PARTENAIRES PARTICULIER || SOUKOKU

| CHAPITRE 2 |

***

Le soir tomba sur la ville. Les japonais rentraient quelques un du travail après une longue journée derrière un bureau autres lieux de travail.

L'officier Jacob, observé la grande ville lumineuse que projetée les vitres avec la pièce allumée. Il retira son cigare de sa lèvre, soufflant laissant échapper une fumée dans l'air. Il est arrivé ici, il y a très peu de temps ici au Japon.

Il avait rencontré une japonaise, qui fessait son visage a Los Angeles. Elle est une manifique femme, au yeux châtain et cheveux sombres comme la nuit étoilée. Elle ne parlait peu l'américain, mais avait se petits accent japonais.

C'est sûrement ça, qui a charmé le cœur de l'officier de police qui a était charmé par sa beauté, entendant même que sin cœur vibré de mille feuilles quand t-il est près d'elle.
Il avait absolument tout quitter apprenant le japonais, rapidement pour rejoindre sa douce aimé qui l'attendait a l'aéroport.

Depuis, il vivait se parfait grande amour, le cœur dansant comme il y a 3ans encore jours pour jours.

- Alors, comment s'est passé ta journée ?

Fit-elle, voyant son mari arrivé dans l'appartement. Les deux n'était pas excessivement mariée pour le moment. Même si celui-ci avait déclaré vouloir l'épouse.

Il porta un baissé de sur le front de sa bien aimé, qui regardé les magasines pour loué une salle pour leurs mariages.
Elle rangea, les papiers avant de rejoindre son bien aimé sur le canapé, qui s'était affalé de fatigué par cette journée fatiguante.

- Tu n'as pas répondu à ma question... Comment c'est passé ta journée ?

Répliqua t-elle posent sa tête, sur son épaule. Il soupira, se frottant le visage.

- On a enfin découvert le chef de la mafia qui s'occupe de ses hommes qui avait tuer l'homme la semaine dernière. Depuis le temps qu'on voulait savoir si identité !

Elle souria, l'embrassant laissant échapper "Je suis fier de toi". Avant de se diriger dans la cuisine, regarder si son souper de se soir, était enfin près.

[...]

Le soleil, n'était a peines levé sur la grande ville. Le brun, était dans le salle de bain, remettant ses bagages sur son corps. Il n'aimait pas ses cicatrices sur son corps, même si certaines viennent de lui. D'autres, viennent d'une autre personne. Personnes, ne savais se qui se caché derrière ses bandages.

Seul, lui et celui qui lui fessait des marques quelques fois sur le bras ou le dos. Il n'en pleuré même plus a force, s'était comme devenu une habitude. Il s'avança vers la grande porte, ou se trouvait le bureau du boss. Il soupira, nerveusement avant de s'avançait pour rentrer dans le bureau.

Mori, était de dos. Regardant les quelques robes que Élise souhaitait. Une vraie chipie quand t-elle si mets surtout quand cela s'agit de son style vestimentaire.

Il se retourna sentant une présence derrière lui. Avant d'affiché un sourire laissant la robe sur le fauteuil pour s'approché du brun. Il le prit par le mentons le regardant droit dans les yeux.
Dazai, respiré fortement tremblotant des mains, avant que celui-ci se redressa souriant au lèvre.

- Bien, Dazai. Je n'aime pas que tu travailles seul. Et j'ai entendu parler d'un jeune garçon, du même âge que toi. Recherche le, et convint le de rejoindre la mafia. Je t'en ferais ton partenaire...

Fit-il, se retournant pour rejoindre son bureau. Dazai, sortie de bureau fermant la porte. Il s'avança donnant un coup de pied a la table du couloir sur le coup de l'énervement.

[...]

Début après-midi.
Les mouettes du port s'envolait haut dans le ciel, laissant quelques crie sortir de le becs. Le brun, était assoupie contre la barre de fer, balançant son bras au vent regardant ses mouvements, avant de regarder droit devant soie.

Il ne voulait pas de partenaires. Une personne lui suivre tout le temps, et collaborait avec les combats. Il a toujours agit seul pour tuer et exquter ses victimes sans aucun problèmes. Même si, hier en fin de soirée se journaliste caché derrière le muret la photographie, le laissant sous le choc avant qui ne reprenne la mémoire, celui-ci était déjà partie.

Sûrement, que la confiance avec le boss diminuer par peur qui ne se fasse démasqué.

- Tu penses beaucoup trop..Mon pauvre Dazai...

Le brun, a l'attentes de la voix familières se redressa tournant regard ou la voix vennez. L'homme a ses côtés se tenait debout devant le port de Yokohama, cigarette dans la main.
Il regardait le ciel, pas la mer.

- Que dois-je faire Oda ?

L'adulte, souria laissant mettre sa cigarette en bouche avant d'évaporer la fumé de sa bouche. Odasaku. Osamu, l'apprécier plus que tout, s'était un comme un père pour lui, au quel son amour était fort.

Mori, n'était qu'un pure déchet. Celui qui la amadouer quand t-il a vue se petit garçon sans défense sur se trottoir, dormant les rues depuis bien longtemps.

- Fait comme tu le sens Dazai. Mais tu sais comment Mori réagirais.

Il jeta son mego de cigarettes, par dessus les barrières. Laissant, le jeune adolescent sur le pont, le regarder partir dans la voiture noir. Il soupira, regarda le paysage, qui était purement manifique au couché et levé du soleil.

[...]

L'usine a jouet avait bien changé depuis. Elle a était complètement délaissé, suite au employés pays a peine le smic chaque mois, avait fait grèves et aux nombreuses plaintes consumé par tous. L'usine avait faillit, laissant les machines, peluches et autres jouets pour enfants au mêmes endroits que sa fermeture. Et, maintenant rouillé et sale, le brun se demandé bien quesqu'il le poussé a venir ici.

Il s'arrêta, s'accroupisant voyant une flaques de sang au sol. Il mit ses deux doigts sur la flaque, avant de les mettre en bouche. Sin regard vif, il compris que celle-ci était bien ressente.

Mais cela, je répondais pas vraiment a se sentiment de pourquoi son corps s'était dirigé seul dans se sanctuaire abandonné. Il est partie sans vraiment où il allait en fin de compte.

Il se redressa, s'étirant au lever, avant de soupirer, mettant les mains dans les poches. Il leva les yeux au soleil traversant le toit abîmé. Celà ne pouvait être manifique comme-ci il était mort ou bien dans un rêve montant au paradis. D'ailleurs, es-que le paradis existe ? Le brun, s'était déjà posé cette question plus qu'une fois.

- Oi ! Tes qui toi !?

Une voix masculine fit son apparition au dos de Dazai. Qui se retourna les mains dans les poches suites a la question. Un sourire se fit sur ses lèvres quand t-il compris qui était cette personne qui lui avait posé la question.

[...]

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A SUIVRE...
Bonjour/Bonsoir.
Regarder moriarty the patriot
svp. C'est une question de vie ou
de mort.
En soit. Vous en pensez quoi ???