de son visage au seins de la police.

- Dazai osamu. 14ans. Il a était délaissé par ses parents quand t-il avait 8ans. Maintenant, on sait qui s'occupe de lui.

Fit-il, posant la photo sur le bureau montrant a son officiers, qui l'a pris dans ses mains tremblante, voyant le jeûne garçon regarder le photographe d'un regard ténébreux. Il regarda l'inspecteur en face de lui, qui ne montrait aucune émotion sur son visage.

[...]

Les couloirs sombres de la mafia était très silencieux, laissant seulement les bruits de pas résonnant la pièces. Le jeune garçon arriva devant les grandes portes ou les deux agents le laissa entré, fermant les portes derrière lui.

La lumière du jour illuminé le bureau du parrain. Qui finisait de rédiger quelques documents, n'ayant pas aperçu le brun entré dans son bureau. La pièce était beaucoup plus clair et lumineuse et moins froide que les couloirs de l'immense bâtiment.

Mais, Dazai ne se méfier que l'atmosphère pouvait rapidement en fonction de l'humeur de son patron qui leva les yeux vers lui, rangent sa plume avant de se lever les mains derrière le dos jusqu'au jeune garçon qui le regardais fixement droit dans les yeux.

Sans mots, le parrain lui mit une gifles qui fit tourné sa tête sur le côté droit, mettant sa main sur sa joue où le choc a eu lieu.

- Tu ne devrais pas me regardait, droit dans les yeux ainsi.

Avait-il dit, le regardant comme une ordure. Enfin, ses regards n'était toujours pas les mêmes, s'était en fonction de se que Dazai est put faire ou qu'il est le mettre en colère.

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