1 : la puissance d'un père

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Diana Pérez

Le soir même
Vingt et une heures

— « Et si tu racontais ce que t'as fait à ma sœur Bianca, dis Andrès.

— Qu'as t'elle fait, demande Papa.

— Elle m'a giflé. »

Papa tourne sa tête vers moi.

Je hoche la tête pour confirmer ce que j'ai dis.

Il éclate de rire.

— « J'espère pour toi Bianca que tu n'oseras plus lever la main sur ma vie, tu le paieras de ta vie sinon.

— Quoi, dit Bianca choquée.

— Je ne me répéterai pas. »

Elle se tait et je rigole.

Le lendemain

Il est neuf heures.

Je me réveille et je vais directement dans la salle de bain.

Je me douche puis je fais ma skincare, ensuite je me maquille puis je m'habille.

J'ai mis un body blanc manche courte avec une jupe de tennis noir.

Je mets ensuite mes claquettes Hermès.

Je vais dans le salon.

— « Bonjour.

— Salut, me répond Andrés. Ça va ?

— oui et toi ? »

Il hoche la tête.

Puis je remarque qu'il est avec sa "Copine".

Mais bon je pense plutôt que c'est son vide couilles et que d'ici quelques jours elle aura déjà été remplacée.

Elle est habillée hyper vulgairement, un crop top très court qui laisserait même apparaître ses seins avec une mini jupe, on voit carrément ses fesses.

Heureusement que papa n'est pas là et ça Andrés le sait.

Papa a horreur que Andrès ramène ses putes chez lui et ils se sont déjà disputé pour ça.

— « tu ne manges pas, me demande Andrés.

Non.

— Tu devrais, je peux te dire que ces chaussons aux pommes sont délicieux. »

Je rigole.

— « Je veux bien. »

J'aperçois ses lèvres s'étirer pour laisser apparaître un sourire.

La porte s'ouvre.

C'est Michael.

— « Salut vous deux ! Devinez qui a ramener des pâtisseries, crie Michael.

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