Chapitre 16: Chez Milady

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Voila une journée que les mousquetaires traversait la France à la recherche du dauphin. Ils se dirieait vers la deumeure de Milady pour essayer de trouver ou elle pouvait être. Ils s'étaient arretés dans une auberge pour la nuit. Au lever du soleil, ils repartirent mais eurent vite l'impression d'être suivi. Ce sentiment ne les quitta pas de la matiné. Lorsqu'ils s'arretèrent, le cavalier qui les suivait se posa à leur niveau. Les mousquetaires eurent une exclamation de surprise en reconnaissant Émillia. 

- Et bien, vous êtes durs à ratraper, s'écria-t-elle.

- Mais qu'est ce que tu fais ici ? 

- Je vous avais dit que je viendrais. Bon ou allons nous ? 

D'Artagnan souffla et Athos s'approcha de son oreille pour lui murmurer :

- C'est trop dangereux de la laisser repartir. Et puis elle sait se débrouiller. On devrait la laisser venir avec nous. 

D'Artagnan hocha la tête et fit signe à sa cousine d'approcher. Elle le fit et quand elle fut assez près, il la pris dans ses bras. 

- Fait attention à toi. Je t'en suplie. Tu n'imagine pas comment je me sentait après ta disparition. 

- Promis d'Arti !

- Arrete avec ses surnoms ridicule. 

Les mousquetaires expliquèrent leur idée à Émillia puis ils reprirent leur route. Il chevauchèrent encore ue dami jourée avant d'apercevoir la deumeure de leur pire ennemie. Émillia frissona en se rappelant les souvenir qui lui restait de cet endroit. Pourtant elle continua d'avancer. Les cinq amis se repartirent les differentes parties de la batisse pour aller plus vite. Émillia monta et entra de le bureau de Milady. Elle fit le tour de la pièce, fouilla les tirroirs, le placard, la pile de feuille présente sur le bureau mais rien. Elle s'apretait à changer de salle quand elle senti le parquet légèrement s'afessait sous ses pas à un seul endroit dans la salle. Elle s'approcha de la late de parquet et remarqua un trou qui permettait de soulever la planche. Elle le fit et découvrit plusieurs feuilles de papier. Elle les sortit de leur cachette et les posa sur le bureau. Il y avait deux cartes : l'une de la France et une autre de l'Angletterre ainsi que deux lettres. Elle se pencha d'abord sur les cartes. Des trait et des points rouges était tracés. Émillia mis les feuilles cote à cote et remarqua que les trait semblait former un chemin partant de la deumeure de Milady et allant jusqu'en Angleterre. Elle pris ensuite les lettres. Elle ouvrit la première. 

Bonjour très chère,
Je voulais vous annoncer que notre plan va pouvoir être mis à exécution. Le Lord dont je vous avais parlé a accepté de s'allier à nous et de nous laisser un refuge dans son domaine ou la garde de sa Majesté aura du mal à vus retrouver.
Il ne vous reste plus qu'à attendre les ordres de notre supérieur.
Le comte de Rochefort

En voyant l'auteur de cette lettre, Émillia frissona. Le comte etait encore impliquer dans les affaires de Milady. Et le contenue de la lettre n'avait rien de rassurant. Inquiète, elle ouvrit la deuxième lettre. 

Milady,
Le roi et la reine seront de sortie ce jeudi. Seul une nourrice gardera le dauphin. Vous savez ce qu'il vous reste à faire. Votre bateau vous attendra au port.
Je compte sur vous.
Le cardinal de Richelieu

A la fin de sa lecture, les pièce s'assemblèrent dans sa tête et Émillia appela les mousquetaires. Ces derniers arrivèrent à toute allure. Elle leur montra ses decouvertes. Aramis, Porthos et d'Artagnan discutèrent de la marche à suivre. Athos, quand à lui, s'approcha de la jeune femme et lui murmura à l'oreille :

- Bravo mademoiselle. 

Émillia rougit légèrement. D'Artagnan se tourna vers eux et déclara : 

- Prend les cartes et les lettres. On part chercher le dauphin. Direction l'Angleterre.  

Une vie de mousquetaireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant