Une vie de mousquetaire

Chapitre 15: Une mission des plus importante

Plusieur jours se sont passés depuis la dicussion entre  Émillia et Tréville. Ce matin, les mousquetaires lui propose de les accompagner à la garnison pour qu'elle puisse s'entrainer dans un espace plus adapté que la cour à coté de l'appartement de Constance. D'artagnan, sa cousine et les quatres mousquetaires partirent d'un coté tandis que Constance partait en direction du palais. Etant la dame de compagnie de la reine, elle se devait d'être à ses cotés régulièrement. 

Il était dix heures. D'Artagnan montrait à Émillia de nouvelles techniques de combat. Ils entendirent un carrosse arriver. Se retournant, ils reconnurent l'emblème de la famille royale. L'attelage s'arreta au bout de l'allée et le roi en sorti. Il se dirrigea vers le batiment. Quand il passa devant les deux cousins qui s'inclinèrent, il s'arrata et dit :

- Monsieur d'Artagnan, veuiller me suivre s'il vous plait. 

Le mousquetaire se releva et suivi Louis XIII jusqu'au bureau de Tréville sous le regard inquiet de sa cousine. En entrant dans le bureau, il vit que son capitaine et ses trois compagnons d'armes était déjà installés. D'Artagnan s'assis à leur coté puis le roi pris la parole. 

- Messieurs, si j'ai fais appelle à vous aujourd'hui, c'est parce que le dauphin a été enlevé. Nous savons de source sur que le coupable est Milady de Winter. Connaissant vos antécédants avec cette femmes, c'est pourquoi je pense que vous êtes les plus qualifiés pour cette mission. Je dois désormais vous laisser mais je comte sur vous pour me ramener mon fils. 

 Le roi sorti de la pièce sur ces mots. Les quatres mousquetaires se regardèrent, désarsonnés. " Quand est-ce que Milady arreterai de les poursuivre" se demandaient ils. Le capitaine leur conseilla de rentrer chez eux prévenir leurs amis avant de partir le plus vite possible. Les mousquetaires sortirent à leur tour du bureau. Dans la cour, ils retrouvèrent Émillia qui se précipita vers eux. 

- Que vous voulait le roi ? 

- Le dauphin a été kidnapé par Milady. Nous allons prévenir Constance et nous partons. 

- Laissez moi vous accompagner, s'exclama Émillia. 

- Hors de question, répliqua d'Artagnan le visage fermé. 

- Pourquoi cela ? Je sais me battre, presque aussi bien que vous. Et vous pourriez avoir besoin d'aide. S'il te plait Charles, je ...

- Non. J'ai dis non. Tu vas rester chez Constance. 

- Pourquoi ?! 

- Car je refuse de perdre ma cousine ! 

Et il monta sur son cheval pour se rendre à l'appartement de sa compagne avant qu'Émillia puis-ce répliquer quoi que ce soit. Il fut rapidement suivit par ses quatre amis. Devant l'appartement, ils ne prirent même pas la peine de toquer et appelèrent Constance. Elle les rejoignit dans la salle de vie en les interrogeant sur leurs mines déconfites. Porthos résuma la situation et lui indiqua qu'ils comtaient partir le soir même. D'Artagnan demanda à Constance de surveiller Émillia pour qu'elle ne partent pas avec eux. 

L'heure du départ était arrivée. Les deux femmes disaient au revoir aux quatres mousquetaires. Émillia prétexta une migraine pour retourner dans sa chambre. Elle s'allongea quelques secondes, abattue d'avoir failli à sa mission. Puis elle se redressa et alla s'assoir derrière son bureau. Elle écrivit un mot à Contance puis passa par la fenetre pour sortir de l'appartement. Elle monta son cheval et partie à la rencontre des mousquetaires, bien décidée à faire partie de l'expedition. Elle a dit à Tréville qu'elle en était capable alors elle y arriverait. 

Quelques heures plus tard, Constance passa voir comment allait son amie. Elle toqua à la porte mais aucune réponse. Elle entra et ne vit personne. Un morceau de papier était posé sur le lit. 

Constance,
Je m'excuse de partir comme une voleuse mais il faut que je les rattrape. Je vais me venger de Milady, du mal qu'elle nous a fait, de ce qu'elle vous a fait. J'ai besoin de faire cette mission pour devenir mousquetaire. Je sais que cela vous paraît étrange pour une femme mais c'est mon rêve depuis toujours. Je reviendrai bientôt avec les autres.
Avec toute mon amitié
Émillia