PARTENAIRES PARTICULIER || SOUKOKU

| CHAPITRE 12 |

***

Une photo, prise par un jeune garçon. Ne fessant que rentrer chez lui, les avaient vues eux. Deux hommes, l'un mafieux l'autre ancien mafieux s'embrassent près d'un bar dans une petite ruelle.

Quand ses yeux se sont posés sur eux, sa poitrine n'avait qu'un rebondissements avait qu'un sourire ne s'affiche sur ses lèvres, prennant son petit appareil photo avant de les prendre avec l'appareil en photo et de partir jusqu'au chemin inverse. Et depuis 1semaine la photo ne le tour de toute la ville, même sûrement de tout le Japon au point au cette photo n fessait que le tours.

Jacobs, evapora sa fumé de cigare regardant cette photo en noir et blanc dans le journal que les médias affiché. "La mafia autorise l'homosexualité ? Que dit le gouvernement ?" L'homme souria d'un air agacé avant de jetté le journal sous le regard de henry remettent ses lunettes distinctement. avant que le noireau n'écrase son cirage pour remonté dans la voiture.

Les deux hommes n'echangeaint pas grand mots a se sujet. Henry, regarda son partenaire observé la ville qui passait sous ses yeux, de mordant le pouce.

- Alors ? Tu comptes faire quoi ?

Fit le brun, qui le regardais avant que celui-ci ne soupire de redressant, regardant distinctement le route.

- Homo ou non. Sa reste des meurtriers, ils faut qu'il aillent en prison.

Fit-il. Depuis, cette affaires la communauté LGBT utiliser cette images représentant que l'amour rendait qu'elle n'était pas la mort pour des gens du même sexe, mais simplement une découverte et quelques choses souvent les rendent mal, les laissants dans un noir profond, remplie par la peur et le jugements.

- Vous, monsieur vous soutenez la communauté ? Je veux dire tout ça ? Sur LGBT ?

Posa henry, tremblottant légèrement.

- Honnêtement, je m'en fou. Ce n'est pas ma vie et la justice, doit faire son travail comme n'importe quel humain. Tuée quelqu'un même si il est trans ou gay's reste un crime.

Fit-Il. La raison était clair et ses mots. Nous sommes tous, nous ne sommes pas des animaux se battant pour rien du tout. Les gens tuées n'étaient que de simples citoyens ou touristes voulant faire leur vie sans déranger personne.
Aimait leurs corps et leurs compagnons jusqu'à que la mort donne l'heure ne l'est séparent a tout jamais....

Mais quelques fois, les démons ne préfères voire des choses que la vie ne leurs a pas enseigner voulant faire disparaitre tout changement trouvent celà ignoble.

[...]

Le journal entre les mains, laissant les quelques lignes parlant de cette affaire. Anastasia, fuma le roulé levant un sourcil, chaque semaine en premier pages la photo reviens, comme-ci s'était sa place et qu'elle devait rester ici pour un long moment.

Atsushi, tripotant depuis plusieurs moments n'osait pas regardé iel regardait dans les yeux. De sous un regard menaçant. iel ce laissa tomber le long du fauteuil, n'ayant plus de nouvelles de Chuuya depuis cette fameuse photo. Iel, pense que celui-ci s'est barré au États-Unis où bien en France entrain de faire des gosses a Dazai osamu.

- Toi, non plus. Tu n'as plus nouvelles de lui ?

Iel, secoua la tête en guise de réponse trop défoncé par le join qu'elle venait se filer. Ranpo soupire pendant que atsushi baissa la tête avant que des mots ne sorte dans la vielle radio attire son attention. Celà parle de Dazai et Chuuya. Ranpo avertie les deux autres avant de augmenter le song.