| CHAPITRE 10 |

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***

Vers ce petit cerisier, près des autres milliers de tombes. Se trouvait celle que Dazai voulais apercevoir particulièrement. Elle était, bien entretenu. Brillante.

Il faut dire que le brun, ne se méprendre pas de chaque moment au quel, il a le temps malgré les nombreuses missions. De rendre visite à son chère odasaku.

Il s'accroupit, laissant se frotter les mains. Pendant que le vent soufflait sur ses cheveux brun, son regard n'était que rempli de tristesse. Il soupira ferment les yeux, repensent a se moment où le petit garçons de huit ans était-il, ne fessait que des terreur nocturne. Se cachant sous la couette, avant que odasaku ne le rassure pour qu'il ne s'endorme sur ses deux oreilles.

Il en sourie presque, de ses petits moments, même la fois où malencontreusement, il l'avait appelé "papa". Cela l'avait sentie rouge de gêne, face a cette situation avant qu'il ne se fasse frotter la tête par Oda, lui disant que cela n'était rien de grave que tout le monde peut se tromper par le nom de la personne, quand celle-ci est importante a nos vie.

Il ouvrit les yeux, se relevant distinctement, remettant les mains dans les poches. Observant avec ses yeux, la pierre tombale. Avant de se tourner soupirant.

Voyant, lui. Le regard de ses grands yeux bleus, voulant le battre, le tuée. Mais, n'avait pas la force de bouger un seul petit doigt. Le regardant, serrent ses points. les fines l'armes coulé le long de ces joue rouge, tremblant légèrement.

Lui, me regardait sans le moindre émotions, sans bouger de plus. Il cligna des yeux, soupirant avant de s'approchait de lui, laissant un écart près d'eux.

- Pr... Pourquoi Dazai ?...

Demanda Chuuya, bégaient que sa phrase, ne voulant pas regarder a présent le brun dans les yeux, qui ne ressentez aucune personne ouvertement a vue d'œil, mais son âme hurler de douleur et de chagrin. De regrets.

Cela fait de nombreuses années, qu'ils ne se sont pas retrouvé en face, tout les deux. Ou a leur adolescence, il ne fessait que de se battre et s'insulter sous le regard de Kōyō, qui préféré levé les yeux au ciel.

- J'ai besoin de te parler Chuuya..De tout et du pourquoi.

Il lui prit la main, sans son accord. Surprenant le plus petit, qui sans aucune raison son corps et sa force ne voulait pas quitter le contact de sa main sur le siennes.
Même, après tout se mal-être, il lui fessait encore confiance.

[...]


Les deux anciens partenaires, se retrouve dans ce bar silencieux, mais leur coin se retrouver boire un coup, après une mission, quelques fois s'insultant de tout les noms avant qu'ils quittent les bar, Chuuya sur les épaules de Dazai ne tenant que faiblement l'alcool.

Les deux, assie sur les grands tabourets. Le roux, ne regardait toujours pas les yeux de Dazai, au risque de se jeter sur son coup pour l'étrangler. Dazai, prit son verre de whisky avant d'en boire une gorgée le reposent sur comptoirs observant les glaçons gesticuler dans tout les sense.

- Il faut que je te dise la vérité Chuuya. Tu as besoin de la savoir.

Sur ce mots. Dazai, commença un long discours au quel le roux écouta attentivement chaque lettre, chaque mots et promotion de ses mots. Il se tourna vers lui les l'armes au yeux sur ses mots qui le fessait tremblait, lui fessait tremblait de stress de peur ? De chagrins.

[...]

-"Je ne connais pas ton enfance. Mais la mienne, je la connais que une simple petite partie. Je suis née dans les mains d'une prostituée, qui ne fessait que le laisser seul la journée avant de rentrer tôt le matin pour dormir toute la journée. Elle m'aimais, qu'une simple partie, moi je l'aimais de tout mon cœur. Elle, me disait que souvent mon père était un connards et que je lui ressembler. Un jour, elle a prit ma petite main, m'emmènent dans les rues de Yokohama, avant qu'elle ne s'arrête, se mettant a ma hauteur d'un petit garçon de 8ans, elle me regarda droit dans le yeux, m'expliquant qu'elle ne m'a jamais aimait, mais je préférais ne pas me battre par peur d'avoir des soucis avec la police... J'étais seul dans les rues, pendants trois jours avant que Mori ne me trouve."


Le brun, soupira l'émotion commençant a arrivé, il souria pendant que Chuuya le regarder tremblotant les l'armes coulent déjà sur tout le long de son visage.

-" Odasaku, tu le savais que s'était comme un père pour moi. Il m'a beaucoup aidé sur mon restant d'enfance et des morts que je voyais sur mes dix ans. Il était ma seul famille. Mori..Lui était spécial..Il était.."

Dazai, voix tremblotante ne savais que dire ses mots. Cette chose qui le rongé depuis si longtemps que même celui qu'il avait appelé accidentellement "Papa", n'était pas au courant de tout ses choses arrivait dans le bureau du boss.

- "Je sais ce qui t'a fait Dazai. Cela est très différent de moi, ou lui s'amuse juste à me dire que je suis rien comme mafieux...Mais, toi dazai..Mori ne t'a pas seulement parler sur des mots blessant..."

Chuuya, soupire ne voulant pas que le brun ne soit plus mal a l'aise, qu'il ne l'est déjà tremblottant, pendant que les l'armes coulé silencieusement. Le roux regarda sa main, avant de la prendre et l'enmène a l'extérieur près de la petit calme. Le soir était déjà tombé sur le Japon, les deux anciens partenaires se mettant près de cette rue sombres pour que personnes ne les voyent.

Dazai, soupira s'avança près de Chuuya le prenant dans ses bras, sous le regard surpris de se dernière, qui posa tête sur l'épaule de celui-ci.

-" Il y a beaucoup de choses que je regrette Chuuya... Comme l'épreuve de t'avoir laissé dans cette mafia, sachant pertinemment que Mori n'était pas quelqu'un très amical. Tu n'as pas le droit de ne pardonner aussi facilement Chuuya..."

Le roux, recula sur les mots de Dazai. Tout les deux étaient en pleures se regardent droit des les yeux, ne voulant plus qu'un mots, restant dans le banc et les émotions dans l'atmosphère.

-" Il est vraie que je ne devrais pas..Mais..Mon cœur...Mes émotions..Mes-...Mes.. Sentiments ne veulent pas que tu sois loin de moi..."

Fit Chuuya, qui tourna le regard les joue rouge, et les l'armes aux yeux. Son cœur ne fessait que battre la chamade, a l'étendre jusqu'à ses oreilles. Avant que Dazai, ne s'avança jusqu'à lui lui prennant le bras pour ne tourner vers, le regardant droit dans les yeux.

Il cligna des yeux, avant de s'avançait doucement rapprochant ses lèvre sur celle de Chuuya, qui les rapprocha fermant les yeux ainsi que le brun qui metta sa main sur sa hanche pendant que le plus petit posa sa main sur le coup du brun, savourent se moment.

Pendant, que la silhouette au coin de la rue, ne prit la photo que était entrain de se développer, avant de la regarder pour quitter la ruelle dans le calme pouvent se faire repérer.

[...]
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A SUIVRE...
Ouah, il était dur celà a écrit :")

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