Point de vue de Marilyn
Deux jours seulement qu'il était parti et Théreso me manquait déjà affreusement...
J'étais à présent couchée sur son lit à humer le parfum du pull qu'il portait à la veille de son départ, ce même pull qu'il avait sur lui, lorsque nous avions passé la plus belle nuit de toute notre vie...
Soudain, ma porte s'ouvrît brusquement laissant apparaître une Mazarine affolée.-Mademoiselle, venez vite! La petite Theresa ne se sent pas bien! Me dit-elle en sautillant sur place.
Je me levai précipitamment du lit et courus jusqu'à la chambre de Theresa, Mazarine à mes talons.
J'entrai en trombe dans la chambre et découvris Theresa toute tremblante sur son lit. Je posai ma main sur son front et elle était brûlante de fièvre. Depuis le départ de Théreso, elle ne se sentait pas spécialement bien, toutefois ses parents avaient un peu négligé se disant qu'elle se sentait mal par rapport au départ de son frère et que ça allait lui passer. Mais maintenant que son état avait empiré, je ne savais pas trop comment m'y prendre. Surtout qu'ils s'étaient rendus à un deuil au village où de surcroît le réseau ne passait pas.Je sortis mon portable de la poche de mon jeans et commanda un taxi « yango ». Ensuite j'essayai désespérément d'appeler le numéro de Thérence, ainsi que celui de sa femme, mais aucun d'entre leurs deux numéros, ne passait.
-Personne, ne répond! Je pense qu'on va l'emmener à l'hôpital, parce que là elle est brûlante et ne cesse de trembloter. Informais-je à Mazarine.
Elle acquiesça d'un mouvement de tête, et prit la petite Theresa dans ses bras. Elle la transporta jusqu'à l'extérieur du portail. Pendant ce temps, je courus prendre mon porte-feuille où se trouvait heureusement un peu d'argent que mes beaux parents m'avaient laissé en cas d'imprévus.
Le taxi arriva presqu'immédiatement. Je pris Theresa dans mes bras et nous montions toutes deux dans le taxi, laissant Mazarine en pleurs.-Reste forte mon bébé, le docteur va te soigner. Okay? Dis-je à Theresa et elle acquiesça faiblement d'un signe de tête.
Nous arrivâmes au centre de santé le plus proche. Il était environ dix-huit heures, lorsque le médecin avait pris Theresa en charge....
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Point de vue de Clément
Si on m'avait dit que le mariage ressemblait à ça c'est que je ne me serais pas autant précipité. Bien évidemment, j'aimais ma femme et je n'en voulais aucune autre, cependant la vie avec elle, ne ressemblait pas vraiment à ce que j'avais imaginé, surtout depuis qu'elle avait eu les problèmes avec sa fille.
J'avais beau lui dire de passer à autre chose, de faire la paix avec Marilyn , mais elle ne m'écoutait pas et restait calée sur sa décision: elle n'accepterait à nouveau Marilyn que si celle-ci, suivait des séances de délivrance avec son frère! Et quand j'essayais encore de lui faire entendre raison, elle s'irritait contre moi et me lançait des paroles désagréables, que je digérais par amour...J'étais couché sur le canapé, les yeux rivés sur un match de basketball, mais mon esprit était ailleurs. Je voulais retrouver ma tendre épouse, celle de qui j'étais tombé amoureux, mais cela n'allait jamais être possible si elle ne faisait pas la paix avec sa fille, qui même si elle avait appelé pour rassurer ses parents, je n'étais pas très serein de la savoir dehors, car cette petite je la prenais comme mon propre enfant.
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Les Démons de Marilyn🇨🇲
Подростковая литература17ans à l'université, Marilyn juge qu'elle est assez grande pour entrer dans le monde de la sexualité comme toutes ses amies. Cependant à chaque fois qu'elle a essayé de le faire, son corps a réagi de manière exagérée l'obligeant à repousser le sexe...