•EPILOGUE•

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***

Les yeux, des enfants s'étaient fermé a quelques pages de l'histoire. La vielle dame, se leva donc du fauteuil, pour se diriger dans le calme au rez de chaussée dans le petit salon.

Elle s'installa sur le fauteuil en cuir, tournant encore les quelques pages de son vieux carnet, qui était déjà bien assez abîmé avec le temps.

Des pages jaunes, quelques mots avait disparu avec quelques lettres car l'encre noir, s'était desiper.
Mais,
L'histoire en elle même n'avait pas disparu de la mémoire de la vielle dame. Qui pouvait la réciter encore et encore.

Connaissant le refrain par cœur. Comme-ci rien qu'en touchant ses bout de papier elle pouvait s'envoler, encore où elle s'était mis a l'écrit les étoiles plein les yeux, balançant ses pieds l'imagination débordante.

[...]

Au alentours de 23h45, son fils avec sa compagne étaient revenus de leurs dîner. Insistant de rester dormir à la maison.
Elle refusa avec politesse et partie rejoindre sa voisine garé sur le parking des grands immeubles.

Les mains tremblotante, du a sa viellesse et au froid que la nuit procurer.

Elle monta dans sa voiture, pour prendre la route sur la route noir, et clame avec quelques voitures roulants sur les routes bétons. La lune brillé ce soir encore plus que d'habitude.

Elle s'arrêta, non devant sa maison. Mais en haut d'une colline. Toujours présente. Près de ce pont.

Elle souria, sortant de la voiture. Montant en haut de la colline difficilement a son âge. Avant d'arriver en haut soufflant n'ayant pas repris son souffle avant.

Elle regarda la lune, accompagné de ses milliers d'étoiles recouvrant le ciel. Elle avait l'impression qu'elle volé avec elles. L'impression que ses pupilles brillé comme a son enfance.

Elle souria, touchant les deux tombes collée entre elle. Souriant au lèvre, soupirent avant de reregarder le ciel. Ayant l'impression de se sentir observé de la haut.

Ces mains quitta les tombes, redescendant le long de la colline. Pour repartir chez elle, pour passer la nuit, regardant une dernière fois les pierres tombales en haut près de l'arbre avec écrit dessus fermement.

Dazai Osamu.
Chuuya Nakahara.

Les deux mafieux. Au quel sans cette amours inconditionnel. Au yeux enveloppent leurs amours de l'âme. Avait montré a cette ville japonais où bien au Japon ? Que s'aimaient étant du même sexe n'est pas un crime n'y un choix.

Elle démarra la voiture, quittant l'endroit sous la nuit et la nuit brillante sur toute la ville. Ou le japon est endormie pour la nuit.

[...]

Non, ce n'est pas une fiction laissant l'histoire de deux hommes s'aiment terriblement.

Cette fanfictions, montre en toute réalité que l'amour n'est pas un jeux, pas un choix. Notre corps feras battre pour une personne que seule notre âme ne peut choisir.

Que l'homophobie, n'est pas un jeux. Elle fait le mal, contrôlé par vos âmes non respectente ne comprenant que être heureux et la chose principale que la dépression.

Cette histoire, chère lecteurs, lectrices. Vous pouvez la faire lire a n'importe qui. Mais dites lui, que l'homosexualité, n'est pas dérangeant dans leur vie personnelle, n'est pas une maladie contagieuse.
Elle ne donne pas l'amour.

Elle montre juste au gens, ne pouvant pas faire se choix. Que le bonheur se suit de se chemin. "Aidez votre prochain". Certes se n'est qu'une simple histoire, parlant de deux hommes avec de l'homophobie.

Mais, rappelez vous ce que nous avons toujours dit étant petit. Respectez vous. Et on vous respectera en retour. Le monde est méchant, alors essayons de lui donner raison qu'il peut être gentil peut importe notre genre, notre orientation, notre religion, ect..

Vous comme, vous êtes. Aimait vous, soyez heureux, aidé les autres. Et votre vie pourra être écrit sur une page noir sur blanc. Qu'elle est parfaite.

"L'homosexualité, n'est pas un crime.
Mais l'homophobie, l'est"

[...]


Atsushi, a cette fâcheuse habitude de toujours pleuré quand t-il pense a Dazai. C'est étrange, mais moi j'enais les l'armes au yeux quand je repense au roux hurlant et insultant le brun de tout les mots inimaginables.

Même après toutes ses années. Le haut de cette coline ou sautant de se pont. En suicide amoureux. Nous nous recueillons chaque samedi après-midi devant leur tombe, observant encore cette photo d'eux s'embrassent dans la rue, un soir de 1980...

S'était cette photo, que les japonais de la communauté lgbt montre en juin dans la ville. Ils sont devenus un symbole de paix et libertés envers cette communauté ayant enfin justice en cas d'homophobie.

Je souris, me rapprochant de atsushi posant une main sur son épaule. Avant qu'il ne me regarde le sourcil levé.
Il vraie, je n'est pas l'habitude de sourire ainsi. Mais, je me le doit devant la tombe de deux partenaires, mort par amour.


F.I.N
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Une histoire mal interprété, ne fessant que faire des allée retour.
lol :)

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