« Ce n'est pas une bonne idée »
Louis et Max se retrouvaient devant un grand portail blanc, deux grandes statues en marbre blanc à l'apparence de gargouille étaient à chaque extrémité. Le manoir qui s'y cachait derrière était gigantesque. Tout aussi blanc, l'architecte semblait s'être amuser avec la géométrie et la symétrie des lieux. Tout était réfléchie au millimètre près,Des fenêtre parfaitement aligné au moulure formant de magnifique arabesque sur les murs. Le bâtiment semblait être fait sur trois étages et on pouvait apercevoir des buissons parfaitement taillé au travers des barreaux du portail. Louis pensait que ce serait un magnifique endroit pour se cacher pendant quelque temps.
« Si tu trouves que ce n'est pas une bonne idée, rien ne te retiens ici. »
Max était intenable, sa nervosité se lisait sur ses traits et il ne pouvait s 'empêcher de sautiller d'un pied sur l'autre pour extériorisé son angoisse. Quand à l'autre garçon, il se tenait le dos droit, le visage impassible, cependant, il ne pouvait s'empêcher de replacer constamment ses lunettes sur l'arête de son nez.
« Tu sais aussi bien que moi que si je te laisse seul ici, Emilie me m'offrira jamais sa confiance »
Louis feigna d'être blesser en mettant la paume de sa main sur sa poitrine,
« Oh non, tu veux dire que tu n'es pas ici parce que tu t'inquiète pour moi ? Miséricorde ! Moi qui croyais pouvoir te faire confiance, me voilà bien déçue. »
Max prit une grande inspiration pour riposter mais le grincement du portail le rembrunit aussi tôt.Le pauvre garçon était si nerveux que sa lèvre était en sang et il ne put s'empêcher de se rassurer en se positionnant derrière son camarade à lunettes.
Louis se tendit et prit juste une grande inspiration, sans oublier de repositionner ses lunettes encore une fois.
Deux soldats firent leurs apparitions. Tout deux exposaient deux broches en argent et le symbole d'une tour au centre. Ils étaient habillés d'une armure mais ce sont leurs imposantes lances qui fit glousser Max. Les hommes ne parlèrent pas, ils se positionnèrent juste devant eux. Louis leva le menton et s'avança vers eux d'un pas assurer, il sortit doucement un papier de ses poches et il vit les deux hommes resserrer leurs mains sur leurs lances.
« Doucement du papier est rarement agressif »
Les soldats froncèrent les sourcils face au pique non dissimuler du garçon mais ils étaient bien trop attacher à leurs protocole pour parler. L'homme de gauche prit la peine de quand même de lui arracher le papier des mains en ayant l'intention de lui couper les doigts avec le bord de la feuille. Louis ne cilla pas sous la vive douleur mais sourit tour à tour au deux hommes.
Le soldat prit une pause pour lire rapidement le papier avant de rejoindre son collègue. Il hocha la tête faisant bouger le deuxième homme systématiquement. Les mouvement des deux hommes étaient si millimétrée que ça augmenta le stresse du Max qui s'accrocha à la manche de son comparse.Celui ci ce dégagea immédiatement sentant les doigts du garçon s'accrocher à lui et suivi les deux soldats.
Ils ne les emmenèrent pas vers la grande entrée du manoir mais vers une plus petite porte à un coin caché de tous, les moulures étaient tellement gigantesque sur les murs que la porte en question passait inaperçue. La porte s'ouvrit dans un grand grincement , ouvrant sur un long tunnel qui semblait être creuser depuis un bon moment. Des poutres maintenaient le plafond et il n'y avait évidemment aucune lumière dans cette obscurité. Une forte odeur d'humidité atteignirent les narines des garçons et ils eurent comme réflexe de protéger leur nez avec la main.
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Le voleur de livre
FantasiaUn monde où le chaos s'agite. Un seul faux pas et c'est la fin. Les 5 familles s'agitent mais à cause d'une toute autre raison, leurs livres disparaissent sans une trace. Peut-être qu'un garçon à lunettes avec une légère tendance à trouver les ennui...