3 : Grands parents Tumultueux

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Diana Pérez


Le lendemain
Sept heures


Une sonnerie retentit, je suis dans la chambre au rez de chaussée alors je l'entends directement et elle est la cause de mon réveil.

— « Qui vous êtes, Me demande l'homme. Pff...  Une prostituée. »

Ce sont qui ces vieux là ? J'espère que ce sont pas mes grand parents.

— « Diana, Diana Pérez enchantée. »

Les deux me regardent choqués.

Je les laisse entrer.

Je vais dans la cuisine, prend deux verres et une brique de jus d'orange.

Je dépose les verres devant eux, les sers et je vais dans la salle de bain qui est prévu pour moi.

Je me douche et me prépare puis je m'habille.

Je mets un T shirt oversize Noir avec un short en jean bleu.

Je sors de la salle de bain.

J'entends des bruits de pas dans les escaliers.

C'est mon père, il est déjà prêt alors je suppose que c'était lui dans la salle de bain du haut.

— « Bonjour, Princesse.

— Bonjour papa, ça va ? Je demande à mon père.

Oui et toi ? »

Je hoche la tête et il me sourit.

On rentre dans le salon.

— « Julian... »

Mon père regarde mal la dame qui vient de parler.

Je pense du coup que ce sont mes grands parents vu comment mon père a l'air énervé.

Je vais m'asseoir sur une chaise.

— « Qu'est ce que vous foutez ici ?

— Ne nous parle pas comme ça Julian, crie l'homme.

— Sinon quoi ? Je vous préviens, ne revenez plus ici.

— Ce pays n'est pas à toi Julian, dit la dame.

— Si, tout simplement. Ce pays m'appartient. Qu'est ce que vous voulez me dire ?

— On veut que t'arrêtes avec ton cartel, crie la dame. »

Mon père éclate de rire, mais pas un rire bienveillant, on voit bien qu'il se fout de la gueule des deux personnes.

— « On veut que t'arrêtes avec ton cartel, il imite la voix de la dame, comme si je pouvais arrêter du jour au lendemain, comme si j'avais envie de le faire. J'ai monté ce cartel tout seul, ne pensez même pas une seconde que je vais le laisser à quelqu'un à part si c'est mon fils.

— T'as entrainé ton fils là dedans ?! Et ta fille ! Tu n'est même pas un père responsable, s'écrie l'homme.

— Ma fille ne fait même pas partie du cartel, elle sait simplement se servir d'une arme. Et ce n'est pas toi qui va dire ce que c'est d'être un bon père ou pas. Je n'accroche pas mes enfants au arbres, je ne les frappe pas, je ne les laisse pas seul dans une forêt remplie d'animaux sauvages. »

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