Le port était encore plus grand qu'il ne l'avait imaginé. Les immeubles était uniquement des pubs et quelques magasins de luxe. Même si Louis imaginait bien que les étages plus hauts étaient pour assouvir les désirs de luxure de certain consommateur. Mais les rues étaient surtout bondé, ça grouillait de partout, ça se poussait les un et les autres,braillait de droite à gauche, certain marchand prenait par l'épaules de malheureux passants les forçant à la discussion. Louis avait presque envie de ce cramponner à Lucie sous les tumultes mais à chaque arrêt face à un stand, elle hurlait au commerçant pour ce faire entendre. Vaincu, il se colla le plus possible à l'immeuble le plus proche, non sans se faire piétiner le pieds plusieurs fois.Il grogna, les bras croiser, attendant de bien faire entendre à Lucie son mécontentement. Les habitués d'ici ne viennent sûrement pas des bas fond. Leurs costumes en queue de pie et leurs haut de forme en est la preuve visible. Mais ce qui confirmait ses dires étaient les pions en argent épingler sur leurs cols. Chaque personne ici possédait une goutte de sang d'un pion royal leur conférent quelque aptitude surnaturel. Leurs gènes leurs permet d'être sur un piédestal socialement et économiquement dès leurs naissances, cette gène se transmet de génération en génération et leurs mariages n'étaient évidemment fait qu'entre eux. Il n'y avait aucune chance pour un pion en bronze de monter à leurs niveaux, il doit rester en bas à sa place a regardé des gens dis plus important qu'eux manger à leurs faims et ce contenter des restes.
Louis soupira. Le temps passé ici l'a rendu plus aigre, les gens d'ici vont le rendre fou a force. Il finit par s'affaler sur le mur levant la tête. Une enseigne était juste au dessus de sa tête, d'un cochon buvant une chope de bière.Il hésita un instant et regarda devant lui. Lucie était toujours là parlant cette fois ci à un autre commerçant. Alors il se leva, une petite remontrance lui ferai le plus grand bien, du moins ce qu'il en pense. Mais en tournant la poignet, la porte ne s'ouvrit pas, il tenta de pousser ou de tirer mais rien ne fit, la porte ne bouge pas d'un poil, s'apprêtant à mettre un coup de pied dans la porte, il leva les yeux et vit en petite lettre. « Fermer pour enquête en cours »
Oh ? Louis fronça les sourcils et regarda de plus près le message. Un sceau du pion du cavalier y était inscrit. Et bien, même le commerces est touché par ces temps étranges on dirait , la garde du cavalier aurait normalement ébruité cette affaire mais cette fois ci même eux semblent déborder.
Il s'éloigna du perron pour avoir une vu d'ensemble, ce percutant au passage à deux ou trois personnes. L'un des hommes qu'il a heurté semblait vouloir lui faire une leçon de moral remplie d'insulte plus fleurie les une que les autres mais quand il vit la cicatrice vive à la nuque le fit blêmir non sans une expression de d'égout. Louis se capuchonna tentant d'ignorer l'individu et s'éloigna d'ici discrètement. Lucie pourrait râler mais tout ce que souhaiter Louis s'était de partir d'ici. Alors il bifurqua dans une petite rue à côté de L'immeuble où il s'était adossé. L'endroit avait une forte odeur de pisse mais Louis préférait ça qu'être piétiner dans une rue bondé. Il marmonna frappant du pied dans un vieux seau troué, le bruit métallique résonna dans toute la ruelle. Les petites ruelles sont des endroits clichés certes, mais tout de même idéal pour se faire détrousser alors il grinça légèrement des dents et tendit l'oreille si quelqu'un arrivait vers lui. Rien. Soulager, il détendit ses muscles.
Je deviens parano maintenant.Pensa t'il avec rancœur.
-BOUM !
-AH !
Le bruit lui surpris si fort qu'il bondit et un cri peu flatteur sortit de ses cordes vocales. Son cœur tambourina à une vitesse folle et il se tourna vers le bruit. Comme un réflexe, la pulpe de son pouce et son index se touchait préparant à faire crépiter des flammes de ses doigts comme un briquet. Il retint sa respiration quand il vit la silhouette devant lui. Aucun trait physique apparent, tout était cacher par une une épaisse cape. Tout comme lui, un capuchon était poser sur sa tête mais un foulard cachait son visage. Le bruit provenait de l'inconnu qui avait sauté du toit et au tuile mal accrocher qui avait suivit sa descente.
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Le voleur de livre
FantasyUn monde où le chaos s'agite. Un seul faux pas et c'est la fin. Les 5 familles s'agitent mais à cause d'une toute autre raison, leurs livres disparaissent sans une trace. Peut-être qu'un garçon à lunettes avec une légère tendance à trouver les ennui...