PARTENAIRES PARTICULIER || SOUKOKU

| CHAPITRE 4 |

***

La mafia portuaire de Yokohama.

Elle a commencé a apparaître au alentour de 1930. Laissant le boss s'occuper de toute la ville pour tuer ou bien même torturé.

Les meurtres on commencer apparaitre quelques mois après sa création. Mais, par manque de preuves pour accuser celle-ci, la police ne devait seulement que approfondir l'enquête, pour pouvoir accusé la mafia portuaire.

Mais quelques années après. Le Boss est décédé suite a ses problèmes de santé. C'est étrangement le médecin, l'ayant examiner, qui est devenue le nouveau boss de la mafia.

Cela, avait étonné le monde se disant que cela devait être dû à sa folie que l'ancien boss, pouvait sortir des mots incompréhensible. Laissant quelques fois des missions avec une scène de torture.

Mais a contre cœur, il l'avait accepté comme nouveau boss de la mafia. Qui aurait cru que celui-ci était pire que l'ancien ?
Recruter, comme nouveau capitaine un gamin de 14ans avec une formation des hormones du cerveau en pleine développement.

Personne ne savais se que Dazai Osamu, avait dans la tête. Personnes n'osaient approfondir son regard sombre et vide. Les gens disaient qu'il était sans émotion, alors que les seuls émotions qui peut le factoriser et quand t-il quitte le bureau du boss les l'armes aux yeux.

- Bon, tu viens le nain !?

[...]

Midi.
Le restaurant "akima", avait bonne réputation dans la ville de Yokohama où quelques fois, il fallait y réservé pour pouvoir manger sur une table.

En même temps, pour la viande et les ramens que le chef cuisinier avait reçu une étoile pour ses plats, délicieusement bon, fessont comblé les japonais.

La porte, fessa retentir la petite clochette sur le plafond. Une jeune femme souhaita la bienvenue a l'homme qui venait d'entrer dans le restaurant, habiller d'un pantalon noir, d'une chemise noir portant sa veste a la main, avec un cigare dans la bouche.

- Vous avez réservé ? Nous avons plus de place...

Fit la jeune servante. Cette japonaise ne devait avoir a peine vingt ans pour gagner quelques peu d'argents pour payer son logement.

- Non, je viens juste voir quelqu'un.

Lui répondit l'homme, s'avançant sous le regard surpris de la jeune femme. Il s'avança jusqu'à une table ronde ou se tenait deux hommes fumant des cigares. Avant de s'arrêter devant eux.

Avant que l'inspecteur Jacob ne se lève a la vue du détective, le prenant dans ses bras au file du temps qui ne se sont pas vues.

- Henry, je te présente

Fit l'homme, s'étant tourner vers son ami présentant son ami, posant une main sur son épaule.

- Sherlock, Sherlock Holmes.

L'un des détectives les plus surdoué de l'Angleterre. Ayant résolu autant de crimes que des criminels ayant échappé à la police.

Jacob, l'avait appelé pour une raison pour enquêter sur la mafia portuaire avec lui, car tout les autres policiers du poste n'osaient approfondir l'enquête par peur que la mafia ne s'en mêle et ne les tues avant qu'il n'est le temps de dire leurs excuses.

Le détective et les deux autres hommes s'installa sur les chaises en face de la table ronde, Jacob était contre le mur, Sherlock sur le côté et Henry de l'autre côté de la table, buvant une gorgée de son vin rouge pendant que l'inspecteur s'allumer un cigare.

- Tu en n'as mit du temps a venir.

Fit l'inspecteur, soufflant la fumée qui sortait de sa bouche.

- Ouais, il y avait une manifestation LGBT au millieu de la ville

Fit-il, jouant avec sa montre sur la table.

- Pff, de toute façon ses gros pd irons crevé en enfer !

Fit henry, sur la colère avec toute les manifestations qui ne fessait que s'accentuer de plus en plus avec des postite coler sur les lampadaires de la ville.

Certains habitants japonais se plaignent chaque jours au post de police, pour lui bruit et leurs colère qui ne fessait que résonner dans toute la ville.

- Bref, passons au sujet. Il y a quelques jours nous avons réussi a photographier le capitaine de la première division de la mafia.

Jacob posa la photo du jeune garçon sur la table la montrant au noireau qui l'a pris dans sa main, la regardant plus attentivement.

- Dazai osamu, sa mère la laissé dans la rues a 8ans. C'est le boss de la mafia qui l'a récupéré sous son aile.

Fit-il pendant que Sherlock examiner la photo. Un regard fuyant, des yeux vides on pouvait apercevoir le traumatisme chez cette enfant qui ne fessait que argumenté des jours en jours.

A la vue de la photo prise et de sa réaction, Il ne s'attendait pas à que quelqu'un ne le prenne en photo. Et en vue de sa réaction, il devait être dans ses pensées, avant de levé les yeux vers l'objectif de l'appareil photo avant que ce journaliste ne le prenne en photo.

[...]

Les cadres présents sur les murs lui donner envie de vomir plus qu'autre chose, l'art pouvait defois vraiment bizzard. Peut-être qu'il n'aimait tout simplement pas la peinture car celà ne la jamais vraiment donner l'envie de faire du dessin ou peindre pendant une longue partie de sa vie.

Les gardes du corps devant la porte, ouvrir celle-ci, laissant entrer les deux adolescents dans le bureau du boss, qui était entrain de regarder la vue que lui offrent la ville.

Il les regarda, voyant que les deux ados s'était arrêté devant lui a quelques mètres plus loin. Il afficher un sourire s'approchant de Dazai, sous le regard de Chuuya qui étrangement n'osait pas dire un mot comme-ci se boss arrivé a le taire même si celui-ci ne lui jamais adresser la paroles et jamais vue de sa vie.

Il le mettait mal a l'aise.

- Tu as réussi à le convaincre a être ton partenaire ?

Sourie t-il pendant que Dazai le regarder droit les yeux. Le roux, ne pouvait être que de trop dans cette pièce, non. Simplement qu'il a l'impression d'être observé de partout que le moindres geste ou paroles il ne serait que tuer sur place. Il était debout t-elle qu'un piquets.

- A vraie dire, il n'a pas eu vraiment choix puisque la police nous aperçu et-..

Sous le regard qui surpris Chuuya, Mori donna une gifle au brun le fessant tourner la tête sur le côté ne bougent plus par peur de croisé le regard du boss, énervé. Il chuchota quelques mots a son oreille que le roux ne put entendre avant que le noireau ne tourne talons laissant les deux adolescents sortir de son bureau.

[...]

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A SUIVRE...
"Take my hand, take
my whoole life too"
Attention! Plus l'histoire avance plus elle va avoir un impact profond sur un sujet sensible !!!