Chapitre 8: Milady de Winter

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Émillia passait denouveau sa journée chez Contance. Elles allaiant être rejointe par les mousquetaires dans l'après midi pour qu'Émillia puisse s'entrainer avec son cousin comme ils en avaient repris l'habitude. Les deux femmes se préparait un dejeuner en riant quand elles entendirent un bruit à la porte. Elles se regardèrent en fronçant les sourcils. D'habitude les mousquetaires n'arrivait pas autant à l'avance. Tréville les retenait jusqu'à la dernière minute.  Contance alla ouvrir. Derrière la porte se tenait une femme vetue d'une cape et qui semblait assez fatiguée. 

- Bonjour. J'ai fait un long voyage et je suis épuisée. Personne ne m'a laisser entrer. Je n'ai pas mangé depuis un moment. Puis-je rester un peu chez vous avant de repartir ? 

Contance allait lui proposer de rentrer quand la femme s'éfondra au sol. Émillia se précipita pour l'aider tandis que son amie partait chercher un verre d'eau pour hydrater la pauvre femme. Dans la panique, elles n'entendirent pas la porte se réouvrir. La femme rouvrit les yeux et demanda: 

- Comment vous appelez-vous ?

- Constance Bonacieux, répondit précipitamant cette dernière. 

Émillia ne dit rien. Elle ne connaissait pas cette femme et ne savait pas se que cela lui apporterai de coaitre son nom. Un sourire se forma sur le visage de leur mistérieuse invitée. Elle murmura : 

- Parfait. Cest tout simplement parfait. 

- Qu'est ce qui est parfait, demada Constance. 

- Messieurs, emparez-vous d'elles ! 

Émillia, en se retournant, vit que 6 hommes était entrés dans l'appartement. Elle attrapa son épée et commença à se battre. Elle savait qu'elle ne srai pas capable de les battre mais elle esperait pouvoir les retenir jusqu'à l'arrivée des mousquetaires. Elle hurla à Constance de partir mais cette dernière était tétanisée par la peur et l'incompréhension. Émillia se battait contre plusieurs hommes et commençait à fatiguer. Quelques miutes plus tard, l'un des hommes la désarma et un autre l'attrapa par derrière. Elle essayait de se débattre mais l'homme qui la retenait était réellement plus fort qu'elle. Elle vit Constance également retenue par un homme. La femme se leva et dit:

- Etre généreux peut être une qualité, mais aussi un défaut. 

- Et peut-on savoir qui vous êtes, demanda rageusemant Émillia. 

- Milady de Winter, ancienne comtesse de la Fère. Mon ex-mari a du vous parler de moi. 

- Encore vous, s'exclama Constance. Mais vous ne nous laisserait donc jamais tranquille. 

Milady l'ignora et se tourna vers Émillia en lui disant : 

- Mademoiselle de Valcourt, quel honneur de retrouver la jeune duchesse de Bretagne ici, accompagnée d'une simple suivante de la reine de France. 

Constance regarda son amie, surprise et plutôt choquée. Mais Émillia répondit lassement à son interlocutrice: 

- Si vous n'étiez pas une femme, je vous aurait pris pour mon père. Et ce n'est pas un compliment je vous assure. Et que ne voulez-vous bon sang ?

Milady ricana sans lui répondre et dit à ses hommes de main de transporter les deux femmes jusqu'à sa propriété, dans la  campagne près de Paris. Elle sortie une lettre de sa cape et la posa sur la table de la salle à manger puis sortie pour rejoindre ses acolites et ses deux otages et rentrer chez elle. Sa revanche se passait aussi bien que prévu. 

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