1 mois plus tard...
La douce musique de mon réveil résonna dans tout le chambre. Cette douce musique que j'écoute depuis désormais 1 mois. Lorsque je fais des crises d'angoisse a pas d'heure et que je n'ai ni mon frère, ni personne d'autre.
Mon frère a pratiquement disparu. Aucune nouvelle depuis deux semaines, ce qui m'inquiète énormément mais pas mon père. Il ne lui a envoyé que quelques messages. Alors que moi, une douzaine. Pourquoi a t'il disparu d'un seul coup ?
Et pile poil au moment où j'en ai le plus besoin.
Mais où est tu grand frère ?
La douce odeur du bacon passe sous mon nez et me force à me lever.
Mon retour au lycée a lieu ce matin et j'appréhende énormément. Que va t'il ce passait si un gars m'approche trop ? Qu'il commence à me mâter ? Je ne pourrai plus gérer la situation.
J'aurai préféré rester un temps de plus a la maison, pour pouvoir affronter mon traumatisme mais c'est bel et bien rater. Il est parti et Dylan est resté.
Bizarrement nous sommes devenus de plus en plus proche. Quand je ne me sentais pas bien et que l'envie de descendre manger était inexistante, il m'emmenait alors mon repas directement dans ma chambre.
Je me suis habitué à sa présence. Mais il ne fait pas partie de ma famille, il n'aurait jamais la confiance que j'ai en eux. Mais lui, comme ma famille, ne me font pas peur.
Ma mère s'est installé à la maison, ce qui ne pose aucun soucis a Lenor, qui elle, s'entend très bien avec ma mère. Même trop bien d'après mon père.
La fin des cours sonne bientôt ce qui veut dire les examens. Je vais avoir des résultats catastrophique au vu de ma longue absence. Ma mère à réussi à ce procurer mes cours, en plus du siens. Alors je n'aurai probablement pas un 0.
Lorsque je descendis dans les escaliers de marbre blanc, l'odeur était beaucoup plus présente. J'avais encore plus faim. Je me dépêchai alors de rentrer dans la cuisine ou je trouvais mes parents, face a face, ce dévisageant du visage. Je passais outre et pris les tranches de bacon cuite et commençai a entamé mon petit déjeuner.
Malheureusement, les tranches passèrent de plus en plus vite et j'eus vite terminé. J'avais faim, super faim.
Alors je fouillais les placards en espérant trouver un paquet de chips que d'ailleurs, je trouvais.
Mes parents me devisagèrent en me voyant avec mes chips.
- Quoi ? J'ai faim.
Ils levèrent les yeux et je demandais simplement à ma mère :
- Tu pourras m'emmener au lycée ?
Elle hoche la tête et je partis préparer le reste de mes affaires.
***
Quand nous avons enfin franchis les grilles du lycée, je me précipite au casier, mon sac est affreusement lourd et j'ai affreusement mal au dos. Sûrement un effet de la grossesse.
Mais lorsque j'ouvris mon casier des tonnes de lettres tombèrent a mes pieds.
« Ton cul est en acier et mes couilles sont des aimant »
« Tu me manque trop, c'est affreux »
« Reste bien où tu es connasse »
Et j'en passe. Je les déchire tous, absolument tous. Même ceux tout mignon.
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Confiance perdue
Roman d'amourParfois, il est préférable d'attendre et d'observer. C'est ainsi qu'Eva se dit. Fille d'un chef de gang négligeant, strict et manipulateur. Depuis de nombreuses années, elle endure sa solitude et son harcèlement. Elle possède tout ce qu'il faut pou...
